Gaza: Le Hamas n’a fait que confirmer qu’il est bien un culte de la mort (We desire death more than you desire life)

Israël existe et continuera à exister jusqu’à ce que l’islam l’abroge comme il a abrogé ce qui l’a précédé. Hasan al-Bannâ (préambule de la charte du Hamas, 1988)
Le Mouvement de la Résistance Islamique est un mouvement palestinien spécifique qui fait allégeance à Allah et à sa voie, l’islam. Il lutte pour hisser la bannière de l’islam sur chaque pouce de la Palestine. Charte du Hamas (Article six)
Les Israéliens ne savent pas que le peuple palestinien a progressé dans ses recherches sur la mort. Il a développé une industrie de la mort qu’affectionnent toutes nos femmes, tous nos enfants, tous nos vieillards et tous nos combattants. Ainsi, nous avons formé un bouclier humain grâce aux femmes et aux enfants pour dire à l’ennemi sioniste que nous tenons à la mort autant qu’il tient à la vie. Fathi Hammad (responsable du Hamas, mars 2008)
We desire death more than you desire life. Fathi Hamed (Hamas MP)
We are going to win, because they love life and we love death. Hassan Nasrallah (Hizbullah leader)
We love death. The U.S. loves life. That is the big difference between us. Osama bin Laden
The Americans love Pepsi-Cola, we love death. Maulana Inyadullah (al Qaeda operative)
It is the zenith of honor for a man to be prepared to sacrifice his life in order to serve the interests of his nation and his religion. Ayatollah Ali Khamenei
I believe in death, I wanted to kill fifty Jews. Wafa Biss
I swear by Allah that I will turn my body parts into a fire that will burn the occupation soldiers. Umm Suheib (Hamas operative)
This is the story of the Middle East conflict: Islamists’ death cult vs. Israel’s right to life, epitomized by Professor Reuven Feuerstein, the Israeli pioneer who has dedicated his life to advancing Down’s Syndrome people beyond their supposed limits. He has said that “chromosomes will never have the last word”. On the other side you have those who savor « the vivid and delightfully perverse feeling of the spilled blood », as wrote Varlam Salamov, who spent twenty years in the Gulag. No Western society lives in greater intimacy with death than Israel, where too many parents buried their children, where too many victims are still in a coma, where too much blood has spilled, where innocent people live their lives wheelchair-bound Five major wars and terror attacks since Israel’s founding in 1948 have resulted in thousands of disabled veterans and civilian survivors of suicide attacks. Each morning, these people wake up to the worst nightmares epitomizing Israel’s joy de vivre. They are a microcosm of the unfailing spirit so many of us in the West associate with being Israeli. I remember a security guard at the Kiryat Hayovel supermarket who lost his legs; an Australian-born policeman who lost a leg in Neveh Ya’acov; a girl with shrapnel lodged in her brain from the double bombing at the Ben-Yehuda pedestrian mall; a boy who lost his eyesight at Haifa’s Maxim restaurant, or the pregnant policewoman, Shoshi Attiya, who chased down the terrorist in Netanya. I think of them when I read the Western press saying that Israel is the stronger side in the conflict, with the military, the technology, the money, the knowledge base, the capacity to use force, the alliance with the United States— and that before it stands a pitifully weak people, claiming its « rights » and ready for martyrdom in order to obtain them. This is the greatest lie ever sold to public opinion. Israel is fighting the same evil which in Kigali slaughtered those who wear glasses, which in Algeria cut the throats of monks and intellectuals and which in Tokyo used the Nervin gas in the subway. The line of Israeli mothers and children running for a shelter under the « tzeva adom » alarm remind me of that boy with a hat too big for him, the yellow star on his chest and his hands up in the Warsaw ghetto – and the little human dots who jumped from the Twin Towers. We must not try to escape these pictures. Richard Wagner offered us the terrorists’ final scenario: the twilight of the gods and the burning of the planet. It’s our responsibility that those who, from Gaza to Beslan, hang bombs like garlands above their children, who threaten them with death if they cry, who reduce them to drinking their own secretions, will fail in their attempts to accomplish their apocalypse. Giulio Meotti
A chaque nouvel épisode sanglant dans un pays arabe, le culte de la mort de l’islam que les foules expriment devant les caméras ne peut manquer de nous interpeller. (…) D’un point de vue ethnologique, nous pourrions nous contenter d’observer ces différences sans les juger. Mais cela n’est pas possible, car de ces comportements envers les morts naissent des comportements envers les vivants qu’il n’est pas possible d’ignorer et de ne pas condamner. Le sang appelle la vengeance du sang. La vengeance, ce n’est pas l’action que l’on entreprend pour se débarrasser d’une menace ou d’un ennemi. La vengeance ne trouve pas sa récompense dans l’élimination de l’ennemi, mais dans le sang qu’on lui fait verser. Cette différence est importante, elle explique pourquoi les groupes terroristes n’ont pas d’état d’âme quant à leurs cibles. Leur but n’est pas d’affaiblir la force armée qui les opprimerait, mais de faire couler le sang de l’ennemi. L’armée d’Israël ne cherche pas à tuer des civils innocents, mais à éliminer les donneurs d’ordre des factions terroristes. Le seul but de ses interventions, c’est l’élimination d’une menace. Ceux qui prétendent que les groupes terroristes utilisent les moyens qui sont à leur disposition face à une armée sur-puissante font l’impasse sur l’aspect strictement culturel du mode de fonctionnement de ces assassins. C’est leur rapport à la mort qui dicte leur stratégie, et non pas le contexte du rapport de force. Tirer sur des civils est un acte délibéré qui est directement inspiré par leur psyché. Ceci mis au point, il devient légitime de se demander si ce rapport à la mort est lié à leur religion. Le christianisme envisage la mort des martyrs comme une béatification. En aucune façon le martyr doit entraîner ses persécuteurs dans la mort. Ce qui l’attend est de l’ordre du spirituel, une félicité éternelle qui n’est pas de ce monde. Le judaïsme parle d’un monde futur où règne une paix éternelle où sensualité et contingence terrestre auront disparu au profit d’un rapprochement de Dieu. L’islam, en tout cas celui des foules analphabètes et d’un certain nombre de meneurs psychopathes, imagine un au-delà de stupre et de plaisirs on ne peut plus sensuels. Pour le judaïsme et le christianisme, la mort est le passage vers un état spirituel qui n’a plus rien à voir avec la vie d’ici-bas. Pour cet islam, la mort est le passage vers une vie « idéale » où tous les sens du monde réel seront satisfaits, y compris les plaisirs sexuels qui nous sont interdit dans notre vie terrestre. Comment ne pas comprendre que cette mort fantasmée, cette vision obscène et perverse de l’au-delà a des conséquences directes sur la perception de la mort, de la sienne et de celle qu’on inflige à autrui. Adam Harishon
