Flottille de Gaza: Ce chœur unanime de condamnations où pas une voix ne manque (One of the world’s oldest stories is playing out before our eyes)

Image result for Goebbels Jews quotesLorsqu’un Sanhédrin s’est déclaré unanime pour condamner, l’accusé sera acquitté. Le Talmud
Mais il incombait aux Juifs, avec leur habitude de mentir jusqu’à l’extrême, et à leur organisation de combat marxiste, d’imputer précisément la responsabilité de cet effondrement à l’homme qui, seul, doué d’une force surhumaine de volonté et d’action, essayait d’épargner à la nation l’heure de l’affaissement complet et de la honte. Tandis que l’on stigmatisait Ludendorff en l’accusant de la perte de la guerre mondiale, les armes du droit moral furent retirées des mains du seul accusateur dangereux qui pût se dresser contre les traîtres à la patrie. On partit à cet égard de ce principe très juste que, du plus grand des mensonges, l’on croit toujours une certaine partie: la grande masse du peuple laisse en effet plus facilement corrompre les fibres les plus profondes de son cœur qu’elle ne se lancera, volontairement et consciemment, dans le mal: aussi, dans la simplicité primitive de ses sentiments, sera-t-elle plus facilement victime d’un grand mensonge que d’un petit. Elle ne commet elle-même, en général, que de petits mensonges, tandis qu’elle aurait trop de honte à en commettre de grands. Elle ne pourra pas concevoir une telle fausseté et elle ne pourra pas croire, même chez d’autres, à la possibilité de ces fausses interprétations, d’une impudence inouïe: même si on l’éclaire, elle doutera, hésitera longtemps et, tout au moins, elle admettra encore pour vraie une explication quelconque qui lui aura été proposée. Qu’il reste toujours quelque chose des plus impudents mensonges, c’est un fait que les plus grands artistes en tromperie et que les associations de trompeurs ne connaissent que trop bien et qu’ils emploient dès lors bassement. Ceux qui connaissent le mieux cette vérité sur les possibilités d’emploi du mensonge et de la dénonciation ont été de tous temps les Juifs. Leur existence n’est-elle pas déjà fondée sur un seul et grand mensonge, celui d’après lequel ils représentent une collectivité religieuse, tandis qu’il s’agit d’une race – et de quelle race! Un des plus grands esprits de l’humanité les a pour toujours stigmatisés dans une phrase d’une véracité profonde et qui restera éternellement juste: il les nomme « les grands maîtres du mensonge ». Qui ne veut pas reconnaître ce fait, ou qui ne veut pas y croire, ne pourra plus jamais contribuer en ce moment à la victoire de la vérité. Adolf Hitler (Mon combat, Volume 1, Chapitre 10)
L’erreur est toujours de raisonner dans les catégories de la « différence », alors que la racine de tous les conflits, c’est plutôt la « concurrence », la rivalité mimétique entre des êtres, des pays, des cultures. La concurrence, c’est-à-dire le désir d’imiter l’autre pour obtenir la même chose que lui, au besoin par la violence. Sans doute le terrorisme est-il lié à un monde « différent » du nôtre, mais ce qui suscite le terrorisme n’est pas dans cette « différence » qui l’éloigne le plus de nous et nous le rend inconcevable. Il est au contraire dans un désir exacerbé de convergence et de ressemblance. (…) Ce qui se vit aujourd’hui est une forme de rivalité mimétique à l’échelle planétaire. Lorsque j’ai lu les premiers documents de Ben Laden, constaté ses allusions aux bombes américaines tombées sur le Japon, je me suis senti d’emblée à un niveau qui est au-delà de l’islam, celui de la planète entière. Sous l’étiquette de l’islam, on trouve une volonté de rallier et de mobiliser tout un tiers-monde de frustrés et de victimes dans leurs rapports de rivalité mimétique avec l’Occident. Mais les tours détruites occupaient autant d’étrangers que d’Américains. Et par leur efficacité, par la sophistication des moyens employés, par la connaissance qu’ils avaient des Etats-Unis, par leurs conditions d’entraînement, les auteurs des attentats n’étaient-ils pas un peu américains ? On est en plein mimétisme.Ce sentiment n’est pas vrai des masses, mais des dirigeants. Sur le plan de la fortune personnelle, on sait qu’un homme comme Ben Laden n’a rien à envier à personne. Et combien de chefs de parti ou de faction sont dans cette situation intermédiaire, identique à la sienne. Regardez un Mirabeau au début de la Révolution française : il a un pied dans un camp et un pied dans l’autre, et il n’en vit que de manière plus aiguë son ressentiment. Aux Etats-Unis, des immigrés s’intègrent avec facilité, alors que d’autres, même si leur réussite est éclatante, vivent aussi dans un déchirement et un ressentiment permanents. Parce qu’ils sont ramenés à leur enfance, à des frustrations et des humiliations héritées du passé. Cette dimension est essentielle, en particulier chez des musulmans qui ont des traditions de fierté et un style de rapports individuels encore proche de la féodalité. (…) Cette concurrence mimétique, quand elle est malheureuse, ressort toujours, à un moment donné, sous une forme violente. A cet égard, c’est l’islam qui fournit aujourd’hui le ciment qu’on trouvait autrefois dans le marxismeRené Girard
