Terrorisme: La jihadite subite a encore frappé (Going jihadal: Aren’t those the guys that always go crazy and shoot everybody?)

Going postal
https://i0.wp.com/www.pewglobal.org/files/2009/07/Report-1-2009-78.pngC’est pas les types qui pètent tout le temps les plombs et reviennent avec un pistolet et tuent tout le monde? George (Seinfeld)
La même force culturelle et spirituelle qui a joué un rôle si décisif dans la disparition du sacrifice humain est aujourd’hui en train de provoquer la disparition des rituels de sacrifice humain qui l’ont jadis remplacé. Tout cela semble être une bonne nouvelle, mais à condition que ceux qui comptaient sur ces ressources rituelles soient en mesure de les remplacer par des ressources religieuses durables d’un autre genre. Priver une société des ressources sacrificielles rudimentaires dont elle dépend sans lui proposer d’alternatives, c’est la plonger dans une crise qui la conduira presque certainement à la violence. Gil Bailie
Si nous nous sommes penchés par le passé sur les conditions de travail et la sécurité de nos bureaux de poste quand les employés (entre 1986 et 1997) ont craqué sous le prétexte du stress au travail et si nous avons étudié la connexion jeux vidéo, drogues, cultes et aliénation de la contre-culture quand les jeunes de nos banlieues pavillonnaires ont été pris de crises de folie meurtrière, alors il semble légitime de rechercher des correlations quand quelqu’un se qualifie lui-même de musulman plutôt radical et ouvre le feu au cri d’ »Allah Akbar!  » – de la même manière que le conducteur fou de Caroline du Nord ou le tueur de Seattle ou le conducteur meurtrier de San Francisco ont dit après coup qu’ils avaient agi au nom de leur ferveur religieuse islamique contre les juifs ou les occidentaux. Victor Davis Hanson
Les gens partout dans le monde se font tuer dans des guerres et maintenant, c’est le tour des gens des États-Unis de se faire tuer. Mohammed Reza Taheri-azar
Je suis un Américain musulman; je suis furieux contre Israël (…)Je veux voir nos armes retirées d’Israël (…) Je veux que ces Juifs s’en aillent. (…) Votre politique étrangère me rend malade. Ce sont des Juifs. Je n’en peux plus de me faire marcher sur les pieds, de voir les nôtres malmenés par la situation au Moyen-Orient. (…) Je suis un Américain aussi, mais je veux juste que les nôtres quittent l’Irak.

Nous pensons (…) qu’il s’agit d’un individu solitaire exprimant son antagonisme. Rien n’indique que l’acte soit lié au terrorisme.
Police de Seattle
La réplique des Musulmans qui consiste à dénoncer ces attitudes comme autant de préjugés, comme le « nouvel antisémitisme » ou encore comme une « islamophobie » est aussi mal fondée que d’accuser les antinazis de « germanophobie » ou les anticommunistes de « russophobie ». Au lieu de se présenter comme des victimes, les Musulmans feraient mieux de contrer ces craintes en développant une version modérée, moderne et fraternelle de l’Islam qui rejetterait l’Islam radical, le djihad et l’assujettissement des «infidèles». Daniel Pipes
Certains islamistes peuvent se montrer respectueux des lois et raisonnables, mais ils font partie d’un mouvement totalitariste et, à ce titre, doivent être considérés comme des meurtriers potentiels. Daniel Pipes (nov. 2001)

Après la poste, l’école, le bureau, la route, l’air, le vélo, le caddy, l’ordinateur, les anabolisants, les emballages

Faudra-t-il bientôt ajouter l’islam à la déjà longue liste des causes des crises de violence subites?

Mohammed Reza Taheri-azar, Maher Hawash, Ryan Anderson, David Belfield, Clement Rodney Hampton-el, Mark Fidel Kools, John Muhammad, Randall Royer, membres de Jamaat ul Fuqra, Rashid Baz, Wadih el-Hage, John Samuel, Najibullah Zazi, Daniel Patrick Boyd, Hysen Sherifi, Hosam Maher Husein Smadi, Naveed Afzal Haq, Omeed Aziz Popal, Carlos Bledsoe, Nidal Hasan (Etats-Unis) …

Germaine Lindsay, Richard Reid, Andrew Rowe (Royaume-Uni) …

Muriel Degauque (Belgique) …

Jack Roche (Australie) …

David Courtailler, Pierre Richard Robert, Ruddy Teranova (France) …

Steven Smyrek (Allemagne) …

Domenico Quaranta (Italie) …

Jason Walters (Pays-Bas) …

Mouvement de convertis Rajah Solaiman (Philippines) …

Anti-dépresseur prescrit par ordonnance, cambriolage qui a mal tourné, violence de rue, beaucoup, beaucoup d’ennemis dans son esprit, accident de la circulation, dispute au travail, relation de famille orageuse, problème de comportement, maladie mentale, solitude et dépression, désaccord entre le suspect et un autre membre du personnel, animosité envers les femmes, stress du mariage arrangé, médicament contre l’acné, racisme, harcèlement subi en tant que musulman, sentiment de non-appartenance, syndrome de stress pré-traumatique, problèmes mentaux, problèmes émotionnels, quantité excessive de stress, crainte d’être envoyé en Afghanistan …

La liste est longue, au lendemain du plus grave attentat islamiste depuis le 11/9 sur le territoire américain, des attaques réussies ou déjouées, en Occident ou ailleurs, de musulmans ou convertis pris soudain de jihadite subite et aigüe.

Comme est sans limite l’imagination de nos belles âmes pour les faire oublier en en multipliant les raisons et les étiquettes pseudo-médicales.

Et surtout éluder, comme le rappelle Daniel Pipes, la question non seulement de la surveillance et du profilage des membres d’une religion qui continue à inciter à la violence mais la place, dans une société civilisée, de ladite religion qui, entre ses mosquées, ses écoles, ses associations et ses médias islamistes, les motive.

Question certes difficile quand on sait que selon un récent sondage, les attentats suicides sont considérés comme « souvent, parfois ou exceptionnellement justifiés » pour défendre l’islam par 13 % des musulmans allemands, 15 % des musulmans britanniques, 25% des musulmans espagnols et 35% des musulmans français.

Et qu’entre son enfance musulmane et ses liens avec des organisations anti-américaines et subversives ou pro-islamistes, le président américain actuellement en place… ne répondrait pas lui-même aux critères de sécurité exigés pour l’engagement des employés du gouvernement fédéral!