L’erreur la plus répandue lorsque l’on parle des mouvements islamistes contemporains, et notamment du Hamas, consiste à les envisager à l’aide des concepts et des manières de penser propres à l’Occident. La plupart des analyses occidentales du phénomène islamiste ont souvent tendance à sous-estimer, voire à occulter un aspect fondamental, que l’on retrouve dans toutes les différentes mouvances et organisations islamistes : celui des croyances religieuses musulmanes, et plus précisément de l’eschatologie musulmane. C’est ainsi qu’un islamologue français réputé, auteur d’ouvrages importants sur l’islamisme contemporain, peut expliquer la révolution islamique iranienne de 1979 par « l’alliance de la bourgeoisie pieuse et de la jeunesse urbaine pauvre », et que de nombreux journalistes continuent à décrire les auteurs – palestiniens et autres – des attentats-suicide comme des « désespérés » et des laissés pour compte, alors même que toutes les recherches entreprises sur le sujet démontrent que cette grille de lecture sociologique ou marxisante ne correspond pas à la réalité. Il est impossible de comprendre les succès remportés par le Hamas, depuis les élections palestiniennes il y a presque deux ans, et la persistance de l’islamisme – dont de nombreux observateurs occidentaux annoncent régulièrement l’essoufflement ou même la prochaine disparition – si l’on fait abstraction des croyances des acteurs des mouvements islamistes ou si l’on en diminue l’importance, en les considérant comme des balivernes moyenâgeuses dénuées de signification concrète. Il faut écouter ce que disent les islamistes et accorder du poids à leur discours, si l’on veut tenter de comprendre leurs motivations et leurs stratégies. Il est significatif à cet égard de constater que les médias occidentaux, qui parlent régulièrement des événements du Proche-Orient et de la rivalité entre le Hamas et le Fatah, ne mentionnent presque jamais la Charte du mouvement islamiste. Une analyse courante du mouvement islamiste palestinien consiste à en faire un clone du Fatah, dont il ne différerait que par l’habillage religieux donné à son combat contre Israël. Selon cette conception, répandue dans les chancelleries occidentales, il suffirait d’attendre patiemment pour que le Hamas modère ses ambitions et accepte d’entrer dans le jeu des négociations afin de parvenir à une coexistence avec Israël. Le préambule de la Charte du Hamas affirme pourtant de manière claire la centralité du « combat contre les Juifs », qui doit être mené « jusqu’à ce que [les] ennemis soient vaincus et que la victoire d’Allah soit établie ». Pour saisir la conception de l’islam qui est celle du Hamas, il faut accepter de mettre de côté l’idée occidentale de la religion, conçue comme une sphère bien délimitée de l’existence. L’histoire de l’Occident chrétien est en effet celle d’une relégation toujours plus poussée de la part du religieux dans l’existence. C’est pourquoi il est difficile pour un Occidental de se représenter la manière dont un Musulman non occidentalisé peut concevoir l’islam. Un des aspects essentiels – et méconnus – de l’islamisme contemporain est celui des croyances eschatologiques. La dimension eschatologique de l’islam a souvent été minimisée, parfois pour des raisons polémiques, le christianisme se présentant comme la seule religion tournée vers l’au-delà, en rejetant l’islam dans le domaine des seules préoccupations terrestres. Cette dimension oubliée est fondamentale dans la résurgence actuelle d’un islam conquérant, car elle traverse tous les clivages du monde musulman – entre sunnisme et chiisme, entre islam traditionnel et islamisme contemporain – et permet de comprendre de très nombreux aspects du réveil de l’islam. Comme l’explique un historien français (2), « l’eschatologie représente un des traits fondamentaux de la religion musulmane. L’imminence de la fin des temps et du Jugement dernier est l’un des thèmes coraniques les plus anciens et les plus constants, qui parcourt l’ensemble du texte sacré de l’islam ». Mohammed étant le dernier prophète (le « sceau de la prophétie »), sa venue inaugure la dernière période de l’histoire universelle, c’est-à-dire la période eschatologique. Dans son recueil de Hadiths intitulé « Les grands signes de la fin du monde depuis la mission du prophète jusqu’au retour de Jésus », Abdallah al-Hajjaj cite une parole du prophète, affirmant en levant sa main que sa mission et l’Heure dernière étaient rapprochées comme son majeur de son index. Cette croyance à l’imminence de la fin des temps est un aspect fondamental du réveil de l’islam dans le monde actuel, sous ses formes pacifiques et guerrières. L’islam chiite est parfois présenté comme étant le seul à accorder une importance aux considérations eschatologiques. Il est vrai que le thème du retour de l’Imam caché, élément central des croyances de l’islam chiite, se prête facilement aux interprétations eschatologiques. Depuis la révolution islamique iranienne, en 1979, les aspirations eschatologiques occupent le devant de la scène au sein du monde musulman chiite. La croyance en l’imminence du Jugement dernier permet d’expliquer tant les comportements suicidaires, qui se sont multipliés depuis les années 1980, lors de la guerre Iran-Irak, que l’attitude actuelle du dirigeant iranien Ahmadinejad. Mais l’eschatologie est tout autant présente dans l’islam sunnite, et elle joue un rôle central dans le développement des mouvements islamistes sunnites. Toutes les composantes de la mouvance islamiste contemporaine, depuis les Frères musulmans jusqu’au Hamas et à la nébuleuse Al-Qaida, partagent en effet l’espoir de voir le Califat islamique reconstitué et considèrent le « renouveau de l’islam » comme le signe manifeste de la véracité des prophéties concernant la victoire finale de l’islam et sa propagation dans le monde entier… Paul Landau
Quel est l’objectif véritable de la France quand elle prétend parvenir à un « cessez-le-feu immédiat », qui permettra très probablement au Hamas de se réarmer avec l’aide de l’Iran, jusqu’au prochain et inévitable round de l’affrontement contre Israël ? Israël n’est pas prêt d’oublier les récents propos de M. Fabius, au lendemain de l’élimination du chef terroriste Ahmad Jabari, responsable de l’enlèvement de Guilad Shalit et de centaines d’opérations dirigées contre des civils israéliens, affirmant qu’on « n’arrive à rien en pratiquant un regain de violence ». Ces propos s’inscrivent dans le droit fil des déclarations indignes de plusieurs dirigeants français, depuis le « peuple sûr de lui et dominateur » gaullien et jusqu’à la « parenthèse de l’histoire » de Dominique de Villepin, en passant par le « est-ce une agression que de vouloir rentrer chez soi ? » de Michel Jobert… Ils montrent que la diplomatie française n’a pas changé et qu’elle reste fidèle à sa ligne traditionnelle de soutien aux pires régimes arabes, de Saddam Hussein à Yasser Arafat. En renvoyant dos-à-dos un pays démocratique en lutte pour sa survie et une organisation terroriste, M. Fabius vient de montrer une nouvelle fois le visage hideux d’une diplomatie française qui refuse à Israël le droit élémentaire à se défendre contre ses ennemis. La France ne s’honore pas en venant au secours du régime islamiste fanatique de Gaza, au moment même où Israël tente de constituer une coalition internationale contre le Hamas et le Djihad islamique, bras avancé de l’Iran. Au lieu de soutenir, comme l’ont fait les États-Unis, le Canada et l’Allemagne, la juste riposte israélienne face aux attaques incessantes du Hamas, la diplomatie française s’illustre une fois de plus dans l’ignominie et le mensonge. Bureau de l’UPJF