Messieurs, charbonnier est maître chez soi. Nous sommes un Etat souverain. Tout ce qu’a dit cet individu ne nous regarde pas. Nous faisons ce que nous voulons de nos socialistes, de nos pacifistes et de nos juifs, et nous n’avons à subir de contrôle ni de l’humanité ni de la SDN. Goebbels (Genève, 1933)
Dites-leur de foutre le camp de Palestine.(…) Souvenez-vous que ces gens-là sont occupés et qu’il s’agit de leur terre, que ce n’est pas l’Allemagne ni la Pologne (…) Il peuvent rentrer chez eux, en Allemagne, en Pologne, en Amérique et n’importe où ailleurs. Helen Thomas (mai 2010)
Qui pensait voilà vingt ans que Pretoria serait un jour en mesure de recevoir le gotha du foot mondial? Le pays, synonyme d’apartheid, était alors au ban des nations. Aujourd’hui, l’isolement d’Israël dans le monde grandit. Même si le pays reste une démocratie pour ses citoyens, il continue d’occuper des territoires, il contrôle les allées et venues en Cisjordanie et impose toujours un blocus à Gaza, en arraisonnant avec violence les navires qui s’en approchent. (…) Pourtant, comme le montre notre dossier, la fracture est de plus en plus évidente entre une grande partie de la diaspora juive et l’Etat hébreu. Si cette fracture s’élargit, Israël n’aura plus guère de cartes à jouer. Il lui restera à trouver son De Klerk, et à en finir avec un régime d’exception qui ne lui apporte que des déboires. Deux Etats ? Un Etat binational? Peu importe aujourd’hui. Parions seulement que les deux Etats pourront coorganiser le Mondial de 2030. Courrier international (17.06.10)
A Villiers-le-Bel, les 25 et 26 novembre 2007, un renversement s’est produit : ces gamins que la police s’amuse de mois en mois à shooter ont à leur tour pris leurs aises avec ceux qui les ciblent. Ces quartiers submergés par une occupation devenue militaire ont, un temps, submergé les forces d’occupation. Les roueurs ont été roués. L’espace de deux soirées, la peur a changé de camp. Collectif de soutien aux tireurs de policiers de Villiers-le-Bel
Le vent a tourné, ça valait le coup d’être endurant. Pour la première fois, les plus hauts magistrats de ce pays viennent de reconnaître qu’il n’est pas diffamatoire de dire que « les rapports du ministère de l’Intérieur ne feront jamais état des centaines de nos frères abattus par les forces l’ordre sans que les assassins ne soient inquiétés ». Dominique Tricaud (avocat du rappeur incriminé)
Il est de bon ton de s’offusquer du blocus de Gaza par Israël  mais de mauvais goût de s’offusquer de l’attaque récente du Hamas d’une  école au seul prétexte qu’elle s’adressait aux  filles, ou des tirs de milliers de roquettes du Hamas aussi, prenant les villes israéliennes pour cibles. De mauvais goût aussi de critiquer l’armement et le financement de ce même Hamas par l’Iran. Le monde demande des investigations indépendantes à l’égard d’Israël, mais  ignore le Hamas. Cet état de fait s’explique par le manque d’autorité morale dont le monde souffre depuis des décennies. Aujourd’hui, en Occident, nous faisons montre d’une certaine réticence à engager toute notre force militaire dans une guerre pour ne pas être taxés d’impérialisme; nous hésitons même à garantir nos frontières pour ne pas paraitre racistes. Ne voulant non plus paraitre xénophobes, nous faisons, également, preuve d’une  réticence certaine à demander l’assimilation des nouveaux immigrés. Nous souffrons de voir l’enseignement donner la primauté à la civilisation occidentale de crainte d’apparaitre suprématistes. L’Occident, de nos jours, vit sur la défensive, et, pour assurer la légitimité de ses sociétés actuelles, doit constamment se dissocier des péchés de son passé, tels le racisme, l’exploitation économique, l’impérialisme, etc. Shelby Steele
Quel est ce chœur unanime de condamnations contre Israël ? Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme le coupable absolu ? Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ? (…) Il y a de la folie dans le moment présent. Il y a une haine qui ne dit rien de bon, qui n’annonce rien de bon et je crains que la tolérance planétaire à l’égard de ce président iranien ne ressemble à l’accueil tolérant qui fut fait à Goebbels à la SDN en 1938.  Combien de temps reste-t-il avant d’autres horreurs programmées? Marceline Loridan-Ivens

Epidémie d’annulations de concerts, pancartes de manifestations contre l’Etat-pirate, appel explicite de la plus ancienne journaliste accréditée à la Maison Blanche au renvoi des Juifs en Pologne, énième série de résolutions onusiennes condamnant Israël auxquelles s’associe ou  s’oppose mollement l’Administration Obama …

Retour, avec la cinéaste française Marceline Loridan-Ivens et le politologue noir-américain Shelby Steele, sur ces temps étranges et inquiétants d’inversion des valeurs où, à Gaza comme à Villiers-le-Bel, ce sont les autorités légitimes qui ont toujours tort.

