Puisqu’ils ont semé du vent, ils moissonneront la tempête. Osée 8: 7
S’ils se taisent, les pierres crieront! Jésus (Luc 19: 40)
What are Gazans supposed to do ? Jon Stewart
Il faut commencer par se souvenir que le nazisme s’est lui-même présenté comme une lutte contre la violence: c’est en se posant en victime du traité de Versailles que Hitler a gagné son pouvoir. Et le communisme lui aussi s’est présenté comme une défense des victimes. Désormais, c’est donc seulement au nom de la lutte contre la violence qu’on peut commettre la violence. Autrement dit, la problématique judaïque et chrétienne est toujours incorporée à nos déviations. René Girard
Dans le monde moderne, même les ennemis de la raison ne peuvent être ennemis de la raison. Même les plus déraisonnables doivent être, d’une façon ou d’une autre, raisonnables. (…) En cohérence avec cette idée, les socialistes regardaient ce qui se passait outre-Rhin et refusaient simplement de croire que ces millions d’Allemands avaient adhéré à un mouvement politique dont les principes conjuguaient théories paranoïaques du complot, haines à glacer le sang, superstitions moyenâgeuses et appel au meurtre. Les kamikazés étaient certes fous, mais la faute en incombait à leurs ennemis, pas à leurs dirigeants ni à leurs propres doctrines. (…) le nihilisme palestinien ne pouvait signifier qu’une chose: que leur souffrance était encore pire … Paul Berman
Rien ne s’améliorera aussi longtemps que les gens raisonnables penseront que les criminels et les fanatiques obéissent aux mêmes règles qu’eux. Et qu’ils acceptent de leur vendre, de leur confier, ou de laisser entre leurs mains de puissantes armes de mort. Cette attitude est aussi absurde et criminelle que celle qui conduisit le mahatma Gandhi, en juillet 1939 et décembre 1940, à écrire à son « cher ami » Adolf Hitler, pour lui demander d’être raisonnable. Si on se conduit avec les mafias et les mouvements terroristes comme avec des gens raisonnables, c’est le monde entier qui sera bientôt invivable. Jacques Attali
Il est de peu d’intérêt de s’indigner contre le déferlement antisémite et de le faire dans l’habituelle rhétorique sans pensée, c’est-à-dire bien-pensante, de l’«antifascisme» militant, si l’on n’est pas capable de méditer encore et à nouveau l’effet de choc produit, il y a quelques années, par les développements badiousiens sur les «portées du mot «juif». Ce texte constitue un tournant – dont on peut mesurer l’effet de brèche. Lorsqu’on écrit, en dépit de tout bon sens, que «le nom de juif» est «une création politique nazie» sans référent préexistant, qu’il constitue une invention hitlérienne au service de l’extermination, quand on affirme que «juif» est désormais le signifiant-maître des nouveaux aryens, que les Israéliens sont tout sauf juifs (à la limite le seraient seuls Spinoza, Marx, Freud et quelques autres Ehrenjuden !), quand on claironne qu’Israël est un pays antisémite, quand on pose avec une telle assurance «ontologique» tant de sottises, on donne à la logique diabolique du retournement, soit de la perversion, le statut d’une figure de pensée : non seulement les «juifs» ne sont pas juifs, mais ils sont, eux, les véritables nazis. Et, par voie de «conséquence», ceux qui les combattent, ici, là-bas, sont d’authentiques antinazis, courageux et exposés à la vindicte haineuse et meurtrière des juifs-nazis ou des nazis-juifs. Cet ectoplasme de pensée est devenu, en quelques années, un topos de l’idéologie et de l’action d’extrême gauche, décliné sous tous les registres et tous les tons. On ne le doit pas, me semble-t-il, à la seule force de conviction de Badiou (ses hypothèses, sur ce point précis, sont vraiment indigentes), mais à une conjoncture, à un climat, à un état des forces politiques, à une sinistre mutation. L’analyse politique, «l’analyse concrète d’une situation concrète», comme nous disions jadis et naguère, doit s’entendre et se pratiquer comme une pensée des circonstances de l’agir. Autrement, la politique n’est plus une politique, mais un principe d’indétermination abstrait qui distribue une même substance (le capital, par exemple) sous des accidents divers mais substantiellement identiques, la démocratie et le fascisme, les CRS et les SS, Gaza et le ghetto de Varsovie. Sous ce préalable et cette mémoire, que s’est-il passé, il y a quelques mois, politiquement, culturellement, idéologiquement autour de «l’affaire» Dieudonné ? Que recèle et que montre ce «moment» insigne ? Il a signifié, aux naïfs, dont je suis, une surprise, une prise inattendue dans le retour d’un contenu refoulé, comme si du coup l’affaire Dieudonné venait inscrire une césure, un retournement (une quenelle ?), une «libération» du discours raciste – expression dont on voit bien qu’elle indique un dé-foulement de ce qui aura été originairement réprimé, la liquidation violente d’instances de censure désuète, comme balayées par une vague immense. Pour la première fois depuis très longtemps, le pavé parisien a retenti en janvier, puis de nouveau ces jours-ci, de cris de haine et de mort, «mort aux juifs», «juifs hors de France». Rien de neuf d’une certaine façon, simplement, au contraire, un retour à la normale, la restauration publique et politiquement assumée d’une très ancienne détestation après une brève interruption d’une cinquantaine d’années – d’où l’effet de souffle d’une parole «libérée». Mais le