Djihad soudain ou syndrome d’extrême stress à Fort Hood?
Daniel Pipes
FrontPageMagazine.com
9 novembre 2009

http://fr.danielpipes.org/7750/djihad-soudain-ou-syndrome-dextreme-stress-a-fort

Version originale anglaise: Sudden Jihad or « Inordinate Stress » at Ft. Hood?
Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

Quand un musulman en Occident, sans raison apparente, attaque violemment des non-musulmans, il s’ensuit une discussion prévisible sur les raisons qui l’ont poussé à agir.

L’Establishment – Force de l’ordre, politiciens, médias et monde académique- se trouve d’un côté de ce débat, insistant sur le fait qu’une certaine forme d’oppression a poussé le Major Nidal Malik Hassan, âgé de 39 ans, à tuer 13 personnes et à en blesser 38, au camp militaire de Fort Hood [au Texas], le 5 novembre.

Toutefois il y a désaccord sur les détails [de l’oppression]. Hassan est présenté alternativement comme victime de « racisme », de « harcèlement subi en tant que musulman », de « sentiment de non-appartenance », du « syndrome de stress pré-traumatique », de « problèmes mentaux », de « problèmes émotionnels », de « quantité excessive de stress » ou [la crainte]d’être envoyé en Afghanistan comme étant son « pire cauchemar ». La conclusion peut se lire dans un en-tête typique d’un journal : « Ce qui s’est passé dans la tête du Major solitaire reste un mystère »

Les cas de violence de Musulmans contre les non-musulmans inspirent à ceux qui tiennent Hassan pour une victime de nouvelles excuses pleines d’imagination.

Voici quelques exemples pittoresques (inspirés par mon article [d’il y a quelques années] et du billet de mon blogue au sujet du refus du terrorisme islamiste)

* 1990 : (pour expliquer l’assassinat du rabbin Meir Kahane ) [on a estimé que le meurtrier aurait pris ] « un anti-dépresseur prescrit par ordonnance ».
* 1991 : (l’assassinat à Sydney de Makin Morcos) [a été ainsi motivé] « un cambriolage qui a mal tourné ».
* 1994 : (L’assassinat au hasard d’un Juif sur le pont de Brooklyn ) [est expliqué comme] « violence de la rue ».
* 1997: (Les coups de feu qui ont tué des civils au sommet de l’Empire State Building) [ont été expliqués par] » beaucoup, beaucoup d’ennemis dans son esprit ».
* 2000 : (L’attaque contre un bus scolaire d’écoliers juifs près de Paris)[a été expliquée comme un] « accident de la circulation ».
* 2002 : ( le double meurtre de LAX [de los Angeles International Airport, a été expliqué comme] une « dispute au travail ».
* 2002 : (‘Les francs-tireurs embusqués de Beltway) [ont été expliqués comme ] une « relation de [famille] orageuse.
* 2003 : (L’attaque de Hassan Karim Akbar sur des compagnons d’armes en en tuant deux) [a été expliquée comme ] un « problème de comportement. »
* 2003 : (Le meurtre par mutilation de Sébastien Sellam) [a été qualifié de] « maladie mentale ».
* 2004 : (Une explosion à Brescia en Italie devant un restaurant McDonald)[a été expliquée par ] la « solitude et dépression. »
* 2005 : (Un massacre dans une maison de retraite en Virginie ) [ a été qualifié de ] « un désaccord entre le suspect et un autre membre du personnel » .
* 2006 : (La tuerie qui a eu lieu au siège de la Fédération juive de Greater Seattle) [a été expliquée comme] une « animosité envers les femmes ».
* 2006 : (Le meurtre avec un véhicule de sport en Caroline du Nord )[a été expliqué par] « son récent mariage arrangé peut l’avoir rendu stressé ».

Le sergent Karim Hassan Akbar , reconnu coupable du meurtre , en 2003, de deux autres soldats.
En outre, quand un admirateur arabo- américain d’Oussama Ben Laden a écrasé son avion sur un immeuble à Tampa , le blâme retombait sur le médicament contre l’acné, l’Accutane.

En tant que membre fondateur de l’école d’interprétation du djihad, je rejette ces explications comme étant faibles, tentant de noyer le poisson et cherchant des excuses. L’école djihadiste, toujours minoritaire, perçoit l’attaque de Hassan comme l’un des nombreux efforts musulmans déployés pour vaincre les infidèles et imposer la loi islamique. Nous nous rappelons un épisode antérieur de syndrome de djihad soudain dans l’armée américaine, ainsi que les nombreux cas de complots non meurtriers du djihad au Pentagone et l’histoire de la violence musulmane sur le sol américain.

Loin d’être mystifiés par Hassan, nous voyons des preuves accablantes de ses intentions djihadistes. Il a distribué des exemplaires du Coran aux voisins juste avant de devenir fou et il criait « Allahu Akbar » (Dieu est le plus grand), le cri du djihadiste , tandis qu’il tirait plus de 100 coups provenant de deux pistolets.

Ses supérieurs l’auraient mis en probation pour prosélytisme de façon inappropriée sur l’islam.

Nous notons ce que ses anciens compagnons disent de lui : l’un, Val Finnel, se souvient de Hassan disant « Je suis musulman d’abord et Américain ensuite » et il se rappelle Hassan justifiant les attentats-suicide ; un autre, le Colonel Terry Lee, rappelle que Hassan « a revendiqué que les musulmans aient le droit de se soulever et d’attaquer les Américains ». Le troisième, un psychiatre qui avait travaillé très étroitement avec Hassan, le décrit comme « presque agressif pour décrire son attitude concernant le fait d’être musulman. »

Enfin, l’école de pensée du djihad attribue de l’importance à l’attitude des autorités musulmanes américaines encourageant les soldats musulmans à refuser de combattre leurs coreligionnaires, fournissant ainsi une base pour le djihad soudain. En 2001, par exemple, en réponse à l’attaque américaine contre les Talibans, le mufti d’Egypte, Ali Gum’a, a émis une fatwa affirmant que « le soldat musulman dans l’armée américaine doit éviter de [participer] à cette guerre ». Hassan lui-même, faisant écho à ce message, a conseillé à un jeune disciple musulman, Duane Reasoner Jr, de ne pas rejoindre l’armée américaine parce que « les musulmans ne doivent pas tuer des musulmans ».

Si l’explication [ se référant au] jihad est à une écrasante majorité plus convaincante que celle [qui argue ]de l’état d’esprit de la victime, elle est aussi plus difficile à présenter.