D’où cet étrange ‘chœur unanime de condamnations’ dont se méfiait justement tant le Talmud jadis …

‘Où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète’…

Et cet abandon, par un Occident désarmé par ses propres dérives, qui en rappelle étrangement un autre il y a 70 ans devant Goebbels à la SDN …

Point de vue

Mais, que vous a fait Israël?

Marceline Loridan-Ivens, cinéaste

Le Monde

10.06.10

Quel est ce chœur unanime de condamnations contre Israël ? Quel est cet ensemble vertueux qui désigne Israël comme le coupable absolu ? Quel est ce tribunal planétaire où pas une voix ne manque pour désigner à la vindicte publique le responsable de tous les maux de la planète ? Il y aura même eu un imam iranien pour affirmer que l’éruption du volcan islandais était la punition divine des crimes du « régime sioniste ».

De Dominique de Villepin à Noam Chomsky, tous se sont précipités dans les télévisions pour dénoncer « l’incroyable crime » commis par les soldats israéliens ! Trop de bonne conscience tue la conscience. Trop, c’est trop ! Qu’est-ce que nous dit cet accablement ?

Qu’il y aurait un Etat de trop sur la terre ? Non, bien sûr ! Israël possède de nombreux amis qui lui écrivent des lettres d’amour, pleines de conseils en forme d’épitaphe. Il y a même une célèbre journaliste américaine qui conseille aux Israéliens de rentrer « chez eux ». Chez eux ? En Pologne, en Russie, en Algérie ! Pourquoi pas à Auschwitz tant qu’on y est ! Tant de sollicitude touche la vieille dame juive que je suis. Je crois que tous les Israéliens doivent être contents du constant intérêt qu’on leur témoigne et tous les juifs sont heureux de cette empathie sans cesse renouvelée. J’avais fait, il y a longtemps, le choix de la pensée universelle. Bien que je fus déportée parce que j’étais juive, j’ai cru que l’humanité, l’idée d’humanité, était plus forte que la charge des origines. Près de soixante ans plus tard, dois-je faire le constat de mon erreur ? Dois-je constater qu’être juif vous désigne jusqu’à la fin des temps comme le coupable des nations ? De quoi Israël est-il coupable ?

IL Y A UNE HAINE QUI N’ANNONCE RIEN DE BON

Même si la politique de son gouvernement est critiquable, est-ce de cela dont il est question ? Est-ce vraiment parce que cette opération militaire a été conduite et s’est mal terminée qu’il faille désigner ces soldats israéliens comme d’horribles assassins face à des agneaux turcs ? Pourquoi une telle mauvaise foi planétaire ? Pourquoi cette bonne conscience européenne à vil prix ? Pourquoi est-ce de l’Europe que fusent les critiques les plus virulentes ? De quelle morale cette Europe peut-elle se prévaloir ? Quelles bonnes grâces veut-elle s’attirer ? Et puis il y a la gauche, ma famille politique ! Qu’est-ce que c’est que ces alliances, ces rencontres avec ces fanatiques qui crient « Israël partira, Palestine vaincra ! » Quels sont ces supposés trotskystes qui font cortège commun avec ceux qui font la prière en pleine rue ! La gauche a-t-elle perdu la tête ? Croit-elle vraiment que le Hamas va émanciper les classes laborieuses comme on disait jadis ? Croit-elle vraiment que l’islamisme défend la liberté de conscience ? Croit-elle vraiment que dans les banlieues la haine des juifs fait partie des contradictions admissibles au sein du peuple ?

Il y a de la folie dans le moment présent. Il y a une haine qui ne dit rien de bon, qui n’annonce rien de bon et je crains que la tolérance planétaire à l’égard de ce président iranien ne ressemble à l’accueil tolérant qui fut fait à Goebbels à la SDN en 1938.  Combien de temps reste-t-il avant d’autres horreurs programmées ? Des larmes compassionnelles, les juifs et les Israéliens n’ont que faire. C’est pour cette raison qu’ils ont créé Israël. Est-ce cela qui vous dérange tant ?

Numéro tatoué sur le bras gauche à Auschwitz-Birkenau : 78750

Voir aussi:

Israël et la capitulation de l’Occident

Une des histoires les plus vieilles du monde est en train de se répéter sous nos yeux: celle des Juifs, boucs-émissaires.