progressisme «spontané» qui gouverne de façon pavlovienne notre saisie des événements politiques avait persuadé que le temps de ce vieil antisémitisme européen était aussi révolu que la lampe à huile ou l’aéroplane de grand-papa. Or, il ne suffit pas d’avoir établi l’inanité philosophique de ce progressisme pour en avoir fini avec les illusions et aveuglements qu’il provoque et charrie. Il convient, peut-être, de se remémorer le mot de Lénine à propos de l’antisémitisme. Ce dernier, disait-il, est «éternellement nouveau». C’est dire que sa pérennité même ne se peut qu’à la condition de son renouvellement et que ses avatars signalent moins d’authentiques différences que des modulations temporalisées d’une même continuité «éternelle». (…) C’est qu’entre-temps, et l’intervention badiousienne joue un rôle crucial à cet égard, sous le couvert d’un antisionisme parfois furieux, l’extrême gauche, ou plutôt une certaine extrême gauche, pas toute, mais presque, aura contribué à redonner à l’antisémitisme le plus plat une légitimité dont la vieille extrême droite rêvait et que le gauchisme aura donc fait ou refait. Car il est vrai aussi qu’il renoue ainsi avec les courants antisémites les plus forcenés, de Proudhon à Dühring en passant par beaucoup d’autres, qui ont toujours été implantés dans les mouvements socialistes européens. C’est là que se profile, selon moi, une menace croissante, à en juger par la nature de certains propos venus de l’«islamo-gauchisme», pour utiliser une expression sans doute trop indéterminée. Le péril, c’est que la jonction finisse par se produire entre une extrême gauche «antisioniste» et l’antisémitisme d’extrême droite (ce que plusieurs manifestations récentes ont partiellement réussi dans la rue et ce dont elles sont le prodrome voire le premier symptôme effectif). Si cette condensation devait parvenir, comme force politique, à rassembler la jeunesse déshéritée, ou une partie d’entre elle, alors les conséquences en seraient vraiment redoutables. Gérard Bensussan
Ce n’est pas la première fois que nous sommes confrontés à une telle situation. Depuis 1948, tous les jours, tous les mois et surtout pendant le mois sacré du ramadan, nous assistons à une tentative de génocide systématique. Recep Tayyip Erdogan (premier ministre turc)
The vast majority of the countries participating in [the Arab League] summit consider Hamas to be a terrorist organization. These countries pray – all those foreign ministers are praying – that Israel will manage to get rid of Hamas once and for all. They support the Israeli planes bombing the Gaza Strip under the pretext of getting rid of Hamas and stopping the missiles. (…) Is it conceivable that such an « urgent » meeting is convened only 7-8 days after the Israeli air raids on the Gaza Strip began?! Why did it take them so long? The reason was that they wanted to give the Israeli planes and tanks the opportunity to invade Gaza and destroy the resistance. There are 18 resistance movements in Gaza. It’s not only Hamas. (…) They took their time to allow Israel to destroy the resistance once and for all. This meeting was summoned by Kuwait. Why didn’t Palestinian President Mahmoud Abbas summon it, and from day one? The reason is that he does not want the Arabs to convene. He does not want them to decide that this aggression must be stopped. (…) Yizhak Rabin once said that he hoped to wake up one day and see Gaza had sunk into the sea. By God, the Arab regimes and leaders have outdone Rabin in this. They would like the West Bank, the Gaza Strip, and the entire Palestinian people to sink into the sea with no survivors. Abd Al-Bari Atwan (former Gaza-born, editor-in-chief of Al-Quds Al-Arabi, Mayadeen TV on July 14, 2014)
Toute personne tuée ou tombée en martyr doit être appelée « civil de Gaza ou de Palestine », avant de préciser son rôle dans le djihad ou son grade militaire. N’oubliez pas de toujours ajouter l’expression « civil innocent » ou « citoyen innocent » en évoquant les victimes des attaques israéliennes sur Gaza. Commencez [vos rapports sur] les actions de résistance par l’expression « en réponse à la cruelle attaque israélienne », et concluez avec la phrase : « Ces nombreuses personnes sont des martyrs depuis qu’Israël a lancé son agression contre Gaza ». Assurez-vous toujours de maintenir le principe : « Le rôle de l’occupation est d’attaquer, et nous en Palestine sommes toujours en mode réaction ». (…) Évitez de publier des photos de tirs de roquettes sur Israël depuis les centres-villes de Gaza. Cela [servirait de] prétexte pour attaquer des zones résidentielles de la bande de Gaza. Ne publiez pas ou ne partagez pas de photos ou de clips vidéo montrant des sites de lancement de roquettes ou [les forces] du mouvement de résistance à Gaza. (…) ne publiez pas de photos d’hommes masqués avec des armes lourdes en gros plan, afin que votre page ne soit pas fermée [par Facebook] sous prétexte d’incitation à la violence. Dans vos informations, assurez-vous de préciser : « Les obus fabriqués localement tirés par la résistance sont une réponse naturelle à l’occupation israélienne qui tire délibérément des roquettes contre des civils en Cisjordanie et à Gaza »… (…) • Lorsque vous vous adressez à l’Occident, vous devez utiliser un discours politique, rationnel et convaincant, et éviter les propos émotifs mendiant de l’empathie. Certains à travers le monde