Tout le monde trouve que blâmer la folie au volant, l’Accutane ou un mariage arrangé est plus facile que de discuter les doctrines islamiques. Ainsi, une prédiction [peut être faite]: ce que Ralph Peters appelle le « politiquement correct impardonnable de l’armée » attribuera officiellement l’agression de Hassan à sa victimisation et se gardera bien de mentionner le djihad.

Et c’est ainsi que l’armée se cache la réalité et ne se prépare pas à affronter une prochaine attaque djihadiste.

Voir aussi:

Obama ne répondrait pas aux critères de sécurité
Daniel Pipes
Philadelphia Bulletin
21 octobre 2008

http://fr.danielpipes.org/5988/obama-ne-repondrait-pas-aux-criteres-de-securite

Version originale anglaise: Obama Would Fail Security Clearance

Colin Powell répétant désormais le mensonge selon lequel Barack Obama a toujours été chrétien, ce « en dépit des informations confirmant l’enfance musulmane d’Obama » (ainsi l’inscription à une école indonésienne le répertoriant comme musulman), on doit constater avec consternation que le candidat démocrate s’emploie à dissimuler la vérité sur cette question.

Portons notre attention, en ce contexte, sur un sujet connexe, les relations d’Obama tout au long de sa carrière avec l’islam extrémiste, et l’endettement moral impliqué. Sur un plan plus précis, Obama maintient des liens indirects, mais anciens et persistants, avec deux organisations, le Council on American Islamic Relations (CAIR), incriminé, sans mise en examen, par le gouvernement américain en 2007 comme complice de conspiration dans un procès concernant le financement du Hamas ; et The Nation of Islam, condamnée par l’Anti-Defamation League pour un passé marqué « de manière constante par le racisme et l’anti-sémitisme ».

Commençons par les liens d’Obama avec des islamistes :

*

Les relations à Khalid al-Mansour. Selon l’ancien président du quartier de Manhattan Percy Sutton, Al-Mansour a collecté de l’argent pour financer les « dépenses d’Obama à la Harvard Law School ». Al-Mansour un noir américain (nom de naissance Don Warden) est devenu un conseiller du prince saoudien Al-Walid bin Talal, le principal donateur du CAIR. Al-Mansour a des positions islamistes classiques : il nie que le gouvernement soudanais entérine l’esclavage, il nie les liens des Juifs à Jérusalem. Il a écrit une brochure appelée « Américains, prenez garde. Le complot sioniste contre l’Arabie saoudite ». (Obama et al-Mansour réfutent les déclarations de Sutton).
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Les relations avec Kenny Gamble (connu aussi sous le nom de Luqman Abdul-Haqq) : Gamble, un producteur de musique pop autrefois connu, a coupé le ruban lors de l’inauguration d’un quartier général de campagne d’Obama situé dans un immeuble du sud de Philadelphie dont il est propriétaire. Gamble est un islamiste qui achète de nombreuses propriétés dans Philadelphie aux fins de créer une zone résidentielle réservée aux Musulmans. En tant qu’émir autoproclamé du United Muslim Movement, il a aussi des liens nombreux avec des organisations islamistes, dont le CAIR et la Muslim Alliance in North America. (Siraj Wahhaj, l’émir du MANA a été impliqué, sans mise en examen, pour complicité de conspiration dans l’attaque contre le World Trade Center en 1993).
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Les relations avec Mazen Asbahi. Le premier coordinateur de la campagne d’Obama en direction des Musulmans a démissionné après des révélations montrant qu’il avait fait partie du bureau d’une organisation financée par l’Arabie saoudite, le North American Islamic Trust, position qu’il partageait avec Jamal Said, incriminé lui aussi, sans mise en examen, comme complice de conspiration dans le procès concernant le financement du Hamas en 2007. Asbahi a des liens avec les bureaux du CAIR à Detroit et à Chicago, avec l’Islamic Society of North America, incriminée elle-même, sans mise en examen, pour le financement du Hamas et d’autres organisations islamistes.
*

Les relations avec Minha Husaini. Le second coordinateur de la campagne d’Obama en direction des Musulmans a un passé islamiste et a travaillé comme stagiaire au Muslim Public Service Network. Immédiatement après sa nomination par Obama, elle a rencontré un groupe dd’une trentaine de Musulmans incluant des gens aussi connus que Nihad Awad du CAIR, Mahdi Bray de la Muslim American Society, qui a soutenu publiquement des groupes terroristes tels le Hamas et le Hezbollah, et Johari Abdul Malik de la Dar Al-Hijrah Mosque de Falls Church en Virginie, qui a déclaré aux Musulmans Américains : « Vous pouvez faire sauter des ponts, mais vous ne pouvez pas tuer des gens innocents qui se rendent à leur travail ».

Passons aux liens d’Obama à The Nation of Islam :

Le donateur et l’allié de longue date d’Obama, Antoin « Tony » Rezko a été, trois décennies durant, le partenaire de Jabir Herbert Muhammad, fils d’Elijah Muhammad, dirigeant de The Nation of Islam, et dit qu’il a donné à Jabir et à sa famille des « millions de dollars au fil des ans ». Rezko a aussi été directeur exécutif de la Muhammad Ali Foundation, une organisation douteuse qui, sans l’autorisation d’Ali, a utilisé le nom de celui-ci qui, par ailleurs, a été récompensé par le CAIR.

Jeremiah Wright, le pasteur estimé d’Obama pendant vingt ans, a des liens passés avec The Nation of Islam, a accepté récemment la protection d’un détachement de sécurité de The Nation of Islam, et a parlé louangeusement de Louis Farrakhan comme de « l’un des géants de l’expérience religieuse des Afro-Américains ». L’église de Wright a célébré Farrakhan pour avoir été « la parfaite illustration de la grandeur ».

Farrakhan lui-même a annoncé son soutien à Obama, le qualifiant d’ »espoir du monde entier », de « celui qui peut relever l’Amérique après sa chute », et même de « Messie ».

Le fait que la biographie d’Obama montre des liens si fréquents avec des organisations aussi peu recommandables que le CAIR et The Nation of Islam devrait donner à réfléchir. Combien de politiciens ont-ils eu des liens avec une organisation de ce genre, et combien en ont eu avec sept d’entre elles ? John McCain appelle charitablement Obama « une personne dont vous ne devez pas avoir peur si elle devenait Président des Etats-Unis ». mais les liens multiples d’Obama avec des organisations anti-Américaines et subversives, signifie qu’il ne répondrait pas aux critères de sécurité exigés pour l’engagement des employés du gouvernement fédéral.

