Athéisme: Le christianisme comme ultime bouc émissaire (Laughing religion off the planet with Pat Condell: It’s christianity, stupid!)

Related imageLorsque l’esprit impur est sorti d’un homme, il va par des lieux arides, cherchant du repos, et il n’en trouve point. Alors il dit: Je retournerai dans ma maison d’où je suis sorti; et, quand il arrive, il la trouve vide, balayée et ornée. Il s’en va, et il prend avec lui sept autres esprits plus méchants que lui; ils entrent dans la maison, s’y établissent, et la dernière condition de cet homme est pire que la première. Il en sera de même pour cette génération méchante. Jésus (Matthieu 12 : 43-45)
L’inauguration majestueuse de l’ère « post-chrétienne » est une plaisanterie. Nous sommes dans un ultra-christianisme caricatural qui essaie d’échapper à l’orbite judéo-chrétienne en « radicalisant » le souci des victimes dans un sens antichrétien. (…) Jusqu’au nazisme, le judaïsme était la victime préférentielle de ce système de bouc émissaire. Le christianisme ne venait qu’en second lieu. Depuis l’Holocauste , en revanche, on n’ose plus s’en prendre au judaïsme, et le christianisme est promu au rang de bouc émissaire numéro un. (…) Le mouvement antichrétien le plus puissant est celui qui réassume et « radicalise » le souci des victimes pour le paganiser. (…) Comme les Eglises chrétiennes ont pris conscience tardivement de leurs manquements à la charité, de leur connivence avec l’ordre établi, dans le monde d’hier et d’aujourd’hui, elles sont particulièrement vulnérables au chantage permanent auquel le néopaganisme contemporain les soumet. René Girard (Je vois Satan tomber comme l’éclair, 1999, pp. 274-278)
Il est utile de dissiper une opinion répandue, si souvent invoquée par les musulmans réformateurs comme par bon nombre d’intellectuels occidentaux : la Bible contiendrait encore plus de violence que le Coran, dans la mesure où elle contiendrait encore plus de passages où Dieu se montre cruel que le Livre saint de l’islam. C’est l’exemple type de l’incompréhension qui règne entre l’Occident et l’Orient, idée fixe que l’on retrouve tant dans le discours interreligieux que dans la doxa nihiliste. (…) la Bible relate l’histoire du peuple hébreu, narration parfois fastidieuse de mille pérégrinations effectuées sous le regard de Dieu. Que le texte comporte des scènes de massacre collectif, des meurtres, des viols, des supplices et des bains de sang est choquant à l’aune de l’universalisme contemporain tout en étant rigoureusement conforme à la tristesse du champ historique concerné. Christian Makarian
J’ai vraiment eu plaisir à regarder la vidéo ci-dessous d’un athée britannique appelé Pat Condell. Soi-disant adressée aux « chrétiens en colère », la vidéo est en fait plus révélatrice sur les athées. (…) je pense que son attitude reflète étrangement celle des athées célèbres comme Richard Dawkins, Sam Harris et Christopher Hitchens. Si les télévangelistes sont coupables de produire des chrétiens obtus et autosatisfaits, alors les auteurs athées sont coupables de produire des bouffons pleins d’eux-mêmes comme Condell. Dinesh D’Souza
J’ai un problème avec toute religion. Bill Maher
La meilleure chose dans la religion, c’est qu’elle est si clairement absurde qu’elle ne pourra probablement pas durer pour toujours. Je suis convaincu que ça ne prendra qu’une petite var iation dans la conscience humaine pour qu’elle soit définitivement ridiculisée et expulsée de la planète, et j’espère que je serai encore là le jour où ça se produira. Pat Condell
Au sujet de l’islam (…) D’abord, j’aime bien leur symbole, leur croissant lunaire, je le trouve beaucoup plus beau que la croix, peut-être parce qu’il n’a pas quelqu’un cloué dessus.  Pat Condell (cité par Harold Kroto, prix Nobel de chimie 1996)
La tolérance et la diversité, c’est bien sur le papier. Nous sommes tous pour la tolérance et la diversité, mais en pratique c’est devenu un cauchemar d’hypocrisies et de mensonges où les gens les plus déraisonnables sont encouragés à devenir encore plus déraisonnables.(…) Si les droits de la personne veulent dire quelque chose alors un jour les Saoudiens verseront autant en réparations aux femmes que l’église catholique a versé aux enfants. Pat Condell sur l’islam
Des trois dogmes des enfants d’Abraham, les musulmans, les chrétiens et les juifs, mes préférés sont les juifs. Quand je dis je les aime: je pense que toutes les religions sont une insulte à l’humanité, mais les juifs n’ont pas autant de revendications et de recherche de privilèges que les deux autres dogmes. Et, plus important, tandis que les musulmans et chrétiens veulent vous imposer leurs croyances, les juifs se fichent pas mal de ce que vous croyez tant que vous les laissez tranquilles. (…) Maintenant, étant donné l’histoire des juifs, il est facile de comprendre pourquoi ils voudraient avoir leur Etat autonome. Mais le problème, c’est qu’il est au mauvais endroit. Parce que s’il y avait vraiment une justice dans ce monde, Israël occuperait actuellement la moitié de l’Allemagne. Mais ce qu’il y a derrière Israël, ce n’est pas la justice, c’est Jérusalem, autrement dit la Bible et autrement dit la prophétie, autrement dit, comme on le sait, la folie. What about the Jews?
Pour moi, l’Eglise catholique et le nazisme vont aussi bien ensemble que les Bibles et les foules de lyncheurs. Si on pense à l’un, c’est difficile de ne pas penser à l’autre. Catholic morality
Je me suis battu politiquement contre l’extrême droite en France, à Dreux. J’ai des positions politiques qui sont radicalement opposées, mais quand je vois ce qui se passe aussi avec M. Gollnisch, retirer son travail à quelqu’un sans que la justice ait pu se prononcer. On est dans un Etat de droit, sous la pression d’un lobby qui se croit tout permis dans ce pays. Dieudonné (mars 2005)