sont dotés d’une conscience ; vous devez maintenir le contact avec eux et les utiliser au profit de la Palestine. Leur rôle est de faire honte de l’occupation et d’exposer ses violations. • Évitez d’entrer dans une discussion politique avec un Occidental pour le convaincre que l’Holocauste est un mensonge et une tromperie ; en revanche, assimilez-le aux crimes d’Israël contre les civils palestiniens. • Le narratif de la vie comparé au narratif du sang : [en parlant] à un ami arabe, commencez par le nombre de martyrs. [Mais en parlant] à un ami occidental, commencez par le nombre de blessés et de morts. Veillez à humaniser la souffrance palestinienne. Essayez de dépeindre la souffrance des civils à Gaza et en Cisjordanie pendant les opérations de l’occupation et ses bombardements de villes et villages. Directives du ministère de l’Intérieur du Hamas aux activistes en ligne
We, the undersigned academics, lawyers, and community leaders, are profoundly perturbed by the unbalanced and partisan position adopted by the Canadian Government and federal political parties regarding the current violence in Gaza. While more than 650 Palestinians – 75% civilians, according to the United Nations – have been killed in Israel’s latest military operation, official statements have focused exclusively on denouncing Hamas’s rocket strikes (responsible for two fatalities) and uncritically proclaiming Israel’s right to self-defence. While Hamas’s indiscriminate rocket firings are illegal under international law, Israel is still bound by basic international humanitarian law principles protecting civilians during times of war and prohibiting collective punishment. Indiscriminate and disproportionate attacks on civilian life and infrastructure in Gaza violate fundamental norms of international law. As of July 22, the toll of the ongoing offensive (the third major military assault on Gaza in six years) includes: at least 147 children killed, including four by missile strike while playing soccer on a Gaza beach; 3 504 Palestinians injured (it is uncertain how many are civilians, but the number includes 1 100 children and 1 153 women); 2 655 families whose homes have been destroyed or severely damaged; 117 000 people displaced; at least 90 schools and 18 health facilities damaged (including the destruction of al-Wafa Hospital, the only rehabilitation hospital in Gaza and the West Bank) 2 million people with no or very limited access to water and sanitation services. (…) And the toll increases by the hour. (…) As a country claiming to champion universal human rights and dignity, Canada’s foreign policy must align with international law, and reflect the equal value of Palestinian and Israeli life. The callous devaluation of Palestinian life communicated by our political leaders does not represent us as Canadians. Canadians 4 Gazans
It is a just war carried out with a great deal of care. I don’t like the civilian casualties that result from bombing the homes of the Hamas leaders. And what’s happening in Shejaiya is horrible, but I think it falls within the normal rules of war. The moral bottom line seems clear.“‘We’re using missile defense to protect our civilians, and they’re using their civilians to protect their missiles.’” Ori Nir (porte-parole de Americans for peace now)
Provoke Israel. It had worked in the past. A kidnapping of Israeli soldiers on the northern border had led to Israel’s less-than-discriminate assault on Hizballah in Lebanon in 2006. Rocket attacks had provoked Israel’s two previous Gaza incursions, in 2008 and 2012. Hamas and Hizballah had “won” those wars because their fighters resisted the Israelis more effectively than conventional Arab armies had done in the past but also because the images of collapsed buildings and blood-soaked children had bolstered Israel’s growing reputation as an oppressor and a bully in the eyes of the world. This time is different, however, for several reasons. The initial provocation, the kidnapping and murder of three Israeli teenagers, was indefensible, as was a retaliatory murder of a Palestinian teen. In a moment of moral clarity, Hamas lauded its kidnappers, while a furious Netanyahu called the retaliation “reprehensible.” Indeed, Israel’s actions have been more prudent across the board. It confined its bombing at first to Hamas’ military facilities and leaders. Civilians were killed in the process–as was Hamas’ intent–but these were targeted strikes, not the free-range assault on Gaza City that had occurred in Operation Cast Lead in 2008. The ground campaign that followed was limited as well, confined to Shejaiya, a neighborhood on the eastern outskirts of Gaza City that was a warren of Palestinian fighters and the launch point for a very elaborate tunnel system from Gaza to Israel. The fighting has been brutal, to be sure. More than 500 Palestinians and 32 Israeli soldiers have been killed. But it was not an indiscriminate massacre. Israel was protecting its border, the right of any sovereign nation; its citizens were threatened by Palestinian assaults at the receiving end of the tunnels (several of which were attempted, and foiled, during the fighting). (…) There have been the predictable anti-Israel riots in Europe, mostly populated by Islamic groups; the parlor left has been appalled, on cue, by the alleged Israeli brutality–without questioning the deadly cynicism of Hamas. Meanwhile, Hamas has been outfoxed diplomatically: it opposed the cease-fire agreement proposed by Egypt, which Israel–and the Arab League–supported. If you’re really the aggrieved party, it’s not easy to explain why you won’t accept peace. By now, in a reasonable world, Hamas would have lost all remaining shreds of its tenuous moral credibility. Joe Klein