Roquettes et obus de mortier par centaines, missiles anti-tank (10 novembre) et anti-aériens (16 novembre), nouveaux missiles iraniens à longue portée (jusqu’à Tel Aviv et Jérusalem), percement de tunnels massifs sous la frontière, systématisation des boucliers humains et des manipulations médiatiques, lynchages de rue, rhétorique mortifère …

Alors qu’avec le cessez-le-feu à Gaza, les pompom girls occidentales du culte de la mort islamique ont repris leurs imprécations antisémites (pardon: antisionistes) et leurs appels à la levée d’un blocus imaginaire (le blcus actuel ne concerne que les armes) sur l’un des seuls territoires au monde, entre l’Iran et la Corée du nord, contrôlé par un mouvement explicitement terroriste …

Et que, fidèle à elle-même, la France a à nouveau brillé par son refus d’appeler un chat …

Pendant qu’outre la remarquable efficacité du système anti-missile israélien et la mise hors d’état de nuire d’une trentaine de chefs terroristes dont son commandant militaire et de caches de missiles par les forces israéliennes, ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre ont pu largement vérifier sur le terrain l’évidence du fonctionnement d’un mouvement qui n’utilise les trêves (tout est dit dans le mot lui-même) que pour mieux réarmer …

Comment ne pas voir, avec le journaliste italien Giulio Meotti, la véritable inversion qu’ont fait subir à nos valeurs de vie (mais l’islam dont ils se réclament est-il autre chose qu’une grossière contrefaçon du message judéo-chrétien?), le véritable culte de la mort servant actuellement de motivation aux fanatiques (pardon: « apocalyptiques ») qui dirigent non seulement le Hamas et sa Charte appelant à l’annihilation d’Israël mais la plupart des mouvements censés représenter, au Moyen-Orient, le prétendu « printemps arabe » ?

Gaza is Beslan: « They Love Death, We Love Life »

There is a gap wider than the ocean between the way Israelis look at life and the way the Hamas – and not only the Hamas – do.

Giulio Meotti

Arutz Sheva

November 21, 2012

The writer, an Italian journalist with Il Foglio, writes a twice-weekly column for Arutz Sheva. He is the author of the book « A New Shoah », that researched the personal stories of Israel’s terror victims, published by Encounter. His writing has appeared in publications, such as the Wall Street Journal, Frontpage and Commentary. He is at work on a book about the Vatican and Israel.

Hamas MP Fathi Hamed, addressing Israel, said, “We desire death more than you desire life ».

That SS Death Heads’ cry is the root of the conflict in Gaza and in the Middle East.

« We are going to win, because they love life and we love death, » said Hizbullah leader Hassan Nasrallah in the same vein.

Osama bin Laden declared: « We love death. The U.S. loves life. That is the big difference between us. »

« The Americans love Pepsi-Cola, we love death, » explained al Qaeda operative Maulana Inyadullah.

Ayatollah Ali Khamenei declared: « It is the zenith of honor for a man to be prepared to sacrifice his life in order to serve the interests of his nation and his religion. »

Hamas’s armed wing reported that it has prepared its forces in Gaza to engage the Israeli army by deploying “suicide units », read women. In Arabic it’s the « istishhadiyah », the female version of martyrdom.

When a journalist asked her if she was ready to kill Jewish children too, the [Arab]woman replied: « Yes, all, infants and children ».

My fellow journalists prefer not seeing the dormitories, the schools, the streets, the sports arenas and the events named for these messengers of death by the Palestinian Authority and Hamas.

There are 88 cases of Palestinian women who have so far chosen to die in order to bring death to the Israelis, civilian and military. The Shin Bet, Israel’s internal intelligence service, found that 33 percent of them were college graduates. They are called « the purest of bees ». Hamas founder Ahmad Yassin issued a fatwa justifying the suicide operations for women.

Kahira Saadi, a mother of four, never expressed regret for the role she played in the attack that killed four Israelis, including Zipi Shemesh, a Jewish mother pregnant with twins, and her husband Gad.

Wafa Biss wanted to become a martyr from childhood: « I believe in death, I wanted to kill fifty Jews ». Wafa tried to blow herself up in a hospital with nine kilos of explosives between her legs. When a journalist asked her if she was ready to kill Jewish children too, the woman replied: « Yes, all, infants and children ».

Ayat al Akhras was eighteen years old when she blew herself up in a supermarket in Jerusalem.

Female suicide bombers provided Hamas with an element of surprise and an easier way to pass through Israeli checkpoints. In a video recorded in December 2008, Hamas operative Umm Suheib proclaims: « I swear by Allah that I will turn my body parts into a fire that will burn the occupation soldiers ».

A 57 years Palestinian grandmother blew herself up in Jabaliya, among a group of Israeli soldiers.