Comment! Vous ne connaissez pas Condell?

A l’heure, sur notre propre territoire européen, des tribunaux islamiques, procès pour transport d’alcool et refoulements de critiques de l’islam

Pendant qu’au pays des valeurs asiatiques, les taupes des mollahs nous (re)font le coup du « féminisme islamique » (autre oxymore du siècle) …

Retour sur l’un des plus intéressants phénomènes de Youtube, l’humoriste britannique et athée militant Pat Condell dont les vidéos sont vues par des millions d’internautes.

Et dont le principal fonds de commerce, entre deux menaces de procès ou de mort, se trouve être le très sérieux sujet de la place de la religion dans nos vies.

Intéressant parce qu’en ces temps de lâcheté politiquement correcte et d’islamisation rampante de nos sociétés, on ne peut que se réjouir que certains caricaturistes ou humoristes aient le courage d’en pointer publiquement les méfaits.

Mais aussi symptomatique d’un certain mouvement anti-religion qui, de Richard Dawkins à Christopher Hitchens ou Sam Harris pour le monde anglo-saxon et tout en pointant à juste titre !et avec souvent un réel et réjouissant bonheur de l’expression) les restes d’aberration de notre propre héritage judéo-chrétien (notamment l’attribution de notre propre violence humaine à la divinité comme les idées de feu de l’enfer ou de destruction apocalyptique du monde), se permet toutes les simplifications et, dans son obsession de mettre toutes les religions dans le même sac, fait hélas souvent preuve d’une rare ignorance (notamment sur la pratique historique, l’historicité de nos Socrate, Alexandre ou César n’étant par exemple, comme le rappelle l’essayiste indo-américain Dinesh D’Souza, pas plus fondée que celle de Jésus).

Ignorance hélas couplée à la plus extrême naïveté politique (comme si abandonner Jérusalem allait contenter les Arabes et les encourager à s’arrêter en si bon chemin!) comme sur la nature humaine et les vertus supposées de l’athéisme quand on se rappelle la sauvagerie qu’ont pu déchainer les régimes qui, du néo-paganisme nazi au marxisme-léninisme soviétique ou maoïste, ont tenté d’en finir avec le judéo-christianisme.

Et qui, sans parler du caractère foncièrement ambivalent d’un dispositif faisant souvent la belle part à l’unanimité de la foule et à l’exclusion d’un tiers, n’est pas forcément très rassurante quand on se souvient du triste sort qui a été celui d’un certain ex-pourfendeur du Front national au nom si perversement prédestiné

Why Is This Atheist So Smug?
Dinesh D’Souza
Sep 26th 2007

I really enjoyed watching the video below of a British atheist named Pat Condell. Supposedly addressed to « angry Christians, » the video is actually more illuminating about atheists. Condell is ostensibly chastizing Christians for burning with inward rage and for secretly wanting people to burn in hell. Actually, I don’t know a single Christian who fits this description, although perhaps there are some.

What is obvious for all to see is what a smug, self-satisfied character Condell is. On his website he boasts, « Hi, I’m Pat Condell. I don’t respect your beliefs and I don’t care if you’re offended. » Religion has its uses, he concedes. « I turn to it whenever I want my intelligence insulted. » Ordinarily I wouldn’t pay much attention to this guy, but in a strange way I think his attitude mirrors that of the big-name atheists like Richard Dawkins, Sam Harris, and Christopher Hitchens. If the televangelists are guilty of producing some simple-minded, self-righteous Christians, then the atheist authors are guilty of producing self-congratulatory buffoons like Condell.

Only Condell doesn’t know he is a buffoon. He regards himself as super-sophisticated, a man of knowledge. Yet consider his argument in the video that Christ probably didn’t exist. Condell says Christ’s historicity is based on « hearsay. » But all historical evidence is « hearsay, » including the evidence for the existence of Voltaire and George Washington. In reality there is more evidence for Christ’s existence than there is for the existence of most of the figures of the ancient world. Do you believe that Socrates existed? Alexander the Great? Julius Caesar? Think about this: we only know about Socrates because of Plato and Xenophon, and there are only a couple of sources for Alexander and Caesar. The documentary evidence for these men is limited to very few manuscripts which are sometimes dated centuries later. Yet no historian doubts that these men existed.