I think that there has been a failure of reporting on our side about the extent of the Israeli operation, which compared to cast lead in 2008-2009. Cast lead was really wanton destruction of Gaza city. This has been pretty well-targeted … The ground offensive is in only one neighborhood of east Gaza city. The targets: schools, mosques, that’s where they store the guns. And it’s terrible that families and children are being killed but that is precisely Hamas’s purpose in starting this mess.(…) It’s pretty well known that I’ve been very critical of Israel in the past, especially their activities on the West bank and their expansion of settlements and I still am. But in this case … I spent the last couple of days talking to members of the Israeli peace movement, you know, people like Ori Nir, the spokesman of Americans for peace now and he called this a just war. He studies these things very, very carefully. And I think that in this case we have to present more nuanced reporting. Joe Klein (Time)
It’s the moral equivalence which is so devastating. When Egypt this week proposed its ceasefire in Gaza, a BBC presenter asked whether both sides would now conclude that there was no point carrying on with the war. From the start, restraint has been urged on both sides — as if more than 1,100 rocket attacks on Israel in three weeks had the same weight as trying to stop this onslaught once and for all. Israel has been bombing Gaza solely to stop Hamas and its associates from trying to kill Israeli citizens. But for many in the West, the driving necessity is not to stop Hamas but to stop Israel. Moral equivalence morphs instantly into moral bankruptcy. People have looked at the casualty count — around 200 Palestinians killed at the time of writing, while only a handful of Israelis have been injured or killed — and decided that this proves Israel is a monstrous aggressor. No concern at all for the Israelis who have only a few seconds to rush to a shelter when the sirens start to wail, car drivers flinging themselves to the ground at the side of the road. No concern for the elderly or disabled Israelis who can’t get to a shelter, the hospital patients left helpless while the rockets slam into the ground nearby. Just imagine if the Scots, for example, had for years been firing at England volleys of rockets that were now putting 40-50 million people within range. Unimaginable? Of course it is. No country would tolerate it. But that’s the equivalent situation in which tiny Israel has found itself. Yet it is simultaneously having to fight another war: against a West determined to demonise it with accusations of deliberate atrocities, lack of restraint or an attempt to conquer more land. To these people, whatever Israel does to defend itself is bad. Killing Gazans is bad, warning them to flee so they won’t be killed is bad, the Iron Dome missile defence system is bad because, while Palestinians are being killed, Israelis are not. Ah yes, that’s the real outrage, isn’t it? Not enough dead Jews. How dare they defend themselves so effectively! Melanie Philips
Où sont les routes et les chemins de fer, les industries et les infrastructures du nouvel Etat palestinien ? Nulle part. A la place, ils ont construit kilomètres après kilomètres des tunnels souterrains, destinés à y cacher leurs armes, et lorsque les choses se sont corsées, ils y ont placé leur commandement militaire. Ils ont investi des millions dans l’importation et la production de roquettes, de lance-roquettes, de mortiers, d’armes légères et même de drones. Ils les ont délibérément placés dans des écoles, hôpitaux, mosquées et habitations privées pour exposer au mieux leurs citoyens. Ce jeudi, les Nations unies ont annoncé que 20 roquettes avaient été découvertes dans l’une de leurs écoles à Gaza. Ecole depuis laquelle ils ont tiré des roquettes sur Jérusalem et Tel-Aviv. Pourquoi ? Les roquettes ne peuvent même pas infliger de lourds dégâts, étant presque, pour la plupart, interceptées par le système anti-missiles « Dôme de fer » dont dispose Israël. Même, Mahmoud Abbas, le Président de l’Autorité palestinienne a demandé : « Qu’essayez-vous d’obtenir en tirant des roquettes ? Cela n’a aucun sens à moins que vous ne compreniez, comme cela a été expliqué dans l’éditorial du Tuesday Post, que le seul but est de provoquer une riposte de la part d’Israël. Cette riposte provoque la mort de nombreux Palestiniens et la télévision internationale diffuse en boucle les images de ces victimes. Ces images étant un outil de propagande fort télégénique, le Hamas appelle donc sa propre population, de manière persistante, à ne pas chercher d’abris lorsqu’Israël lance ses tracts avertissant d’une attaque imminente. Cette manière d’agir relève d’une totale amoralité et d’une stratégie malsaine et pervertie. Mais cela repose, dans leur propre logique, sur un principe tout à fait rationnel, les yeux du monde étant constamment braqués sur Israël, le mélange d’antisémitisme classique et d’ignorance historique presque