L’agression islamique constitue l’ennemi stratégique de l’Amérique. Les nombreuses relations insalubres d’Obama suscitent des doutes graves concernant son aptitude à être Commandant en chef des Etats-Unis d’Amérique.

Voir également:

Les convertis au terrorisme
Daniel Pipes
New York Sun
6 décembre 2005

Version originale anglaise: Converts to Terrorism
Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Des convertis à l’Islam prennent en charge des opérations effectuées auparavant essentiellement par des immigrants musulmans de naissance et leurs enfants.

Cette évolution est tragiquement illustrée par l’attentat-suicide à la bombe commis le 9 novembre dernier près de Bagdad par une Belge convertie à l’Islam, Muriel Degauque, 38 ans, qui s’attaquait de la sorte à des soldats américains, devenant ainsi la première femme occidentale née chrétienne à se tuer volontairement pour une cause islamiste. Et sur les quatorze personnes arrêtées pour leurs liens avec Degauque, la moitié étaient des convertis à l’Islam. En Hollande voisine, un rapport gouvernemental publié tout récemment s’inquiète expressément des convertis radicalisés.

En effet, les organisations terroristes prisent tout particulièrement les convertis. Ils connaissent la culture locale et s’y fondent aisément. Ils ne peuvent pas être déportés. Ils peuvent dissimuler leur allégeance religieuse en évitant les mosquées, en gardant un profil bas, voire en consommant de l’alcool et des drogues pour maintenir leur couverture. Un guide conseille aux candidats à l’attentat-suicide en route pour l’Irak de «porter des jeans, manger des beignets et ne jamais quitter son baladeur».

Les convertis qui exécutèrent une opération terroriste ou furent emprisonnés dans ce contexte viennent de nombreux pays occidentaux. En voici une liste non exhaustive (les convertis encore seulement soupçonnés, arrêtés ou inculpés seront mentionnés dans un article séparé de mon site Web: http://fr.danielpipes.org).

*

Australie. Jack Roche, né en Grande-Bretagne, neuf ans d’emprisonnement pour tentative d’attentat à la bombe contre l’ambassade d’Israël à Canberra.
*

France. David Courtailler, quatre ans pour assistance à des terroristes. Pierre Richard Robert, emprisonnement à vie pour avoir projeté des attentats terroristes au Maroc. Ruddy Teranova, trois ans pour avoir agressé physiquement un Musulman modéré.
*

Allemagne. Steven Smyrek, sept ans pour avoir préparé une mission suicide pour le Hezbollah.
*

Italie. Domenico Quaranta, 20 ans pour avoir bouté le feu à une station de métro de Milan et avoir tenté de s’attaquer à d’anciens temples grecs à Agrigente, en Sicile.
*

Pays-Bas. Jason Walters, fils d’un Américain noir et d’une hollandaise, appartenait au réseau Hofstad et lança une grenade sur les forces de police; son procès débute cette semaine.
*

Royaume-Uni. Germaine Lindsay, immigrant jamaïcain, un des auteurs des attentats-suicide perpétrés contre les transports publics londoniens en juillet 2005 qui tua 26 personnes. Richard Reid, emprisonnement à vie pour la «chaussure piégée» avec laquelle il tenta de détruire un avion de ligne reliant Paris à Miami. Andrew Rowe, 15 ans pour avoir projeté des attentats terroristes.
*

Amérique. Ryan Anderson, emprisonnement à vie pour avoir tenté d’aider Al-Qaida alors qu’il servait dans la Garde nationale. David Belfield, assassina un ex-diplomate iranien près de Washington puis s’enfuit en Iran. Clement Rodney Hampton-el, 35 ans pour avoir participé à l’attentat à la bombe de 1993 contre le World Trade Center. Mark Fidel Kools, condamné à mort for avoir «tué à la grenade» deux officiers de l’armée. John Muhammad, condamné à mort pour son rôle de principal «tireur embusqué du Beltway». Randall Royer, 20 ans pour des armes et des explosifs «provenant de l’enquête sur un réseau djihadiste militant en Virginie du Nord». Cinq membres de Jamaat ul Fuqra, un groupe basé au Pakistan et suspecté d’avoir perpétré au moins treize meurtresaux États-Unis, peines d’emprisonnement allant jusqu’à 69 ans.

Dans «Al Qaeda in Europe» (Prometheus), Lorenzo Vidino cite les autorités affirmant que «des douzaines de convertis européens ont rejoint les groupes terroristes». Et le problème ne se limite pas aux convertis occidentaux à l’Islam.

*

Aux Philippines par exemple, un converti avoua avoir piégé un ferry en février 2004, causant ainsi la mort de plus de cent personnes, et d’autres sont liés à une tentative d’attentat à la bombe contre l’ambassade américaine à Manille. D’une manière plus générale, le gouvernement affirme qu’Al-Qaida et le Jemaah Islamiyah se servent du mouvement Rajah Solaiman, un groupe de convertis, pour perpétrer des attentats terroristes.
*

Des convertis non occidentaux émigrent en Occident pour y commettre des actes de terrorisme. Voici trois cas américains: Rashid Baz, Druze libanais de naissance, 141 ans d’emprisonnement pour le meurtre d’un jeune Juif sur le pont de Brooklyn. Wadih el-Hage, Catholique libanais de naissance, emprisonnement à vie pour son travail avec Oussama Ben Laden. John Samuel, Chrétien éthiopien de naissance, accusé d’avoir pénétré aux États-Unis dans l’intention d’y mener des actions terroristes pour Al-Qaida, attend son procès à Guantánamo.

L’importance croissante que revêtent les convertis au terrorisme indique que les instruments de contre-terrorisme tels que la recherche de noms musulmans ou l’interdiction de terroristes potentiels aux frontières ne suffisent plus. Il est maintenant indispensable également de savoir qui, exactement, se convertit à l’Islam et de surveiller les convertis afin de constater lesquels d’entre eux sont radicalisés.

Certains des individus susmentionnés pourraient avoir commis des actes de terrorisme sans être devenus des Musulmans. Mais pour garantir la sécurité en Occident, aux Philippines et ailleurs, il faut désormais se pencher sérieusement sur un fait très fâcheux: la conversion à l’Islam augmente considérablement la probabilité qu’une personne soit impliquée dans le terrorisme.