Shelby Steele

The WSJ

21.06.10

traduction Gad (merci Aschkel)

La voix la plus intéressante émergeant de toutes les retombées de  l’incident de la flottille de Gaza est bien celle de l’ « opinion publique mondiale », bien connue pour  son ingérence et son ton moralisateur. Telle une caricature de maîtresse d’école, elle se dresse a chaque tournant, offensée, condamnant Israël, l’accusant d’avoir heurté une fois de plus la fibre morale du monde. Cette voix a pris du volume et a acquis une légitimité politique internationale, si bien que même la plus inepte des condamnations d’Israël lui donne une occasion de se féliciter.

Les groupes de Rock tels Elvis Costello, les Pixies, les Gorillaz et les Klaxons,  ayant annulé leur tournée d’été en Israël sont désormais entrés au Pantheon de la moralité. Un manifestant, lors d’une manifestation anti-israélienne à New York, brandissait une pancarte représentant le symbole de la tête de mort barrant le nom d’Israël. Helen Thomas,  correspondante à la Maison Blanche, qui a clamé bien haut que les Juifs devaient retourner d’où ils venaient,  en Pologne .. etc  représente l’incarnation la plus ignoble de cette voix de l’ opinion publique. Et bien entendu, les Nations-Unies et autres organisations internationales, toujours complaisantes, n’hésitent pas à ratifier toutes  les résolutions condamnant Israël. L’administration Obama, soit approuve, soit s’y oppose mais alors, avec un clin d’oeil accompagnateur.

Cette ségrégation d’Israël, plus ou moins totale, hors de la communauté des nations  est un fait nouveau. Les remarques  d’Helen Thomas toutes aussi abjectes et méprisables qu’elles soient ne sont-elles pas la preuve de cet effort final qui après avoir isolé Israël, veut maintenant lui retirer sa légitimité en tant que nation? Du déjà-vu a vous glacer le sang. Une des histoires les plus vieilles du monde est en train de se répéter sous nos yeux. Les Juifs redeviennent les boucs émissaires.

L' »opinion mondiale » oeuvre avec force pour identifier Israël à l’Afrique du Sud du temps de l’Apartheid (de la ségrégation, précisément), un pays ignorant toute loi morale. Elle projette ainsi une image d’Israël en tout point comparable à celle de l’Afrique du Sud, pays « intouchable », du temps de l’Apartheid et de la suprématie blanche.

L’opinion mondiale semble avoir dévié de l’optique du 20e siècle qui voyait dans le conflit israélo-palestinien une dispute territoriale compliquée et pénible pour ces deux peuples. De nos jours, le monde fait pencher la balance en faveur des Palestiniens en diabolisant un Israël plus puissant, plus « blanc » que ses voisins, un Israël devenu essentiellement  un pouvoir colonial occupant un peuple assiégé du tiers-monde.

C’est d’après ce modèle moral que certains milieux jugent désormais Israël, que ce soit au sens figuré ou au sens propre. Aucune importance accordée au fait qu’une grande partie du monde n’est pas dupe. Ce modèle est devenu le modèle par excellence, modèle des bonnes manières et du politiquement correct. Il est de bon ton de s’offusquer du blocus de Gaza par Israël  mais de mauvais goût de s’offusquer de l’attaque récente du Hamas d’une  école au seul prétexte qu’elle s’adressait aux  filles, ou des tirs de milliers de roquettes du Hamas aussi, prenant les villes israéliennes pour cibles. De mauvais goût aussi de critiquer l’armement et le financement de ce même Hamas par l’Iran. Le monde demande des investigations indépendantes à l’égard d’Israël, mais  ignore le Hamas.

Cet état de fait s’explique par le manque d’autorité morale dont le monde souffre depuis des décennies. Aujourd’hui, en Occident, nous faisons montre d’une certaine réticence à engager toute notre force militaire dans une guerre pour ne pas être taxés d’impérialisme; nous hésitons même à garantir nos frontières pour ne pas paraitre racistes. Ne voulant non plus paraitre xénophobes, nous faisons, également, preuve d’une  réticence certaine à demander l’assimilation des nouveaux immigrés. Nous souffrons de voir l’enseignement donner la primauté à la civilisation occidentale : foin de la suprématie! L’Occident, de nos jours, vit sur la défensive, et, pour assurer la légitimité de ses sociétés actuelles, doit constamment se dissocier des péchés de son passé, tels le racisme, l’exploitation économique, l’impérialisme, etc.

Lorsque les commandos israéliens ont abordé le dernier bateau de la flotille, ils ont été accueillis a coups de barres de fer. En tuant neuf de leurs agresseurs, ils se sont immédiatement retrouvés dans un monde privé de l’autorité morale qui leur aurait accordé le bénéfice du doute. Selon toute apparence, il s’agissait d’une unité de combat de choc envoyée par une nation du « premier monde », à majorité blanche, prête à abattre des militants pour la paix afin d’appliquer le blocus de Gaza et de ses habitants de couleur et appauvris.