totale suscitent un réflexe de sympathie envers ces défavorisés du Tiers Monde. Tout ceci mène à l’affaiblissement du soutien à Israël, érodant ainsi sa légitimité et son droit à l’auto-défense. Dans un monde dans lequel on constate de telles inversions morales kafkaïennes, la perversion du Hamas devient tangible. C’est un monde dans lequel le massacre de Munich n’est qu’un film et l’assassinat de Klinghoffer un opéra, dans lesquels les tueurs sont montrés sous un jour des plus sympathiques. C’est un monde dans lequel les Nations-Unies ne tiennent pas compte de l’inhumanité des criminels de guerre de la pire race, condamnant systématiquement Israël – un Etat en guerre depuis 66 ans – qui, pourtant, fait d’extraordinaires efforts afin d’épargner d’innocentes victimes que le Hamas, lui, n’hésite pas à utiliser en tant que boucliers humains. C’est tout à l’honneur des Israéliens qui, au milieu de toute cette folie, n’ont perdu ni leur sens moral, ni leurs nerfs. Ceux qui sont hors de la région, devraient avoir l’obligation de faire état de cette aberration et de dire la vérité. Ceci n’a jamais été aussi aveuglément limpide. Charles Krauthammer
Hamas doesn’t care if its population suffers under the attacks or not, because the population is suffering anyway. Hamas doesn’t really care about their own casualties either. They want to achieve something that will change the situation in Gaza. This is a really complicated situation for Israel. It would take one to two years to take over the Gaza Strip and get rid of the tunnels, the weapons depots and the ammunition stashes step-by-step. It would take time, but from the military point of view, it is possible. But then we would have 2 million people, most of them refugees, under our control and would be faced with criticism from the international community. (…) Unfortunately, we have failed in the past to deliver a debilitating blow against Hamas. During Operation Cast Led, in the winter of 2008-2009, we were close. In the last days of the operation, Hamas was very close to collapsing; many of them were shaving their faces. Now, the situation has changed to the benefit of the Islamists. They deepened the tunnels; they are more complex and tens of kilometers long. They succeeded in hiding the rockets and the people who launch the rockets. They can launch rockets almost any time that they want, as you can see. Yuval Diskin
L’armée israélienne a déjoué plusieurs attentats de grande envergure. Le Hamas avait prévu plusieurs attentats simultanés à grande échelle durant la période du Nouvel An juif qui doit débuter le 24 septembre prochain, a confié une source sécuritaire vendredi à i24news. Selon cette source se basant sur les informations recueillies par les services de Renseignements qui ont interrogé des terroristes palestiniens faits prisonniers ces derniers jours à Gaza, le Hamas avait prévu d’infiltrer en Israël environ 200 de ses combattants par chacun des tunnels menant de la bande de Gaza vers le territoire israélien durant les fêtes de Rosh Hashana, la nouvelle année du calendrier juif. I24news
Au sud, vers 8h, les Givati ont pris possession de l’agglomération de Khirbet al Adas. A l’occasion de la prise de contrôle de cette localité, 150 individus qui se trouvaient dans un bâtiment depuis lequel des tirs étaient dirigés vers les soldats se sont rendus en s’avançant au-devant d’eux avec des drapeaux blancs. Nombres de ces hommes étaient uniquement des auxiliaires secondaires des brigades Ezzedine al Kassam, la branche armée du Hamas, mais une quarantaine d’entre eux appartenaient aux commandos d’élite de la milice islamiste. Ils ont été transférés en autobus vers des centres de détention en Israël et sont actuellement interrogés. C’est la première fois dans ce conflit que l’on assiste à une reddition aussi massive que celle-ci ; reste que l’Armée israélienne détient déjà un grand nombre de prisonniers. (…) L’observation des combats laisse à penser que les capacités défensives et le moral du Mouvement de la Résistance Islamique sont ébranlés. La Ména a procédé aujourd’hui au décompte des estimations remises par les commandants de 3 des 5 brigades participant aux combats dans la Bande de Gaza. Le chiffre des miliciens islamistes tués par ces trois brigades dépasse les 500 morts. Ces appréciations sont précieuses, car le Hamas et les autres milices ne communiquent absolument pas quant au nombre de leurs combattants tombés en action. Selon les bilans qu’ils présentent, tous les morts sont des civils. Sur la base des renseignements en notre possession, en ajoutant la quarantaine de miliciens morts dans cette journée de jeudi, la Ména affirme que les milices djihadistes ont perdu jusqu’à maintenant entre 650 et 670 combattants lors de Rocher Inébranlable. Des dizaines de ces miliciens sont enterrés dans des cimetières de fortune éloignés des regards, ou abandonnés sous les décombres de leurs positions afin d’empêcher Tsahal d’établir des bilans plus précis et d’évaluer de la sorte les capacités restantes de l’ennemi. D’après les évaluations effectuées par Sami el Soudi, se basant sur les chiffres de Tsahal, des témoignages téléphoniques de Gaza et des communiqués des différents hôpitaux et morgues de la bande côtière, le chiffre total des morts gazaouis s’établirait, ce jeudi soir, entre 850 et 880, incluant les miliciens. Mena press