In Gaza today there are women who promote a campaign of immolation as human shields. They are the « matriarchs of Hamas, » and some of them even got a seat in Gaza’s Parliament. Their leader is Jamila Shanti, the widow of former Hamas leader, Dottor Rantisi.

Gaza is like Chechnya, where women took part in suicide missions against the Russians. On the passenger list of planes blown up in 2004 there were the names of two Chechen women. They are known as « black widows ». Another two detonated themselves a few meters from the Kremlin. In the siege of the Dubrovka theater in Moscow, half of the terrorists were women. In Chechnya, women led 43 percent of the suicide attacks since 2000. Female terrorists took part in the Beslan’s Apocalypse.

This is also what’s at stake today in Gaza: the Jews’ enemies are willing to die in order to bring death to as many people as possible, while Israeli soldiers are willing to die so as to guarantee life for others.

In Palestinian society, the most famous disabled person was Hamas founder Ahmed Yassin. In Iraq, terrorists used disabled women for suicide attacks. In Israel, Down syndrome youth can ask to be inducted into the army for that purpose.

This is the story of the Middle East conflict: Islamists’ death cult vs. Israel’s right to life, epitomized by Professor Reuven Feuerstein, the Israeli pioneer who has dedicated his life to advancing Down’s Syndrome people beyond their supposed limits. He has said that “chromosomes will never have the last word”.

On the other side you have those who savor « the vivid and delightfully perverse feeling of the spilled blood », as wrote Varlam Salamov, who spent twenty years in the Gulag.

No Western society lives in greater intimacy with death than Israel, where too many parents buried their children, where too many victims are still in a coma, where too much blood has spilled, where innocent people live their lives wheelchair-bound

Five major wars and terror attacks since Israel’s founding in 1948 have resulted in thousands of disabled veterans and civilian survivors of suicide attacks. Each morning, these people wake up to the worst nightmares epitomizing Israel’s joy de vivre. They are a microcosm of the unfailing spirit so many of us in the West associate with being Israeli.

I remember a security guard at the Kiryat Hayovel supermarket who lost his legs; an Australian-born policeman who lost a leg in Neveh Ya’acov; a girl with shrapnel lodged in her brain from the double bombing at the Ben-Yehuda pedestrian mall; a boy who lost his eyesight at Haifa’s Maxim restaurant, or the pregnant policewoman, Shoshi Attiya, who chased down the terrorist in Netanya.

I think of them when I read the Western press saying that Israel is the stronger side in the conflict, with the military, the technology, the money, the knowledge base, the capacity to use force, the alliance with the United States— and that before it stands a pitifully weak people, claiming its « rights » and ready for martyrdom in order to obtain them. This is the greatest lie ever sold to public opinion.

Israel is fighting the same evil which in Kigali slaughtered those who wear glasses, which in Algeris cut the throats of monks and intellectuals and which in Tokyo used the Nervin gas in the subway.

The line of Israeli mothers and children running for a shelter under the « tzeva adom » alarm remind me of that boy with a hat too big for him, the yellow star on his chest and his hands up in the Warsaw ghetto – and the little human dots who jumped from the Twin Towers. We must not try to escape these pictures.

Richard Wagner offered us the terrorists’ final scenario: the twilight of the gods and the burning of the planet. It’s our responsibility that those who, from Gaza to Beslan, hang bombs like garlands above their children, who threaten them with death if they cry, who reduce them to drinking their own secretions , will fail in their attempts to accomplish their apocalypse.

Voir aussi:

La diplomatie française au secours du Hamas

Le Bureau de l’UPJF

18 novembre 2012

Au quatrième jour de l’Opération « Pilier de Défense », lancée par Israël pour protéger ses citoyens exposés aux tirs incessants des missiles du Hamas, la diplomatie française tente d’obtenir un « cessez-le-feu immédiat », qui risque de faire perdre à Israël tout le bénéfice de la guerre défensive déclenchée il y a moins d’une semaine. Cette initiative française soulève de nombreuses questions quant aux motivations profondes du quai d’Orsay et de son actuel occupant : – Où était M. Laurent Fabius ces dernières semaines, quand Israël subissait sans réagir les tirs incessants de roquettes sur les villes du Sud et qu’un million de ses citoyens vivaient quotidiennement dans la peur et l’angoisse pour leur vie et celle de leurs enfants ?

– Pourquoi la diplomatie française ne se réveille que lorsque l’État juif met fin à sa retenue pour frapper sans merci le Hamas, organisation terroriste fanatique qui gouverne la bande de Gaza depuis le retrait israélien en 2005 ?

– Quel est l’objectif véritable de la France quand elle prétend parvenir à un « cessez-le-feu immédiat », qui permettra très probablement au Hamas de se réarmer avec l’aide de l’Iran, jusqu’au prochain et inévitable round de l’affrontement contre Israël ?

Israël n’est pas prêt d’oublier les récents propos de M. Fabius, au lendemain de l’élimination du chef terroriste Ahmad Jabari, responsable de l’enlèvement de Guilad Shalit et de centaines d’opérations dirigées contre des civils israéliens, affirmant qu’on « n’arrive à rien en pratiquant un regain de violence ».

Ces propos s’inscrivent dans le droit fil des déclarations indignes de plusieurs dirigeants français, depuis le « peuple sûr de lui et dominateur » gaullien et jusqu’à la « parenthèse de l’histoire » de Dominique de Villepin, en passant par le « est-ce une agression que de vouloir rentrer chez soi ? » de Michel Jobert…

Ils montrent que la diplomatie française n’a pas changé et qu’elle reste fidèle à sa ligne traditionnelle de soutien aux pires régimes arabes, de Saddam Hussein à Yasser Arafat. En renvoyant dos-à-dos un pays démocratique en lutte pour sa survie et une organisation terroriste, M. Fabius vient de montrer une nouvelle fois le visage hideux d’une diplomatie française qui refuse à Israël le droit élémentaire à se défendre contre ses ennemis.

La France ne s’honore pas en venant au secours du régime islamiste fanatique de Gaza, au moment même où Israël tente de constituer une coalition internationale contre le Hamas et le Djihad islamique, bras avancé de l’Iran. Au lieu de soutenir, comme l’ont fait les États-Unis, le Canada et l’Allemagne, la juste riposte israélienne face aux attaques incessantes du Hamas, la diplomatie française s’illustre une fois de plus dans l’ignominie et le mensonge.