Quelle ironie que de voir les Israéliens comparés à la Gestapo et ce aux yeux d’un monde occidental moralement compromis!

Cette comparaison ne correspond, bien sûr, nullement à  la réalité de l’Israël moderne. Israël ne cherche ni à occuper ni à opprimer et certainement pas à annihiler les Palestiniens afin d’instaurer une quelconque  suprématie atavique juive. Evoquer le passé honteux de l’Occident suffit à lui faire geler tout soutien à Israël.

Son manque d’assurance empêche l’Ouest de voir les Palestiniens tels qu’ils sont. Il vaut mieux les voir  tels qu’ils se présentent eux-mêmes, en peuple « occupé »,  privé de sa  souveraineté et de sa simple dignité humaine par un pays de colonisateurs occidentaux et blancs. L’Occident ne voulant pas être qualifié de raciste, ne s’oppose donc pas à cette caractérisation « néo-coloniale ».

Notre problème d’Occidentaux se comprend et s’explique : nous ne voulons pas perdre plus de notre autorité morale. Nous choisissons donc de fermer les yeux et d’ignorer par exemple que ce ne sont pas des doléances légitimes qui poussent  les Palestiniens ainsi qu’une grande partie du Moyen-Orient au militantisme et à la guerre, mais bien un sentiment d’infériorité intériorisé. Que les Palestiniens se trouvent comblés en devenant une nation souveraine et indépendante avec une capacité nucléaire en sus, cela ne les empêchera pas de se réveiller le lendemain toujours hantés par ce sentiment d’infériorité. Que ce soit pour le meilleur ou pour le pire, l’homme s’évalue maintenant par sa modernité.

Et la haine est le moyen le plus rapide pour  masquer son infériorité. Le problème, « ce sont les autres et pas moi! ». Victimisé, j’atteins une grandeur morale et humaine. Peu importe l’intelligence et la modernité de mon ennemi, à moi l’innocence qui caractérise les victimes. Même pauvre, mes mains restent propres. Mon sous- développement et ma pauvreté témoignent de ma supériorité morale, alors que la richesse de mon ennemi est la preuve de son inhumanité.

En d’autres termes, ma haine remplace mon amour-propre. Ce qui expliquerait pourquoi Yasser Arafat a rejeté l’offre d’Ehud Barak à « Camp David » en l’an 2000, alors que ce dernier offrait au premier plus de 90% des exigences  des Palestiniens. Accepter cette offre aurait signifié renoncer à la haine, à sa consolation et à sa signification profonde. Les Palestiniens et par extension, la plupart des Musulmans auraient été forcés de  se confronter à leur infériorité à l’égard de la modernité. Arafat savait fort bien que, sans la haine vis à vis des Juifs, le monde musulman perdrait la cohésion qui le définit. Il a donc dit non à la paix.

Que ce soit dans les banlieues de Paris et de Londres, à Kaboul ou Karachi, dans le quartier du Queens à New York ou bien à Gaza, cette réticence du monde musulman, cette attirance pour les consolations qu’offre la haine, représentent l’un des plus graves problèmes du monde actuel. Si le monde musulman ne peut se définir par sa ferveur pour la haine, celle-ci est bien devenue sa drogue, son opium qui le console de sa concurrence avec l’Occident, un Occident qui, impuissant face à ce problème difficile à résoudre, ne trouve rien de mieux que de réprimander Israël en le prenant comme bouc-émissaire. Ainsi s’exprime notre propre vulnérabilité.

Mr.Shelby Steele est un  » senior fellow » de l’Institut Hoover de l’Université de Stanford

Voir le texte original:

Israel and the Surrender of the West
One of the world’s oldest stories is playing out before our eyes: The Jews are being scapegoated again.
Shelby Steele
WSJ
June 21, 2010

The most interesting voice in all the fallout surrounding the Gaza flotilla incident is that sanctimonious and meddling voice known as « world opinion. » At every turn « world opinion, » like a school marm, takes offense and condemns Israel for yet another infraction of the world’s moral sensibility. And this voice has achieved an international political legitimacy so that even the silliest condemnation of Israel is an opportunity for self-congratulation.

Rock bands now find moral imprimatur in canceling their summer tour stops in Israel (Elvis Costello, the Pixies, the Gorillaz, the Klaxons). A demonstrator at an anti-Israel rally in New York carries a sign depicting the skull and crossbones drawn over the word « Israel. » White House correspondent Helen Thomas, in one of the ugliest incarnations of this voice, calls on Jews to move back to Poland. And of course the United Nations and other international organizations smugly pass one condemnatory resolution after another against Israel while the Obama administration either joins in or demurs with a wink.

This is something new in the world, this almost complete segregation of Israel in the community of nations. And if Helen Thomas’s remarks were pathetic and ugly, didn’t they also point to the end game of this isolation effort: the nullification of Israel’s legitimacy as a nation? There is a chilling familiarity in all this. One of the world’s oldest stories is playing out before our eyes: The Jews are being scapegoated again.