While salvaging Qurans from the rubble of the Al-Farouq Mosque in Gaza, junior imam Muhammad Hamad told the New York Times, ‘This is a house of God” – as though this proved the mosque is a peaceful place of worship. He said this after Al-Farouq had been targeted by the Israeli Defense Forces (IDF) on July 12. According to IDF spokesperson, Lt. Col. Peter Lerner, intelligence indicated the mosque was used as “a Hamas rocket cache and gathering point for militants.” (…) Further Palestinians have a documented history of using mosques as bases for terrorism. A few examples: In 2003, Israeli police thwarted a suicide attack and located the explosives belt in a mosque in Taibeh. In 2003, Hamas terrorists in Hebron used their mosque’s football team as cover while they carried out a series of suicide attacks that killed 34 Israelis. In 2003, Ra’ed Misk, an imam of a mosque in Hebron, carried out a suicide attack that killed 23 civilians. He was dressed in the explosives belt at a mosque in eastern Jerusalem. In 2008, the IDF bombed a mosque in Gaza City that was used to store missiles and explosives and was used as a launching ground for rocket attacks. In 2009, during Operation Cast Lead, IDF forces uncovered weapons caches in mosques throughout Gaza including ones in Jabaliya, Al-Atatra, and the Zeitun neighborhood of Gaza City. As for the Al-Farouq Mosque recently targeted in Gaza for being a “rocket cache” and meeting place for terrorists, it broadcasts publicly its affiliation with Hamas and its promotion of jihad on the mosque’s Facebook page.
I recently had the opportunity to see for myself the moral chasm between how the Israeli Defense Forces and Hamas treat civilians during military operations. In May I joined a dozen other retired U.S. generals and admirals on a trip to Israel with the Jewish Institute for National Security Affairs. Just outside Hamas-ruled Gaza, we toured a tunnel discovered less than one kilometer from an Israeli kindergarten. Unlike tunnels that I had seen during the Iraq war that were designed for smuggling, this Hamas tunnel was designed for launching murder and kidnapping raids. The 3-mile-long tunnel was reinforced with concrete, lined with telephone wires, and included cabins unnecessary for infiltration operations but useful for holding hostages. Israel, fearing just such tunnel-building, has long tried to limit imports of concrete to Gaza for anything but humanitarian projects, yet somehow thousands of tons of the material have been diverted for terror use rather than building hospitals or housing for Palestinians. Since the beginning of ground operations into Gaza, the IDF has uncovered approximately 30 similar tunnels leading into Israel, in addition to the more than two dozen discovered prior to Operation Protective Edge. Hamas operatives have been intercepted emerging from such tunnels in Israel carrying tranquilizers and handcuffs, apparently hoping to replicate the successful 2006 kidnapping of IDF soldier Gilad Shalit, for whom Israel exchanged 1,000 Palestinian prisoners in 2011. Beyond targeting Israeli civilians with kidnappings and with the indiscriminate firing of rockets, Hamas shows a callous disregard for the lives of the Palestinians it ostensibly represents. Earlier this month Hamas spokesman Sami Abu Zuhri appeared on Al-Aqsa TV and encouraged Gaza residents to act as human shields. They appear to have heeded the call: Israeli Defense Forces combat video has shown Palestinians rushing to rooftops after receiving warnings from Israel—via phone calls, text messages, and unarmed « knock-knock » small projectiles striking a targeted building—that a missile attack is imminent. Nor is Hamas the only potential adversary of Israel that believes its civilians’ propaganda value is worth more than their lives. From an IDF outpost overlooking the border, I saw housing tracts in Lebanon built with Iranian money after Israel’s 2006 war with Hezbollah. The IDF has determined that the housing masks the launch sites for some of the more than 100,000 rockets that Hezbollah holds in reserve for attacking Israel and its citizens. As we have seen in images from Gaza, the occupants of these dwellings either will serve as human shields to deter Israeli pre-emptive strikes, or in the event of another war they will be valuable « collateral damage »—dying in the service of Hezbollah’s propaganda mill. This cynical inducement of civilian suffering for propaganda is in marked contrast to the IDF’s treatment of noncombatants. While Hamas is encouraging the sacrifice of its civilian population—and its cowardly leadership is ensconced in underground bomb shelters—the IDF reports that in the conflict’s first week it provided more than 4,400 tons of food to Palestinians in Gaza, about 900 tons of natural gas and about 3.2 million liters of diesel fuel. All this despite 1,700 Hamas rockets fired at Israel. General Conway
If Israel was purposely trying to kill Gazan civilians, 18-28 year-old men would not make up so many of the deaths. The percentage of women would be way higher than 22% (since they make up almost half the population), and the percentage of children killed would be way higher than approximately 20%, given nearly 50% of Gazans are under 14. Also, compare these figures to those published by the UN: 599 Palestinians killed 443 civilians (74%) 147 children (25%) 74 women (12%). Israellycool