Voir encore:

Sacrificing Americans
Victor Davis Hanson
NRO’s The Corner
November 12, 2009

Many in the media are arguing there is nothing more to the Major Hasan mass murder than derangement and the various personal « issues » that « set him off. »

But there are two considerations that argue against such an interpretation. First, we look for patterns in all cases of individuals’ shooting others on a mass scale. Hasan gave every indication that he was channeling his own personal sense of frustration into a larger Islamic writ against the West — as have some 20 other killers since 9/11 who have shot, stabbed, or run over innocents at malls, airline counters, military facilities, and Jewish-affiliated centers.

If we once focused on postal conditions and security at post-office installations when workers (between 1986 and 1997) snapped under the thematic pretense of job stress, and if we investigated the nexus of video games, drugs, cults, and counter-culture alienation when suburban youths went on shooting sprees, then it seems legitimate to look for commonalities when someone self-identifies as a rather radical Muslim and shouts « Allahu Akbar! » as he fires — in the same manner that the mad driver in North Carolina, or the killer in Seattle, or the homicidal driver in San Francisco afterwards said they were acting out of Islamic religious fervor against Jews or Westerners.

Second, if we counted up the number of « lone wolf » incidents and added it to the number of Islamist terrorist plots that have been foiled since 9/11, we would arrive at more than 40 incidents of terrorist killings or efforts to kill on a wide scale. If anyone could find a comparable series of anti-abortion terrorist acts, backlash attacks on Muslims, anti-Semitic attacks perpetrated by non-Muslims, Jewish attacks on Middle Easterners, or radical environmentalist killings, then one could argue that the public was unduly focusing on Islam.

It seems, instead, that about every three to four months, either a single Muslim male will shoot or run over somebody and tie the violence to some sort of jihadist theme, or a group of Muslim males will be caught trying to blow up something or shoot someone, usually on a mass scale.

The general conclusions I would draw, based on the statements of the authorities, those in the military, the media, and the general public, are something like the following:

(1) Most people do not wish to be smeared as bigots, racists, or anti-Muslim, and therefore they will resist suggesting that such violence fits a pattern involving radical Islamic hatred.

(2) Most people assume either that the authorities will break up the plot before it reaches 9/11 proportions, or that the lone-wolf attacker will kill someone else far away, and therefore conclude that they are safe enough and it is a tolerable problem.

(3) Most also accept that (a) most Muslims in the U.S. are not violent, and therefore (b) we have no way in a free society to pick out in advance possible bad actors, and (c) the most likely preemptive strategies — screening imams, infiltrating « charities, » monitoring hate literature, reporting radicals at work, and screening web postings — are all fraught with civil-liberties and political-correctness land mines, and are as likely to boomerang on the authorities or well-intended citizens as they are to produce firm evidence that deters an Islamist killer before he acts.

Bottom line: The society at large, driven by the sermonizing of its elites, has come to an unstated conclusion that, unfortunately, a few Americans will have to be sacrificed from time to time, for the larger goal of establishing the fact that Americans in no way think Muslims are any more likely than any others to commit either random or premeditated terrorist violence. I think that is the initial lesson of Fort Hood. (I remember something similar from the 1980s and 1990s, when we accepted that to be a diplomat or a soldier stationed in the Middle East or Africa or anywhere in the Muslim world meant that there was some chance that your barracks, camp, hotel, embassy, or ship would be attacked — and very little chance that the U.S. government would do much in response other than launch an occasional ineffectual cruise missile or offer a bombastic « this will not stand » speech.)

If the lone-wolf incidents start happening ten times a year, rather than three or four, and if one or two terrorist plots succeed and result in several hundred killed, then attitudes may change (at least for a while).

Voir enfin:

Muhammad’s Willing Executioners
Jihad rages from Seattle to Israel.
Andrew G. Bostom
Front Page magazine
July 31, 2006

The ongoing violence in Lebanon and northern Israel, engendered by Hezbollah’s toxic amalgam of jihad and Jew hatred, reached Seattle, Washington this past Friday July, 28, 2006, just after 4 PM, local time. Naveed Afzal Haq, a Pakistani Muslim, hiding in the foyer of the entrance to the Jewish Federation of Greater Seattle, seized a 13-year old girl hostage. With a gun pointed to the young girl’s head, Haq forced his way through the buildings security door, and then opened fire with two semi-automatic pistols, killing a 58 year old woman, and wounding five other women, three of whom were wounded seriously. Haq reportedly exclaimed: “I am a Muslim American, angry at Israel” These are Jews and I’m tired of getting pushed around and our people getting pushed around by the situation in the Middle East.”

Earlier the same day, a triumphal pronouncement from Hezbollah accompanied the launching of so-called “Khaybar-1” rockets, five of which reached Afula, south of Haifa, and 30 miles from the Israeli-Lebanese border. A Hezbollah statement proclaimed, “With this, the Islamic Resistance begins a new stage of fighting, challenge and confrontation with a strong determination and full belief in God’s victory”. Throughout the preceding week, Al-Manar television and Al-Nur radio—Hezbollah-controlled media outlets which disseminate its propaganda—blared out in sonorous tones, “Nastarjiu Khaybar”—“We will return to Khaybar”.

These disparate events, occurring thousands of miles apart—the attack upon Jews in Seattle, and the firing of “Khaybar-1” rockets at Afula—reflect and celebrate the predatory relationship—Muslims preying upon Jews—established by Islam’s prophet Muhammad, and his earliest Muslim followers.

The late Muslim scholar Ali Dashti (d. 1984) wrote a biography of Muhammad entitled Twenty-three Years: A Study of the Prophetic Career of Mohammad. Dashti chronicles Muhammad’s “changed course” at Medina, where the Muslim prophet begins to “issue orders for war” in multiple and repeated Koranic revelations (sura [chapter] 9 being composed almost entirely of such war proclamations, for example). Prior to enumerating the multiple assassinations Muhammad ordered, Ali Dashti observes:

Thus Islam was gradually transformed from a purely spiritual mission into a militant and punitive organization whose progress depended on booty from raids and [tax] revenue….The Prophet’s steps in the decade after the hejra [emigration from Mecca to Medina] were directed to the end of establishing and consolidating a religion-based state. Some of the deeds done on his command [were] killings of prisoners and political assassinations…

Muhammad’s failures or incomplete successes were consistently recompensed by murderous attacks on the Jews. Thus Muhammad developed a penchant for assassinating individual Jews, and destroying Jewish communities—by expropriation and expulsion (Banu Quaynuqa and Nadir), or massacring their men, and enslaving their women and children (Banu Qurayza). Subsequently, in the case of the Khaybar Jews, Muhammad had the male leadership killed, and plundered their riches. The terrorized Khaybar survivors—industrious Jewish farmers—became prototype subjugated dhimmis whose productivity was extracted by the Muslims as a form of permanent booty. And according to the Muslim sources, even this tenuous vassalage was arbitrarily terminated within a decade of Muhammad’s death when Caliph Umar expelled the Jews of Khaybar (after whom the Khaybar-1 rockets were of course named).