« World opinion » labors mightily to make Israel look like South Africa looked in its apartheid era—a nation beyond the moral pale. And it projects onto Israel the same sin that made apartheid South Africa so untouchable: white supremacy. Somehow « world opinion » has moved away from the old 20th century view of the Israeli-Palestinian conflict as a complicated territorial dispute between two long-suffering peoples. Today the world puts its thumb on the scale for the Palestinians by demonizing the stronger and whiter Israel as essentially a colonial power committed to the « occupation » of a beleaguered Third World people.

This is now—figuratively in some quarters and literally in others—the moral template through which Israel is seen. It doesn’t matter that much of the world may actually know better. This template has become propriety itself, a form of good manners, a political correctness. Thus it is good manners to be outraged at Israel’s blockade of Gaza, and it is bad manners to be outraged at Hamas’s recent attack on a school because it educated girls, or at the thousands of rockets Hamas has fired into Israeli towns—or even at the fact that Hamas is armed and funded by Iran. The world wants independent investigations of Israel, not of Hamas.

One reason for this is that the entire Western world has suffered from a deficit of moral authority for decades now. Today we in the West are reluctant to use our full military might in war lest we seem imperialistic; we hesitate to enforce our borders lest we seem racist; we are reluctant to ask for assimilation from new immigrants lest we seem xenophobic; and we are pained to give Western Civilization primacy in our educational curricula lest we seem supremacist. Today the West lives on the defensive, the very legitimacy of our modern societies requiring constant dissociation from the sins of the Western past—racism, economic exploitation, imperialism and so on.

When the Israeli commandos boarded that last boat in the flotilla and, after being attacked with metal rods, killed nine of their attackers, they were acting in a world without the moral authority to give them the benefit of the doubt. By appearances they were shock troopers from a largely white First World nation willing to slaughter even « peace activists » in order to enforce a blockade against the impoverished brown people of Gaza. Thus the irony: In the eyes of a morally compromised Western world, the Israelis looked like the Gestapo.

This, of course, is not the reality of modern Israel. Israel does not seek to oppress or occupy—and certainly not to annihilate—the Palestinians in the pursuit of some atavistic Jewish supremacy. But the merest echo of the shameful Western past is enough to chill support for Israel in the West.

The West also lacks the self-assurance to see the Palestinians accurately. Here again it is safer in the white West to see the Palestinians as they advertise themselves—as an « occupied » people denied sovereignty and simple human dignity by a white Western colonizer. The West is simply too vulnerable to the racist stigma to object to this « neo-colonial » characterization.

Our problem in the West is understandable. We don’t want to lose more moral authority than we already have. So we choose not to see certain things that are right in front of us. For example, we ignore that the Palestinians—and for that matter much of the Middle East—are driven to militancy and war not by legitimate complaints against Israel or the West but by an internalized sense of inferiority. If the Palestinians got everything they want—a sovereign nation and even, let’s say, a nuclear weapon—they would wake the next morning still hounded by a sense of inferiority. For better or for worse, modernity is now the measure of man.

And the quickest cover for inferiority is hatred. The problem is not me; it is them. And in my victimization I enjoy a moral and human grandiosity—no matter how smart and modern my enemy is, I have the innocence that defines victims. I may be poor but my hands are clean. Even my backwardness and poverty only reflect a moral superiority, while my enemy’s wealth proves his inhumanity.

In other words, my hatred is my self-esteem. This must have much to do with why Yasser Arafat rejected Ehud Barak’s famous Camp David offer of 2000 in which Israel offered more than 90% of what the Palestinians had demanded. To have accepted that offer would have been to forgo hatred as consolation and meaning. Thus it would have plunged the Palestinians—and by implication the broader Muslim world—into a confrontation with their inferiority relative to modernity. Arafat knew that without the Jews to hate an all-defining cohesion would leave the Muslim world. So he said no to peace.

And this recalcitrance in the Muslim world, this attraction to the consolations of hatred, is one of the world’s great problems today—whether in the suburbs of Paris and London, or in Kabul and Karachi, or in Queens, N.Y., and Gaza. The fervor for hatred as deliverance may not define the Muslim world, but it has become a drug that consoles elements of that world in the larger competition with the West. This is the problem we in the West have no easy solution to, and we scapegoat Israel—admonish it to behave better—so as not to feel helpless. We see our own vulnerability there.

Mr. Steele is a senior fellow at Stanford University’s Hoover Institution.

Voir par ailleurs:

Background: In this article, dated 21 January 1945, Goebbels makes his last lengthy published attack on the Jews, whom he claims are responsible for the misery caused by the war. There are hints of the Holocaust in Goebbels’ words.

The source: “Die Urheber des Unglücks der Welt,” Das Reich, 21 January 1945, pp. 1, 3.