Those are the primary antidotes to the biased and lazy mainstream media’s false equivalencies and context-free body count obsession. If Israel were less adept at protecting its innocents, and if Hamas actually tried to spare its civilians instead of intentionally putting them in harm’s way, low-information Americans might be spared the various monuments to “moral lunacy,” erected by people like Jon Stewart: Mr. Stewart asserted that both sides–Israel and Hamas–are engaging in aerial bombardment. But because Israel is more effective at prosecuting the war, and because more Palestinians than Israelis are dying, Israel is the more guilty party. It’s framed as an example of moral equivalence, but with Israel more morally culpable because of the “asymmetric” nature of the conflict. This is moral lunacy. You would never know from watching Stewart that Hamas is dedicated to the destruction of the Jewish state (and says so in its charter); that Hamas started the war; that Hamas wants to escalate the war; that Hamas has refused repeated ceasefires; and that Hamas is using innocent Palestinians as human shields by, for example, using hospitals and schools for military purposes. You would never know, in other words, that Hamas has a vested interest in more dead Palestinians, precisely in the hopes that people like Jon Stewart will make Israel out to be the more malicious of the two combatants. And when Stewart ridicules Israel for warning Palestinians to evacuate before the IDF strikes military targets in Gaza–”Evacuate to where!?”–he is displaying (at best) an embarrassing ignorance. Israel actually drops leaflets with maps indicating where residents of Gaza can go–specific sites–where they’ll be unharmed. So Israel is instructing Gazans to leave dangerous combat zones. And what about Hamas? It’s urging Gazans to stay. Why? In order for them to be killed. Hot air
Le conflit actuel avec Gaza prouve que les diverses accusations émises par Israël à l’encontre du Hamas sont fondées, et le résultat c’est la guérilla urbaine déloyale dont le monde est témoin en ce moment. Comme l’a écrit Evelyn Gordon précédemment, les vastes réseaux de tunnels prouvent qu’Israël avait raison de prédire le double usage que ferait le Hamas d’objets et de matériaux au profit de sa guerre terroriste contre des civils israéliens. Les Occidentaux devraient être gênés d’avoir rendu possible la construction de ces tunnels : la pression exercée sur Israël pour qu’il laisse entrer ces matériaux a été le moyen utilisé par la communauté internationale pour faire des civils israéliens les cobayes d’une grande expérience. Les nations n’ont pas cru aux prédictions d’Israël, elles voulaient vérifier leurs thèses. C’est fait maintenant, et des innocents en payent le prix. Seth Mandel
Attention: une perfidie peut en cacher une autre !
Découverte de dizaines de kilomètres de tunnels, tunnels d’attaque compris émergeant en territoire israélien au prix de quelque 600 000 tonnes de ciment et plus d’un milliard de dollars; projets d’attentats massifs via les tunnels notamment pour le nouvel an juif fin septembre; roquettes qui apparaissent dans les école de l’ONU et qui, si l’on en croit les aviations civiles occidentales pourraient désormais se révéler dangereuses pour nos passagers; bilan, provisoire et publié uniquement par des agences proches du Hamas, de pertes « civiles » confirmant la surreprésentation des hommes en âge de combattre (80%); utilisation de photos de victimes recyclées d’autres conflits; journalistes occidentaux faisant état de pressions et de manoeuvres d’intimidation de la part du Hamas pour avoir osé évoquer l’utilisation délibérée de sa population comme boucliers humains; journalistes arabes évoquant le souhait cachés du Monde arabe – nos amis qataris et turcs exceptés – de voir le Hamas enfin désarmé …
Alors qu’en ces temps étranges où le plus fort doit s’excuser de trop bien protéger sa population pendant que le plus faible fait la une des médias pour l’avoir sacrifiée …
Se confirment, une à une et jour après jour, l’ensemble des accusations que répètent depuis des années les autorités israéliennes sur les détournements et la perfidie des méthodes de combat du Hamas en particulier et des Palestiniens en général …
Et que du côté occidental, si l’on en croit un récent sondage américain et ce que l’on peut voir dans nos manifestations, les critiques seraient plutôt jeunes, sous-éduqués, sous-informés et plutôt gauchisants …
Comment ne pas voir, avec la revue américaine Commentary et comme en creux à l’instar des proverbiales pierres de l’Evangile (sauf que là, c’est des pierres de tunnel !) criant enfin leur vérité, l’incroyable mauvaise foi ou au mieux naïveté de l’ensemble ….
Tant des accusations dirigées contre l’Etat hébreu que des excuses généreusement accordées pendant toutes ces années au Hamas par nos belles âmes ?
Mais aussi, alors que le bilan humain s’alourdit chaque jour un peu plus, leur incroyable irresponsabilité ?
Israel and the Burden of Being Right
Seth Mandel
Commentary
07.24.2014
Generally when someone says they “hate to say I told you so,” it’s fair to doubt they really hate saying it. But in Israel’s case it’s believable. The current conflict with Gaza is proving Israel correct about its various claims with regard to Hamas, and the result is the treacherous urban warfare the world is currently witnessing.