Muhammad’s brutal conquest and subjugation of the Khaybar Jews, and their subsequent expulsion by one of his companions, the (second) “Rightly Guided” Caliph Umar, epitomize permanent, archetypal behavior patterns Islamic Law deemed appropriate to Muslim interactions with Jews. As the scholar George Vajda has observed, the theological-juridical, and historical consequences of these archetypes, resulted, at best, in the Jews being dhimmis “subject to Muslim domination”, and treated “with contempt”, under “humiliating arrangements”. When the Jews were perceived as having exceeded the rightful bounds of this subjected relationship, as in mythically “tolerant” Muslim Spain, the results were predictably tragic. The Granadan Jewish viziers Samuel Ibn Naghrela, and his son Joseph, who protected the Jewish community, were both assassinated between 1056 to 1066, and in the aftermath, the Jewish population was annihilated by the local Muslims. It is estimated that up to five thousand Jews perished in the pogrom by Muslims that accompanied the 1066 assassination. This figure equals or exceeds the number of Jews reportedly killed by the Crusaders during their pillage of the Rhineland, some thirty years later, at the outset of the First Crusade. The inciting “rationale” for this Granadan pogrom is made clear in the bitter anti-Jewish ode of Abu Ishaq, a well-known Muslim jurist and poet of the times, who wrote:

Bring them down to their place and return them to the most abject station. They used to roam around us in tatters covered with contempt, humiliation, and scorn. They used to rummage amongst the dung heaps for a bit of a filthy rag to serve as a shroud for a man to be buried in…Do not consider that killing them is treachery. Nay, it would be treachery to leave them scoffing.[The translator then summarizes, appropriately: “The Jews have broken their covenant (i.e., overstepped their station, with reference to the Covenant of Umar) and compunction would be out of place.”]

There have been ceaseless calls for jihad against the Jews in Palestine during modern times, since shortly after the Balfour Declaration in 1918, intensifying following Israel’s creation in 1948, through the present era. Jihad has remained the primary cause of the conflict between the global Islamic umma—Arab and larger non-Arab Muslim communities alike—and the Jewish state of Israel. Israeli Jews are regarded as merely a religious community, whose rightful place is under Islamic suzerainty as dhimmis. Thus as historian Bat Ye’or has explained, Israel’s national patrimony,

a geographical territory related to a past history, a system of legislation, a specific language and culture—[is]consequently denied. The “Arab” character of the Palestinian territory is inherent in the logic of jihad. Having become fay territory by conquest (i.e. “taken from an infidel people” by jihad), it must remain within the dar al-Islam. The State of Israel, established on this fay territory, is consequently illegal.

Accordingly, the source of the endless annihilationist animus against Israel—an unabashed Jewish state among the otherwise monolithically Islamic nations of the Middle East—becomes clear. Bat Ye’or elucidates:

Israel represents the successful national liberation of a dhimmi civilization. On a territory formerly Arabized by the jihad and the dhimma, a pre-Islamic language, culture, topographical geography, and national institutions have been restored to life. This reversed the process of centuries in which the cultural, social and political structures of the indigenous population of Palestine were destroyed.

To this day, the overwhelming majority of the global Muslim community, most notably Arab Muslims, refuses, as Bruce Thornton described so aptly,

…to recognize a legitimate state created by the same historical process that created their own nations, and their continuing failure to recognize Israel in deeds rather than in words, [is] the root cause of the ongoing crisis

These sentiments were confirmed at the 2003 Putrajaya Islamic Summit, when former Malaysian Prime Minister Dr Mahathir Muhammad refused to acknowledge Israel’s legitimacy, but did discuss “Jews”. Mahathir’s bellicose statement, below, was met by thunderous applause from all the Muslim leaders present, including our man in (then just liberated) Afghanistan, Hamid Karzai:

To begin with, the governments of all the Muslim countries can close ranks and have a common stand if not on all issues, at least on some major ones, such as on Palestine… We need guns and rockets, bombs and warplanes, tanks and warships…We may want to recreate the first century of the Hijrah, the way of life in those times, in order to practice what we think to be the true Islamic way of life l.3 billion Muslims cannot be defeated by a few million Jews. There must be a way. And we can only find a way if we stop to think, to assess our weaknesses and our strength, to plan, to strategize and then to counter-attack. As Muslims, we must seek guidance from the Al-Qur’an and the Sunnah of the Prophet. Surely the 23 years struggle of the Prophet can provide us with some guidance as to what we can and should do…

Assiduous documentation by Daniel Pipes (here, and here) underscores how Israel’s stubborn resistance to its annihilation appears to have fomented multiple acts of Muslim violence against the non-Israeli Jewish diaspora population during the past 15 years. The murderous attack on the Jewish Federation of Greater Seattle by Naveed Afzal Haq merely continues this alarming trend

Notwithstanding that he may never have encountered an actual Jew, the 17th century Indian Sufi jurist Sirhindi (d. 1621) expressed an (archetypal) sentiment, whose ultimate origins can be traced to the sacralized behaviors of the Muslim prophet Muhammad himself. Sirhindi wrote:

Whenever a Jew is killed, it is for the benefit of Islam.

Sadly, this ugly belief retains widespread legitimacy amongst contemporary Muslims.

Andrew G. Bostom is a frequent contributor to Frontpage Magazine.com, and the author of The Legacy of Jihad, and the forthcoming The Legacy of Islamic Antisemitism.

6 Responses to Terrorisme: La jihadite subite a encore frappé (Going jihadal: Aren’t those the guys that always go crazy and shoot everybody?)

  1. […] qu’après les Etats-Unis, l’Espagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Suède mais 17 ans après (merci qui?) les […]

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  2. jcdurbant dit :

    GOING POSTAL ON WHITE WOMEN (Deprive a society of the rudimentary sacrificial resources it depends on without proposing it alternatives is to immerse it in a crisis that the will almost certainly lead to violence)

    « White people shouldn’t breed !’