Voir également:

Palestiniens/vidéos : Une insatiable jouissance du sang

Shraga Blum

Israel-flash- europe-israel

Aschkel

novembre 22nd, 2012

Les images insoutenables des corps mutilés des six Palestiniens accusés d’avoir collaboré avec Israël ont déjà fait le tout du monde…Et

Shraga Blum

Le Hamas ne s’est pas contenté de faire exécuter ces six individus sans autre forme de procès, mais leurs corps ont été exposés dans la rue, avant d’être piétinés, mutilés par une foule en liesse hystérique qui pataugeait et crachait dans leur sang.

L’un des cadavres à même été attaché par une corde à une motocyclette qui l’a traînée dans les rues de Gaza, accompagnée de Palestiniens en délire qui tiraient en l’air en signe de joie et de victoire.

Malheureusement pour la propagande du Hamas, généralement plus avisée, les exécutants de ce massacre ont librement laissé les spectateurs comblés – dont de nombreux enfants – filmer et photographier ces scènes avant de les diffuser sur les réseaux sociaux.

Ainsi se retournait contre le Hamas l’arme favorite dont il use et abuse depuis une semaine : la diffusion de clichés de blessés ou morts arabes, de préférence ensanglantés – la plupart pris d’ailleurs en Syrie – destinés à présenter Israël comme étant un pays barbare.

Interrogés par les médias occidentaux, les responsables du Hamas à Gaza et à l’étranger, mis au pied du mur, ont redoublé de ruse et ont une fois de plus menti effrontément en disant « regretter ces scènes » et affirmant « que ces collaborateurs auraient dû bénéficier d’un procès ». Comme c’est le cas en général…

Ces scènes tournées dans la sphère du Hamas sont à relier directement à celles qui avaient choqué le pays lors du terrible lynch de Ramallah, fief du Fatah, le 12 octobre 2000, où une foule en liesse avait massacré et mutilé deux malheureux réservistes israéliens dont le seul tort avait été d’entrer par erreur dans la ville.

Là aussi, des scènes terribles avaient été immortalisées, notamment celle d’un Arabe palestinien faisant le « V » de la victoire depuis les fenêtres du commissariat devant une foule exaltée à la vue du sang sur ses mains. A l’époque, Arafat avait usé de menaces sur les reporters étrangers afin qu’ils renoncent à diffuser ces images, mais aujourd’hui ce genre de procédé n’est plus possible n’importe quel enfant peut désormais diffuser des photos dans le monde entier depuis son téléphone portable.

Les exemples sont encore nombreux de cette fascination morbide et meurtrière pour le sang qui règne dans la culture arabo-musulmane.

Il faut le dire même si cela sort du cadre du politiquement correct : il y a un abîme culturel et civilisationnel entre le Judaïsme et l’Islam notamment sur cette question. Sauf très rares exceptions, jamais les médias israéliens, ni Tsahal ni même les citoyens n’ont diffusé des images choquantes après des attentats, et les scènes d’horreur étaient toujours rapidement nettoyées afin « que la vie reprenne ». Personne au monde n’a vu par exemple sur ses écrans les images des corps des trois victimes de Kiryat Malakhi, car la pudeur juive n’a d’égale que le goût du sang chez nos ennemis.

Israël en paie paradoxalement le prix fort en termes d’image, puisque les foyers de la planète sont inondés d’images à charge contre l’Etat juif, même si elles sont la plupart du temps tronquées, alors qu’Israël enterre ses morts dans la discrétion et le respect qui leur est dû ainsi qu’à leurs familles.

Il suffit de voir les scènes de liesse à Gaza lorsqu’un attentat touche des civils israéliens pour comprendre qu’il s’agit de deux mondes antagonistes, l’un sanctifiant la vie et la morale, l’autre vénérant la violence et la mort.

Une ligne bien rouge relie ceux qui sèment la mort à travers le monde au nom du Coran : un goût ancestral pour la violence, le mensonge, le chantage et le sang.

Voir encore:

Un culte de la mort obscène

Adam Harishon

Adam’s chronicles

novembre 20th, 2012

A chaque nouvel épisode sanglant dans un pays arabe, le culte de la mort de l’islam que les foules expriment devant les caméras ne peut manquer de nous interpeller:

1/ Dans son étalage public, sang, blessés, cadavres : la mort s’exhibe. Elle s’accompagne de l’hystérie collective, des cris, des pleurs, des menaces, de portraits géants comme si la douleur de ceux qui sont touchés par la perte d’un des leurs n’avaient de sens que si chacun pouvait voir, toucher le cadavre. Ce rapport sensuel, voyeur et sans pudeur à la mort est tellement éloigné de notre propre sensibilité à nous qui couvrons nos morts, qui pleurons en silence, qui évitons toutes photos, qu’il est impossible de ne pas s’interroger sur les conséquences de ces différences.

D’un point de vue ethnologique, nous pourrions nous contenter d’observer ces différences sans les juger. Mais cela n’est pas possible, car de ces comportements envers les morts naissent des comportements envers les vivants qu’il n’est pas possible d’ignorer et de ne pas condamner.

2/ Le sang appelle la vengeance du sang. La vengeance, ce n’est pas l’action que l’on entreprend pour se débarrasser d’une menace ou d’un ennemi. La vengeance ne trouve pas sa récompense dans l’élimination de l’ennemi, mais dans le sang qu’on lui fait verser. Cette différence est importante, elle explique pourquoi les groupes terroristes n’ont pas d’état d’âme quant à leurs cibles. Leur but n’est pas d’affaiblir la force armée qui les opprimerait, mais de faire couler le sang de l’ennemi.

L’armée d’Israël ne cherche pas à tuer des civils innocents, mais à éliminer les donneurs d’ordre des factions terroristes. Le seul but de ses interventions, c’est l’élimination d’une menace. Ceux qui prétendent que les groupes terroristes utilisent les moyens qui sont à leur disposition face à une armée sur-puissante font l’impasse sur l’aspect strictement culturel du mode de fonctionnement de ces assassins. C’est leur rapport à la mort qui dicte leur stratégie, et non pas le contexte du rapport de force. Tirer sur des civils est un acte délibéré qui est directement inspiré par leur psyché.

Ceci mis au point, il devient légitime de se demander si ce rapport à la mort est lié à leur religion.