The Creators of the World’s Misfortunes
by Joseph Goebbels
One could not understand this war if one did not always keep in mind the fact that International Jewry stands behind all the unnatural forces that our united enemies use to attempt to deceive the world and keep humanity in the dark. It is, so to speak, the mortar that holds the enemy coalition firmly together, despite its differences of class, ideology, and interests. Capitalism and Bolshevism have the same Jewish roots, two branches of the same tree that in the end bear the same fruit. International Jewry uses both in its own way to suppress the nations and keep them in its service. How deep its influence on public opinion is in all the enemy countries and many neutral nations is plain to see that it may never be mentioned in newspapers, speeches, and radio broadcasts. There is a law in the Soviet Union that punishes anti-Semitism — or in plain English, public education about the Jewish Question — by death. The expert in these matters is in no way surprised that a leading spokesman for the Kremlin said over the New Year that the Soviet Union would not rest until this law was valid throughout the world. In other words, the enemy clearly says that its goal in this war is to put the total domination of Jewry over the nations of the earth under legal protection, and to threaten even a discussion of this shameful attempt with the death penalty.

It is little different in the plutocratic nations. There the struggle against the impudent usurpation of the Jewish race is not punished by the executioner, but rather by death through economic and social boycott and by intellectual terror. This has the same effect in the end. Stalin, Churchill, and Roosevelt were made by Jewry. They enjoy its full support and reward it with their full protection. They present themselves in their speeches as upright men of civil courage, yet one never hears even a word against the Jews, even though there is growing hatred among their people as a result of this war, a hatred that is fully justified. Jewry is a taboo theme in the enemy countries. It stands outside every legal boundary and thus becomes the tyrant of its host peoples. While enemy soldiers fight, bleed, and die at the front, the Jews make money from their sacrifice on the stock exchanges and black markets. If a brave man dares to step forward and accuse the Jews of their crimes, he will be mocked and spat on by their press, chased from his job or otherwise impoverished, and be brought into public contempt. Even that is apparently not enough for the Jews. They want to bring Soviet conditions to the whole world, giving Jewry absolute power and freedom from prosecution. He who objects or even debates the matter gets a bullet in the back of his head or an axe through his neck. There is no worse tyranny than this. This is the epitome of the public and secret disgrace that Jewry inflicts on the nations that deserve freedom.

That is all long behind us. Yet it still threatens us in the distance. We have, it is true, entirely broken the power of the Jews in the Reich, but they have not given up. They did not rest until they had mobilized the whole world against us. Since they could no longer conquer Germany from within, they want to try it from without. Every Russian, English, and American soldier is a mercenary of this world conspiracy of a parasitic race. Given the current state of the war, who could still believe that they are fighting and dying at the front for the national interests of their countries! The nations want a decent peace, but the Jews are against it. They know that the end of the war would mean the dawning humanity’s knowledge of the unhealthy role that International Jewry played in preparing for and carrying out this war. They fear being unmasked, which has in fact become unavoidable and must inevitably come, just as the day follows the night. That explains their raging bursts of hatred against us, which are only the result of their fear and their feelings of inferiority. They are too eager, and that makes them suspicious. International Jewry will not succeed in turning this war to its advantage. Things are already too far along. The hour will come in which all the peoples of the earth will awake, and the Jews will be the victims. Here, too, things can only go so far.

It is an old, often-used method of International Jewry to discredit education and knowledge about its corrupting nature and drives, thereby depending on the weaknesses of those people who easily confuse cause with effect. The Jews are also masters at manipulating public opinion, which they dominate through their network of news agencies and press concerns that reaches throughout the world. The pitiful illusion of a free press is one of the methods they use to stupefy the publics of enemy lands. If the enemy press is as free as it pretends to be, let it take an open position, for or against, on the Jewish Question. It will not do that because it cannot and may not do so. The Jews love to mock and criticize everything except themselves, although everyone knows that they are most in need of public criticism. This is where the so-called freedom of the press in enemy countries ends. Newspapers, parliaments, statesmen, and church leaders must be silent here. Crimes and vices, filth and corruption are covered by the blanket of love. The Jews have total control of public opinion in enemy countries, and he who has that is also master of all of public life. Only the nations that have to accept such a condition are to be pitied. The Jews mislead them into believing that the German nation is backward. Our alleged backwardness is actually proof of our progress. We have recognized the Jews as a national and international danger, and from this knowledge have drawn compelling conclusions. This German knowledge will become the knowledge of the world at the end of this war. We think it our primary duty to do everything in our power to make that happen.