    Rezzas Abdulla

    Abdulla, who has two previous convictions for race-hate attacks on white females, was later tracked down through CCTV. The judge referred to Abdulla’s previous convictions and told him: ‘You have got a problem, it seems to me, with white women.’ Abdulla received psychiatric treatment following the attack and it is believed his mental health had deteriorated in the run-up to the attack…

    https://metro.co.uk/2017/02/21/racist-woman-hater-spat-in-babys-face-and-shouted-white-people-shouldnt-breed-6463332/

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  3. jcdurbant dit :

    IN CASE YOU MISSED IT (Another African Muslim going postal on a Christian church at Easter service)

    A heavily drunken man, dark-skinned and with a beard, entered St. Paul’s Church in Munich Theresienwiese during the Croatian Mass (Easter blessing), with a bottle of alcohol in hand, lit a firecracker and threw it in the middle of the church and shouted “Allahu akbar.” Everyone panicked and threw the baskets that the Easter meal was in, and ran out screaming. This injured children and adults. The police and its team came and arrested the man…

    https://www.jihadwatch.org/2019/04/germany-muslim-screaming-allahu-akbar-throws-firecracker-in-church-during-easter-mass-24-injured-in-panic

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  4. jcdurbant dit :

    QUEL BRUTAL RETOUR DU REEL ? (Quand, sur deux affaires majeures en un laps de huit jours, des ministres sont pris en flagrant délit d’erreurs sur des faits et dans l’appréciation de leur gravité, la conséquence est bien connue: ils perdent toute crédibilité, et c’est l’équipe entière d’Edouard Philippe qui est désormais menacée de discrédit)

    « Vanité des entreprises humaines… Tout débutait si bien: la meute média-antifa aux trousses d’Éric Zemmour… L’amorce d’un dialogue détendu-convivial sur l’immigration lancé par l’Élysée. Soudain, le vrai monde anéantit tout cela avec fracas. Car si la moitié de ce qu’on lit sur la tuerie de la Préfecture de police est vrai – nous y revenons – la sécurité de la France, la confiance des Français en leur État, seront gravement affectés. Le philosophe Clément Rosset édicta naguère que « la réalité est insupportable, mais irrémédiable »: nous y voilà. Résumons : un individu depuis dix ans fasciné par l’islam… converti depuis deux ans peut-être… habilité au secret-défense… niché au cœur informatique du service opérant le renseignement d’une capitale mondiale majeure… Aussi: on ne compte plus les missions ultra-sensibles récemment confiées à la DRPP, de par sa taille réduite, son étanchéité et son esprit de corps. Les dégâts potentiels sont vertigineux. (…) Quand vos chefs prônent le politiquement-correct ; quand cent stages vantent l’idéal du vivre-ensemble et l’horreur de la discrimination ; quand toute blague déclenche la foudre ; s’inquiéter d’un collègue infirme et antillais est ardu. Preuve, la réaction de l’État : le piteux Castaner bredouille que tout est normal et une péronnelle de la présidence suggère d’éviter les amalgames. Quand ces réactions émanent du sommet d’un État fort pyramidal, sa base évite tout propos malsonnant – comment lui donner tort ? Second point majeur. On lit que l’assassin était « signalé » depuis 2015. mais signalé par qui ? Et vers qui ? En 2015, l’ambiance était électrique entre la direction de la DGSI et celle de la DRPP, pour affaires touchant à la françafrique. Que s’est il alors passé – ou pas passé, plutôt ? Il serait judicieux d’aller y voir de près. Dernier point : Macron a fondé la coordination du renseignement : bien. Or depuis, sous l’empire de la nécessité – protéger le président de ses « affaires »… ambitions pseudo-savantes sans vrai contenu… la coordination semble oublier ses fondamentaux, dont celui-ci : coordonner est bien s’il s’agit d’un tout étanche et cohérent – ce n’est pas le cas, on l’a vu. Brutal résultat – le protocole de la médecine d’urgence vaut pour le renseignement : toujours envisager le pire. Nul catastrophisme, mais seul moyen de sauver le patient. Et si M. H. était une taupe islamiste ? Qu’a-t-il transmis et à qui, des bases numériques de la DRPP ? Y a-t-il logé un logiciel-malveillant, cheminant ensuite – vers où ? On imagine la réaction des services alliés. Au pire, tout ou partie de l’informatique de la DRPP est à revoir. (…) même, on aggrave les choses. Un exemple inquiétant. Pour grappiller quelques sous, l’Intérieur externalise la réparation de ses véhicules, camions de CRS, etc. Or dans leurs garages, les mécaniciens de la police voient ces sous-traitants chercher les véhicules à réparer. Parfois, des barbus portant au front la zebiba, tache noire du prosterné en prière. Voilà à qui on confie les camions des CRS. On détecte ainsi des sots trop voyants, mais de longue date, les durs des Frères musulmans et les salafistes disposent de fatwas leur permettant de se raser et porter costume-cravate pour infiltrer les structures infidèles. Quand ils l’ont pu dans le monde musulman, ils ont infiltré les centres d’éducation : leurs recrues savent se planquer. En Turquie, on voit le mal qu’a Erdogan à éradiquer la secte islamiste de Fetullah Gülen de l’administration et l’armée. »