3/ Le christianisme envisage la mort des martyrs comme une béatification. En aucune façon le martyr doit entraîner ses persécuteurs dans la mort. Ce qui l’attend est de l’ordre du spirituel, une félicité éternelle qui n’est pas de ce monde. Le judaïsme parle d’un monde futur où règne une paix éternelle où sensualité et contingence terrestre auront disparu au profit d’un rapprochement de Dieu.

L’islam, en tout cas celui des foules analphabètes et d’un certain nombre de meneurs psychopathes, imagine un au-delà de stupre et de plaisirs on ne peut plus sensuels. Pour le judaïsme et le christianisme, la mort est le passage vers un état spirituel qui n’a plus rien à voir avec la vie d’ici-bas. Pour cet islam, la mort est le passage vers une vie « idéale » où tous les sens du monde réel seront satisfaits, y compris les plaisirs sexuels qui nous sont interdit dans notre vie terrestre.

Comment ne pas comprendre que cette mort fantasmée, cette vision obscène et perverse de l’au-delà a des conséquences directes sur la perception de la mort, de la sienne et de celle qu’on inflige à autrui.

C’est cette vision de la mort qui est responsable de la vision de la vie de ces nazislamistes.

Dans l’univers mental de ces fous, la vie de leurs compatriotes n’a pas plus de valeur que celle de leurs ennemis.

Ces scories de l’islam populaire polluent le monde musulman dans sa totalité.

Ces foules en délire, hystériques dans la douleur quand elles accompagnent leurs morts et hystériques dans la joie quand elles font couler le sang de l’ennemi ne seront pas éduquées avant plusieurs générations tant que de tels leaders les manipuleront.

Nous n’avons pas à hésiter à éliminer les uns après les autres de tels pervers.

Voir de même:

Le Hamas : un mouvement islamiste apocalyptique

Paul Landau

19/11/2012

(Alors que les médias israéliens évoquent l’éventualité d’un « cessez-le-feu » entre Israël et le Hamas, il est essentiel de comprendre la nature profonde du mouvement islamiste palestinien, pour être en mesure d’apprécier ses motivations et ses aspirations. C’est l’objet de l’analyse ci-dessous. Paul Landau.)

L’erreur la plus répandue lorsque l’on parle des mouvements islamistes contemporains, et notamment du Hamas, consiste à les envisager à l’aide des concepts et des manières de penser propres à l’Occident. La plupart des analyses occidentales du phénomène islamiste ont souvent tendance à sous-estimer, voire à occulter un aspect fondamental, que l’on retrouve dans toutes les différentes mouvances et organisations islamistes : celui des croyances religieuses musulmanes, et plus précisément de l’eschatologie musulmane.

C’est ainsi qu’un islamologue français réputé, auteur d’ouvrages importants sur l’islamisme contemporain, peut expliquer la révolution islamique iranienne de 1979 par « l’alliance de la bourgeoisie pieuse et de la jeunesse urbaine pauvre » (1), et que de nombreux journalistes continuent à décrire les auteurs – palestiniens et autres – des attentats-suicide comme des « désespérés » et des laissés pour compte, alors même que toutes les recherches entreprises sur le sujet démontrent que cette grille de lecture sociologique ou marxisante ne correspond pas à la réalité.

Il est impossible de comprendre les succès remportés par le Hamas, depuis les élections palestiniennes il y a presque deux ans, et la persistance de l’islamisme – dont de nombreux observateurs occidentaux annoncent régulièrement l’essoufflement ou même la prochaine disparition – si l’on fait abstraction des croyances des acteurs des mouvements islamistes ou si l’on en diminue l’importance, en les considérant comme des balivernes moyenâgeuses dénuées de signification concrète.

Il faut écouter ce que disent les islamistes et accorder du poids à leur discours, si l’on veut tenter de comprendre leurs motivations et leurs stratégies. Il est significatif à cet égard de constater que les médias occidentaux, qui parlent régulièrement des événements du Proche-Orient et de la rivalité entre le Hamas et le Fatah, ne mentionnent presque jamais la Charte du mouvement islamiste.

Que veut le Hamas?

Une analyse courante du mouvement islamiste palestinien consiste à en faire un clone du Fatah, dont il ne différerait que par l’habillage religieux donné à son combat contre Israël. Selon cette conception, répandue dans les chancelleries occidentales, il suffirait d’attendre patiemment pour que le Hamas modère ses ambitions et accepte d’entrer dans le jeu des négociations afin de parvenir à une coexistence avec Israël.

Le préambule de la Charte du Hamas affirme pourtant de manière claire la centralité du « combat contre les Juifs », qui doit être mené « jusqu’à ce que [les] ennemis soient vaincus et que la victoire d’Allah soit établie ». Pour saisir la conception de l’islam qui est celle du Hamas, il faut accepter de mettre de côté l’idée occidentale de la religion, conçue comme une sphère bien délimitée de l’existence. L’histoire de l’Occident chrétien est en effet celle d’une relégation toujours plus poussée de la part du religieux dans l’existence. C’est pourquoi il est difficile pour un Occidental de se représenter la manière dont un Musulman non occidentalisé peut concevoir l’islam.

L’eschatologie, au cœur du conflit entre l’islam et l’Occident

Un des aspects essentiels – et méconnus – de l’islamisme contemporain est celui des croyances eschatologiques. La dimension eschatologique de l’islam a souvent été minimisée, parfois pour des raisons polémiques, le christianisme se présentant comme la seule religion tournée vers l’au-delà, en rejetant l’islam dans le domaine des seules préoccupations terrestres.

Cette dimension oubliée est fondamentale dans la résurgence actuelle d’un islam conquérant, car elle traverse tous les clivages du monde musulman – entre sunnisme et chiisme, entre islam traditionnel et islamisme contemporain – et permet de comprendre de très nombreux aspects du réveil de l’islam.

Comme l’explique un historien français (2), « l’eschatologie représente un des traits fondamentaux de la religion musulmane. L’imminence de la fin des temps et du Jugement dernier est l’un des thèmes coraniques les plus anciens et les plus constants, qui parcourt l’ensemble du texte sacré de l’islam ». Mohammed étant le dernier prophète (le « sceau de la prophétie »), sa venue inaugure la dernière période de l’histoire universelle, c’est-à-dire la période eschatologique.