Humanity would sink into eternal darkness, it would fall into a dull and primitive state, were the Jews to win this war. They are the incarnation of that destructive force that in these terrible years has guided the enemy war leadership in a fight against all that we see as noble, beautiful, and worth keeping. For that reason alone the Jews hate us. They despise our culture and learning, which they perceive as towering over their nomadic worldview. They fear our economic and social standards, which leave no room for their parasitic drives. They are the enemy of our domestic order, which has excluded their anarchistic tendencies. Germany is the first nation in the world that is entirely free of the Jews. That is the prime cause of its political and economic balance. Since their expulsion from the German national body has made it impossible for them to shake this balance from within, they lead the nations they have deceived in battle against us from without. It is fine with them, in fact it is part of their plan, that Europe in the process will lose a large part of its cultural values. The Jews had no part in their creation. They do not understand them. A deep racial instinct tells them that since these heights of human creative activity are forever beyond their reach, they must attack them today with hatred. The day is not distant when the nations of Europe, yes, even those of the whole world, will shout: The Jews are guilty for all our misfortunes! They must be called to account, and soon and thoroughly!

International Jewry is ready with its alibi. Just as during the great reckoning in Germany, they will attempt to look innocent and say that one needs a scapegoat, and they are it. But that will no longer help them, just as it did not help them during the National Socialist revolution, The proof of their historical guilt, in details large and small, is so plain that it can no longer be denied even with the most clever lies and hypocrisy.

Who is it that drives the Russians, the English, and the Americans into battle and sacrifices huge numbers of human lives in a hopeless struggle against the German people? The Jews! Their newspapers and radio broadcasts spread the songs of war while the nations they have deceived are led to the slaughter. Who is it that invents new plans of hatred and destruction against us every day, making this war into a dreadful case of self-mutilation and self-destruction of European life and its economy, education and culture? The Jews! Who devised the unnatural marriage between England and the USA on one side and Bolshevism on the other, building it up and jealously ensuring its continuance? Who covers the most perverse political situations with cynical hypocrisy from a trembling fear that a new way could lead the nations to realize the true causes of this terrible human catastrophe? The Jews, only the Jews! They are named Morgenthau and Lehmann and stand behind Roosevelt as a so-called brain trust. They are named Mechett and Sasoon and serve as Churchill’s moneybags and order givers. They are named Kaganovitsch and Ehrenburg and are Stalin’s pacesetters and intellectual spokesmen. Wherever you look, you see Jews. They march as political commissars behind the Red army and organize murder and terror in the areas conquered by the Soviets. They sit behind the lines in Paris and Brussels, Rome and Athens, and fashion their reins from the skin of the unhappy nations that have fallen under their power.

That is the truth. It can no longer be denied, particularly since in their drunken joy of power and victory the Jews have forgotten their ordinarily so carefully maintained reserve and now stand in the spotlight of public opinion. They no longer bother, apparently believing that it is no longer necessary, that their hour has come. And this is their mistake, which they always make when think themselves near their great goal of anonymous world domination. Throughout the history of the nations, whenever this tragic situation developed, a good providence saw to it that the Jews themselves became the gravediggers of their own hopes. They did not destroy the healthy peoples, but rather the sting of their parasitic effects brought the realization of the looming danger to the forefront and led to the greatest sacrifices to overcome it. At a certain point, they become that power that always wants evil but creates good. It will be that way this time, too.

The fact that the German nation was the first on earth to recognize this danger and expel it from its organism is proof of its healthy instincts. It therefore became the leader of a world struggle whose results will determine the fate and the future of International Jewry. We view with complete calm the wild Old Testament tirades of hatred and revenge of Jews throughout the world against us. They are only proof that we are on the right path. They cannot unsettle us. We gaze on them with sovereign contempt and remember that these outbursts of hate and revenge were everyday events for us in Germany until that fateful day for International Jewry, 30 January 1933, when the world revolution against the Jews that threatened them not only Germany, but all the other nations, began.

It will not cease before it has reached its goal. The truth cannot be stopped by lies or force. It will get through. The Jews will meet their Cannae at the end of this war. Not Europe, but rather they will lose. They may laugh at this prophecy today, but they have laughed so often in the past, and almost as often they stopped laughing sooner or later. Not only do we know precisely what we want, we also know precisely what we do not want. The deceived nations of the Earth may still lack the knowledge they need, but we will bring it to them. How will the Jews stop that in the long run? They believe their power rests on sure foundations, but it stands on feet of clay. One hard blow and it will collapse, burying the creators of the misfortunes of the world in its ruins.

4 Responses to Flottille de Gaza: Ce chœur unanime de condamnations où pas une voix ne manque (One of the world’s oldest stories is playing out before our eyes)

  1. jcdurbant dit :

    Thanks a million, Aschkel!

    Et surtout merci de reprendre aussi régulièrement sur votre site certains de mes billets …

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  2. […] que la Félonie endémique de l’Occident. Son programme est l’implosion de notre Civilisation. Le risque de guerre civile occidentale se rapproche de la limite létale qui est corrélative au deg…. Cette guerre civile est encore dans sa phase d’incubation mais la soumission des médias est un […]

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  3. […] dont celui du seul Mavi Marmara, on s’en souvient, avait provoqué la mort de 9 militants et le tollé universel du monde politico-médiatique […]

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