    Xavier Raufer

    « Ce fonctionnaire né à Fort de France servait depuis 2003 comme adjoint administratif (agent de catégorie C) au sein du au service technique de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Il n’avait jamais attiré défavorablement l’attention de sa hiérarchie quant à sa conduite. Il a certainement été l’objet d’une enquête de sécurité au moment de son recrutement (en 2003) puis d’un suivi épisodique pour proroger ses habilitations au secret défense (tous les cinq ans). Sa conversion à la religion musulmane ne constituait pas un acte délictueux et, jusqu’à plus ample informé, il ne fréquentait pas des lieux de culte salafistes incubateurs d’activistes – même si fort heureusement, ils ne passent majoritairement pas à l’acte -. Non seulement dans son cas avec les éléments connus, il n’y avait pas matière à enquêter plus avant, mais si cela avait été le cas, cela aurait pu être assimilé à du « harcèlement » et à de l' »islamophobie ». La hiérarchie de l’administration – quelqu’elle soit – a très peur de se retrouver dans cette position face aux influents intellectuels qui n’attendent que ce prétexte pour intervenir dans les medias dans le seul but d’affaiblir l’Etat. Cela dit, l’enquête en cours aurait prouvé qu’il s’était converti en 2008 et pas il y a 18 mois comme cela avait été annoncé précédemment. Si ce fait est confirmé, cela prouverait qu’il pratiquait la Taqiya (l’art de la dissimulation surtout en usage chez les chiites mais méthode reprise par les salafistes) à l’évidence pour cacher sa conversion à son environnement. De plus, il semble qu’il avait préparé son coup au dernier moment ayant acquis le couteau de cuisine en céramique qui a servi à ces assassinats le matin même de son action. (…) Les services de l’Etat sont à l’image de la nation. Les chiffres varient car les statistiques officielles restent interdites mais il y aurait entre 7 et 10% de musulmans en France. Le chiffre devrait être logiquement le même au sein de l’administration. Cela dit, seule une infime partie des musulmans adhère aux thèses extrémistes des salafistes-djihadistes qui puisent leur inspiration sur les sites spécialisés (que décidément la puissance publique a bien du mal à entraver). En France, il existe aussi d’autres versions de l’islam sunnite qui ne prônent pas la violence comme le mouvement tablligh et les Frères musulmans. Le cas des salafistes dits quiétistes pose question car c’est dans leurs rangs que les salafistes-djihadistes viennent recruter de nouveaux adeptes. Les activistes n’ont pas besoin d’être très nombreux pour être dangereux. C’est d’ailleurs la caractéristique des mouvement terroristes : quelques activistes bien formés valent mieux que des gros bataillons facilement repérables. (…) pour le moment, ce ne sont pas les revenants qui représentent le menace principale en Occident en général et en Europe en particulier. Daech n’est pas vaincu militairement mais a actuellement d’autres soucis comme relancer la guérilla sur le front syro-irakien, activer ses provinces extérieures comme en Afrique – particulièrement au Sahel – , dans le Causasse et en Extrême-Orient. Par contre, Daech continue à prodiguer sa propagande et à appeler ses adeptes au meurtre là où ils se trouvent. C’est sans doute ce qui explique cette dernière opération meurtrière. Il va être affirmé que l’assassin était quelque part « dérangé mentalement » mais il convient de se poser la question suivante: un individu qui se livre à un acte terroriste est-il mentalement sain d’esprit ? Il aurait aussi été insatisfait de sa position professionnelle qui n’évoluait pas mais cela ne peut pas expliquer grand chose. Il gardait son libre arbitre. Le cas juridique du « suspect » est clos puisque l’action est éteinte avec sa mort. Cela dit, il reste un gros problème. Daech possède un service de sécurité (Amniyat) dont une des missions est le renseignement. Ce mouvement semblait se renseigner sur le passé des volontaires français qui le rejoignaient en Syrie. Quel rôle pourrait avoir joué le suspect dans ces enquêtes « de sécurité » (et autres) car sa position professionnelle au sein de la DRPP pouvait lui permettre d’avoir accès à des fichiers informatique confidentiels ? En effet, il pourrait avoir été recruté comme source par Daech ce qui expliquerait pour partie. (…) Il est évident que cela va créer une inquiétude au sein de la population qui constate que même les organismes chargés de la protéger peuvent être infiltrés par des mouvements terroristes. Tous les ministères vont se sentir concernés et vont devoir revoir les procédures de sécurité et les enquêtes d’habilitation de leurs personnels. Cela va être très nuisible à l’ambiance interne qui risque de devenir suspicieuse. »

    Alain Rodier

    « On sent bien que la énième répétition du même mode opératoire, à savoir une personnalité seule qui profite d’un effet de surprise dans la vie quotidienne pour poignarder des quidam, ici ce sont des collègues de travail, mais d’autres fois ce sont des passants, des gens qui rentrent chez eux dans des transports en commun, des jeunes femmes qui attendent un train dans une gare, des soldats en faction, un prêtre dans son église, c’est-à-dire n’importe qui ou tout le monde, tout cela use l’opinion publique et donne le sentiment qu’un danger imminent s’est diffusé dans notre vie quotidienne et peut nous guetter n’importe où à n’importe quel moment. On sent bien que l’ambiance se tend, et qu’une violence au quotidien se banalise. L’idée qu’à tout instant un attentat peut se produire sous nos yeux et qu’il faudra agir fait désormais partie du paysage. A long terme, la notion de tension religieuse prend forme, malgré les nombreux appels au calme et malgré les dénis sur le « pas d’amalgame ». La multiplication, partout en Europe d’ailleurs, de ces épisodes fébriles où quelques personnes sont tuées au couteau, comme ça, simplement, dans un flash terroriste, lézarde progressivement la certitude que ces attentats ne seraient pas de nature religieuse. Sur ce point, la stratégie des pouvoirs publics suivie en France comme en Allemagne, consistant à expliquer immédiatement après les faits qu’il s’agit d’un acte perpétré par un déséquilibré et qui ne serait pas de nature religieuse devient une source ce méfiance. (…) Cette fois-ci, le déni est terrible. On a tous entendu Christophe Castaner et Sibeth Ndiaye expliquer que rien ne permettait de présager l’action de cet informaticien habilité au secret défense et employé dans les services de renseignement. Mais le Parisien a révélé qu’il avait fait l’objet d’un signalement à sa hiérarchie en 2015 pour dérive radicale. Il semble que la machine administrative n’en ait pas tenu compte. En termes de gestion publique, ce hiatus entre les propos du gouvernement et la réalité est redoutable, parce qu’il donne à l’opinion publique le sentiment que la situation n’est pas sous contrôle. Ce sentiment est apparu très nettement avec l’affaire Lubrizol. Alors qu’une usine Seveso seuil haut était en feu, provoquant nausées et vomissements dans la population, le gouvernement est resté sourd et aveugle face aux évidences en expliquant que les fumées ne présentaient pas de toxicité inquiétante. La réaction incrédule de la population devrait alerter les pouvoirs publics, d’autant que l’émission de dioxine est désormais attestée, ce qui dément les propos des ministres. La même semaine, le même sketch reprend. Alors qu’un fonctionnaire de nos services de renseignement égorge l’un de ses collègues sur son lieu de travail, à savoir la Préfecture de police, ce qui n’est pas rien, deux ministres interviennent immédiatement pour tenir des discours qui manquent singulièrement de prudence, et qui sont démentis dans la journée par la presse. Le discrédit guette. Quand, sur deux affaires majeures en un laps de huit jours, des ministres sont pris en flagrant délit d’erreurs sur des faits et dans l’appréciation de leur gravité, la conséquence est bien connue: ils perdent toute crédibilité, et c’est l’équipe entière d’Edouard Philippe qui est désormais menacée de discrédit. »

    Eric Verhaeghe

    https://www.atlantico.fr/decryptage/3580391/massacre-a-la-prefecture-de-police–le-vertige-face-a-l-ampleur-des-fautes-accumulees-par-les-autorites-alain-rodier-xavier-raufer-eric-verhaeghe

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