Dans son recueil de Hadiths intitulé « Les grands signes de la fin du monde depuis la mission du prophète jusqu’au retour de Jésus », Abdallah al-Hajjaj cite une parole du prophète, affirmant en levant sa main que sa mission et l’Heure dernière étaient rapprochées comme son majeur de son index. Cette croyance à l’imminence de la fin des temps est un aspect fondamental du réveil de l’islam dans le monde actuel, sous ses formes pacifiques et guerrières.

L’islam chiite est parfois présenté comme étant le seul à accorder une importance aux considérations eschatologiques. Il est vrai que le thème du retour de l’Imam caché, élément central des croyances de l’islam chiite, se prête facilement aux interprétations eschatologiques. Depuis la révolution islamique iranienne, en 1979, les aspirations eschatologiques occupent le devant de la scène au sein du monde musulman chiite. La croyance en l’imminence du Jugement dernier permet d’expliquer tant les comportements suicidaires, qui se sont multipliés depuis les années 1980, lors de la guerre Iran-Irak, que l’attitude actuelle du dirigeant iranien Ahmadinejad.

La dimension eschatologique du mouvement islamiste sunnite

Mais l’eschatologie est tout autant présente dans l’islam sunnite, et elle joue un rôle central dans le développement des mouvements islamistes sunnites. Toutes les composantes de la mouvance islamiste contemporaine, depuis les Frères musulmans jusqu’au Hamas et à la nébuleuse Al-Qaida, partagent en effet l’espoir de voir le Califat islamique reconstitué et considèrent le « renouveau de l’islam » comme le signe manifeste de la véracité des prophéties concernant la victoire finale de l’islam et sa propagation dans le monde entier…

A SUIVRE…

http://paullandau.20minutes-blogs.fr/

Note de Menahem Macina

[Pour mémoire, Paul Landau est l’auteur de deux livres sur le sujet :

1. « Le sabre et le Coran : Tariq Ramadan et les Frères musulmans à la conquête de l’Europe »

2. « Pour Allah jusqu’à la mort : Enquête sur les convertis à l’islam radical ».]

 Voir enfin:

Ceasefire Agreement Comes Into Effect

IDF

November 21, 2012

A short while ago, a ceasefire agreement regarding the fighting in the south, came into effect. Following eight days of operations, the IDF has accomplished its pre-determined objectives for Operation Pillar of Defense, and has inflicted severe damage to Hamas and its military capabilities.

As a result of IDF operations, the command and control apparatus of Hamas was significantly struck, beginning with the targeting of the commander of the military wing of Hamas, Ahmed Jabri, continuing with the targeting of broad terrorist infrastructure, facilities and military bases, as well as the destruction of dozens of smuggling and explosive tunnels.

During the operation, the IDF damaged and destroyed significant elements of Hamas’ strategic capabilities, among them. Amongst those capabilities were long-range (over 40 km) and hundreds of short- and medium-range rocket launchers. These actions have severely impaired Hamas’ launching capabilities, resulting in a decreasing number of rockets being fired from the Gaza Strip. The ‘Iron Dome’ defense system has accomplished high rate of successful interceptions (84%) and Hamas’ accuracy with regards to hitting populated areas within Israel remained below 7%.

IDF soldiers, in regular and reserve military service, gathered in assembly areas and prepared for the ground operation. Their time was used for training and improving their operational capabilities.

These operational achievements provided the underlying framework for this evening’s ceasefire agreement.

At this time, Israeli residents are requested to continue to pay attention to Home Front Command’s instructions.

Over the course of Operation Pillar of Defense, the IDF targeted over 1,500 terror sites including 19 senior command centers, operational control centers and Hamas’ senior-rank headquarters, 30senior operatives, damaging Hamas’ command and control, hundreds of underground rocket launchers, 140 smuggling tunnels, 66 terror tunnels, dozens of Hamas operation rooms and bases,26 weapon manufacturing and storage facilities and dozens of long-range rocket launchers and launch sites.

Senior Operatives Targeted:

Ahmed Jabari, head of Hamas’ military wing – targeted on November 14

Hab’s Hassan Us Msamch, senior operative in Hamas’ police – targeted on November 15

Ahmed Abu Jalal, Commander of the military wing in Al-Muazi – targeted on November 16

Khaled Shaer, senior operative in the anti-tank operations – targeted on November 16

Osama Kadi, senior operative in the smuggling operations in the southern Gaza Strip – targeted on November 17

Muhammad Kalb, senior operative in the aerial defense operations – targated on November 17

Ramz Harb, Islamic Jihad senior operative in propaganda in Gaza city – targeted on November 19

Number of Rocket Launches Toward Israel During the Operation:

November 14: 75 rockets

November 15: 316 rockets

November 16: 228 rockets

November 17: 237 rockets

November 18: 156 rockets

November 19: 143 rockets

November 20: 221 rockets

November 21 (Until 21:00): 130 rockets

Rocket Launched Towards Israel:

Total number of rockets launched from the Gaza Strip: 1,506 rockets

Number of rockets hit open areas: 875 rockets

Number of rockets hit urban areas: 58 rockets

“Iron Dome” interceptions: 421 rockets

Failed launching attempts: 152 rockets

Israeli Casualties:

Fatalities: 5

Injuries: 240

Voir encore:

IDF Tracked Rockets From Iran to Hamas

Akhikam Moshe David. Translated from Maariv (Israel).

The smuggling operation was highly complex. The Fajr-5 rockets made in Iran, each six meters long, were transported all the way from their country of origin — dismantled and re-assembled along the way, smuggled via the Gaza Strip tunnels and then hoisted out using cranes — until they were positioned at their launching sites in Gaza.

Summary:

The Israel Defense Forces had been tracking the shipment of Fajr-5 missiles from Iran for over a year before the Israeli strike, reports Akhikam Moshe David.

However, the smugglers were unaware that all that time, for over a year, IDF intelligence, headed by Maj. Gen. Aviv Kochavi, was after them, tracking them down from the moment they left Iran, targeting and destroying the rockets in a matter of minutes.

While Operation Pillar of Defense started with the targeting and killing of Hamas’ military chief in Gaza Ahmed Jabari, the terror organizations in the Gaza Strip were in for an even bigger shock when they realized that virtually the entire lineup of Fajr-5 rockets was eliminated in the space of a few minutes. The Fajr-5 rockets were the most potent weapons in the arsenal of Hamas and the Islamic Jihad. The rockets have a potential range of up to 75 km (47 miles), and they thus may threaten Israel’s central Dan district.