As Evelyn Gordon wrote earlier, the vast tunnel networks prove Israel was right about letting in dual-use items that Hamas would only appropriate for its terror war against Israeli civilians. The West should, in fact, be embarrassed by its enabling of those tunnels: pressuring Israel to let in those materials was the international community’s way of using Israeli civilians as guinea pigs in a grand experiment. They didn’t believe Israeli predictions, and wanted the premises tested. Now they have been, and innocents are paying the price.
While we’re on the topic of dangerously boneheaded diplomatic fumbles by the Obama administration, the FAA ban on flights to Israel’s major international airport–conspicuously imposed not when the rockets started flying but when John Kerry needed leverage to box Israel into a cease-fire–proved another point. The grotesque body-counters among the press like to treat rockets from Gaza as barely more than fireworks which do not lead (because of Israeli and American technological genius) to a comparable number of fatalities.
But the FAA ban is the Obama administration’s way of inadvertently admitting otherwise: rockets from Gaza are such a threat, according to the Obama administration’s actions, that Tel Aviv should be treated as more dangerous for commercial flight than countless other locations that would give anything for a safety record even resembling that of Ben-Gurion. Thus, the possibility that rockets will escape Iron Dome is sufficient to treat them as the act of war they are intended to be. Israel was right about the need to stop and deter the rockets, not least because of America’s reaction to them.
The tunnels and the rockets are Hamas’s primary threat to those living inside Israel, and they also shine a light on another of Israel’s verified claims: Hamas’s practice of turning civilians and their property into instruments of war. As I wrote on Tuesday, journalists have witnessed Hamas fighters using a hospital as a command center and moving rockets into mosques. And Hamas is using UN schools to store weaponry as well.
But reporters have also opened a window into why there’s not as much coverage of the use of human shields as one would think. Yesterday, a Wall Street Journal photographer tweeted an image of a Hamas official at Shifa hospital and wrote: “You have to wonder w the shelling how patients at Shifa hospital feel as Hamas uses it as a safe place to see media.” He then deleted the tweet. At the Jerusalem Post, Lahav Harkov offers a window into the threats journalists are getting on social media for recording Hamas actions:
An account called @ThisIsGaza said this was Stefanovic’s fourth time “passing and fabricating information to Israel… from GAZA” and threatened to sue him.
Another account, @longitude0 wrote: “You are a cretin. Are you working for the IDF” and “in WWII spies got shot.”
Financial Times Jerusalem Bureau Chief John Reed reported seeing “two rockets fired toward Israel from near al-Shifa hospital, even as more bombing victims were brought in.”
Shifa, in Gaza City, is the main medical facility in the Strip.
In response, @Saritah_91 tweeted: “We’ll hold you responsible if Israel uses your tweet to bomb the hospital & then justify it.”
The Hamas supporters are making use of the term “informant,” treating the media as their allies (I can’t imagine why) who then betray the cause when they report what they see. There has also been an interesting desire on the part of journalists to obfuscate the implications of their own reporting. For example, in an article detailing Hamas’s brazen use of human shields, New York Times reporters Anne Barnard and Jodi Rudoren write:
Hamas is using civilians as human shields, but let’s not jump to any conclusions. Barnard and Rudoren don’t cite their source for international law, but here is the plain text of the Geneva Conventions:
But even by the Barnard/Rudoren account, it’s pretty clear that Hamas, in turning civilian areas into military targets and then prohibiting civilians from using the reinforced bunkers under those areas to which Hamasniks then retreat when the counterattack arrives, is using civilians as human shields.
Again, Israel said all this–and has said it for some time. But there’s not much consolation in being right about these claims, because it means Hamas’s sacrificial use of Palestinian civilians and the group’s genocidal war against the Jewish state continues.
Voir aussi l’excellent traduction de Menahem Macina:
Israël et la lourde charge d’avoir raison |
Seth Mandel |
13/08/2014 |
How the West Helped Hamas Build Its War Machine
Evelyn Gordon
Commentary
07.24.2014
Yesterday, I wrote about one important way in which the West helps Hamas. Clearly, there are also many others, including media coverage that encourages Hamas’s use of human shields (as Alan Dershowitz explains here) or even parrots outright Hamas lies (as Noah Pollak explains here). But Monday’s Jerusalem Post editorial highlighted one important form of assistance to Hamas that has received far too little attention despite contributing greatly to Gaza’s current misery: the West’s relentless pressure on Israel to stop restricting imports of “dual-use” items into Gaza.
We now know Israel’s warnings were 100 percent correct. As Jonathan Tobin has already noted, Hamas built a vast warren of underground bunkers to protect its rockets and its own personnel. It also built dozens of cross-border tunnels dedicated solely to launching attacks inside Israel; the IDF has so far located 28–each of which runs for miles, deep underground, requiring hundreds of tons of cement and millions of dollars to build–and doesn’t think it has found them all. Yet Hamas built no hospitals, schools, power plants, or even bomb shelters to serve the general population; where such institutions exist, they were built either by Israel (when it controlled Gaza) or the international community.
Voir également:
Recovery
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[…] sacrifice délibéré et cynique d’enfants ! – le degré de leur imaginable perfidie et perversion […]
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