The terror organizations had been stockpiling the Fajr-5 rockets in hidden storage sites over a long period of time, intending to use them on the « day of judgment” as a “tie-breaker” weapon

The smuggling of rockets into the Gaza Strip was foiled, in part, far away from Gaza. According to reports by foreign sources, it was Israel that bombed the weapon-carrying convoys that left Iran on their way to Gaza.

The long rockets were dismantled into several parts by the smugglers before moving them through the tunnels, while storage sites were prepared for them in Gaza. Israeli intelligence operatives detected excavations in various places across the Gaza Strip, mainly near civilian population centers. These column-like holes were dug out, and the rockets transferred through the tunnels and hoisted out by cranes, which then hid the rockets deep down in the holes, ready for launching in their pre-planned directions. To each launching site, a special operator was assigned so that each knew where “his » rocket, the one he was to fire when the day came, was located.

All through that time, IDF intelligence analyzed the data collected and charted the map of rocket deployment, detailing the exact location of each one, its type, where it was pointed and the nature of its immediate surroundings. Once the intelligence elements identified each rocket and its surrounding area, the information was passed on to the Israel air force.

In this way, an accurate bank of targets was prepared in the course of over a year. The innocent-looking launching sites, covered by soil, were supposed to go into action when the time came. However, the IDF was ahead of them: Just a few minutes following the targeting and killing of Jabari, the second wave of air strikes was already underway and within a quarter of an hour, virtually the entire lineup of Fajr-5 rockets was eliminated.

12 Responses to Gaza: Le Hamas n’a fait que confirmer qu’il est bien un culte de la mort (We desire death more than you desire life)

  1. […] ne pas voir, avec le journaliste italien Giulio Meotti, la véritable inversion qu’ont fait subir à nos valeurs de vie (mais l’islam dont ils se réclament est-il autre chose […]

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  2. […] des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, de l’éclatante confirmation du statut de culte de la mort du Hamas […]

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  3. […] pour voir et des oreilles pour entendre, a eu au moins le mérite de confirmer, après celle de la barbarie de leurs chefs, l’évidence de l’insatiable rivalité identitaire qui motive les musulmans en […]

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  4. […] pour voir et des oreilles pour entendre, a eu au moins le mérite de confirmer, après celle de la barbarie de leurs chefs, l’évidence de l’insatiable rivalité identitaire qui motive les musulmans en […]

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  5. […] pour voir et des oreilles pour entendre, a eu au moins le mérite de confirmer, après celle de la barbarie de leurs chefs, l’évidence de l’insatiable rivalité identitaire qui motive les musulmans en […]

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  6. […] des enfants palestiniens, comme vient d’ailleurs de le confirmer il y a un mois à Gaza le Hamas lui-même, mais de comparer leur sort à celui des enfants juifs abattus par le jihadiste de […]

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  7. […] l’heure où un Occident bien-pensant qui venait avec les missiles iraniens de Gaza d’avoir une énième confirmation de ce qu’était censé nous avoir appris il y a plus […]

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  8. […] des enfants palestiniens, comme vient d’ailleurs de le confirmer il y a un mois à Gaza le Hamas lui-même, mais de comparer leur sort à celui des enfants juifs abattus par le jihadiste de […]

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  9. […] A chaque nouvel épisode sanglant dans un pays arabe, le culte de la mort de l’islam que les foules expriment devant les caméras ne peut manquer de nous interpeller. (…) D’un point de vue ethnologique, nous pourrions nous contenter d’observer ces différences sans les juger. Mais cela n’est pas possible, car de ces comportements envers les morts naissent des comportements envers les vivants qu’il n’est pas possible d’ignorer et de ne pas condamner. Le sang appelle la vengeance du sang. La vengeance, ce n’est pas l’action que l’on entreprend pour se débarrasser d’une menace ou d’un ennemi. La vengeance ne trouve pas sa récompense dans l’élimination de l’ennemi, mais dans le sang qu’on lui fait verser. Cette différence est importante, elle explique pourquoi les groupes terroristes n’ont pas d’état d’âme quant à leurs cibles. Leur but n’est pas d’affaiblir la force armée qui les opprimerait, mais de faire couler le sang de l’ennemi. L’armée d’Israël ne cherche pas à tuer des civils innocents, mais à éliminer les donneurs d’ordre des factions terroristes. Le seul but de ses interventions, c’est l’élimination d’une menace. Ceux qui prétendent que les groupes terroristes utilisent les moyens qui sont à leur disposition face à une armée sur-puissante font l’impasse sur l’aspect strictement culturel du mode de fonctionnement de ces assassins. C’est leur rapport à la mort qui dicte leur stratégie, et non pas le contexte du rapport de force. Tirer sur des civils est un acte délibéré qui est directement inspiré par leur psyché. Ceci mis au point, il devient légitime de se demander si ce rapport à la mort est lié à leur religion. Le christianisme envisage la mort des martyrs comme une béatification. En aucune façon le martyr doit entraîner ses persécuteurs dans la mort. Ce qui l’attend est de l’ordre du spirituel, une félicité éternelle qui n’est pas de ce monde. Le judaïsme parle d’un monde futur où règne une paix éternelle où sensualité et contingence terrestre auront disparu au profit d’un rapprochement de Dieu. L’islam, en tout cas celui des foules analphabètes et d’un certain nombre de meneurs psychopathes, imagine un au-delà de stupre et de plaisirs on ne peut plus sensuels. Pour le judaïsme et le christianisme, la mort est le passage vers un état spirituel qui n’a plus rien à voir avec la vie d’ici-bas. Pour cet islam, la mort est le passage vers une vie « idéale » où tous les sens du monde réel seront satisfaits, y compris les plaisirs sexuels qui nous sont interdit dans notre vie terrestre. Comment ne pas comprendre que cette mort fantasmée, cette vision obscène et perverse de l’au-delà a des conséquences directes sur la perception de la mort, de la sienne et de celle qu’on inflige à autrui.  Adam Harishon […]

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  10. […] enfants pour dire à l’ennemi sioniste que nous tenons à la mort autant qu’il tient à la vie. Fathi Hammad (responsable du Hamas, mars […]

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  11. […] une communauté internationale continue à financer une organisation terroriste qui utilise l’essentiel de ses ressources pour amasser par milliers roquettes et missiles […]

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