By contrast, Christ’s existence is attested not only by the writers of the gospels and the Acts of the Apostles, who wrote in the first hundred years after Christ’s death, but also because of Jewish, Greek and Roman sources, such as Josephus, Suetonius, Pliny, and Tacitus. There are innumerable early manuscripts of the gospels and they have been assiduously compared to establish their authenticity. The early church and its martyrs who risked death rather than renounce Christ all suggest that there was a man behind it all, a man who was crucified and who was believed by his disciples to have risen. Whatever you think of the miracles, no serious historian questions the historicity of Christ.

Next month my book What’s So Great About Christianity hits the shelves, and atheists are going to find that they no longer have the public field to themselves. In fact, I’m scheduled to debate Christopher Hitchens in New York city October 22. So far Hitchens has been foraging around the country beating up pastors who are unaccustomed to dealing with spear-chuckers like him. Mine is a book that will empower believers and challenge unbelievers. It meets skepticism and atheism on its own intellectual ground, which is the ground of reason and evidence. Michael Shermer, editor of « Skeptic » magazine, says of my book, « It takes the debate to a new level. Read it. » And here is my old debating rival Stanley Fish, a noted scholar who hardly shares either my theology or my politics: « The great merit of this book is that it concedes nothing. Rather than engaging in the usual defensive ploys, D’Souza meets every anti-God argument head on and defeats it on its own terms. Infinitely more sophisticated than the rants produced by Richard Dawkins, Sam Harris, and Christopher Hitchens, What’s So Great About Christianity leaves those atheist books in the dust. » If you are ready for the challenge, preorder the book here.

Voir aussi:

Laughing religion off the planet – an interview with Pat Condell
The Freethinker
February 27, 2008

With over 5 million hits on YouTube, and another couple of million on LiveLeak, Pat Condell is a leading voice of atheism on the internet. He is also a stand-up comedian, a playwright, a former lumberjack, a talk-show panelist, and a subscriber to The Freethinker.

Pat Condell
We tracked the blaspheming infidel down to a garden shed in London and asked him a few questions.

The Freethinker: Your first Youtube video was a response to the Blasphemy Challenge. Was this your first foray into the world of internet video? If so, did you imagine that it would snowball like it did?

Pat Condell: Yes, it was. I didn’t know what to expect. I was looking for ways to publicise my stand-up show when I heard about the Blasphemy Challenge. It looked like fun, so I devised a little rant about how much I deny the holy spirit (quite a lot, as it happens), made the video in my garden shed and posted it on YouTube. The positive response convinced me that this was a medium I should explore further.

I didn’t know much about YouTube, but I guessed that most of the audience would be in America, so I made ‘Hello America‘ about how I see the relationship between our two countries. Again the response was very positive, especially from Americans. It was viewed thousands of times in a few days, and I realised I could reach a lot more people like this than in a lifetime of performing in small theatres. So I mothballed the stand-up show, much of which was topical anyway, and decided to make more videos.

Then somebody alerted me to LiveLeak, a site with a more newsy edge than YouTube. I posted my videos there and ‘The trouble with Islam‘ took off. To date it has had more than 1,750,000 hits, and with 380,000 on YouTube, it’s now been seen well over two million times.

FT: What do you like about internet video as a medium?
PC: It’s open to anyone. We no longer have to ask someone else’s permission to communicate with a wider audience.

I’ve been criticising religion for years, but only in comedy clubs. Whenever I tried to do it in the mainstream media I was censored, especially by the BBC where jokes about the subject are always heavily edited, and it’s virtually impossible to say anything at all about Islam.

The internet allows all of us to bypass these self-appointed gatekeepers and communicate our ideas without interference.

FT: How has becoming an “internet celebrity” changed your life?
PC: Thanks, but I’m not any kind of celebrity. I’m just speaking my mind. My personal life hasn’t changed, I’m glad to say, because I’m very happy with it as it is.

FT: Your attacks on religion in general, and Islam in particular, have led many people to describe you as “fearless”. Are you?
PC: No. I get death threats and I take them seriously. However, I’ve never responded well to bullies, and I have no intention of starting now.

FT: Christian evangelist Dinesh D’Sousa has accused you of being smug. How do you respond to this?
PC: People have called me a lot worse. I’d never heard of this guy until someone directed me to his blog. Since then I’ve read his book on Christianity, and I didn’t see anything in it to warrant respecting his opinion on anything, so he can call me whatever he likes.

FT: Do you still do stand-up?
PC: I haven’t worked the circuit full time for years. I wrote my last show specifically to say something about religion. Confronted first hand by the political correctness at the BBC, I felt the subject was being falsely represented and legitimate opinion was being censored. As a result, religion, and Islam in particular, was getting an inflated idea of its own importance. Stand-up was the medium I knew best, and as I didn’t see anybody else in the comedy world queuing up to address this situation I elected myself.

FT: How would you describe your personal philosophy?
PC: I’m a vegetarian and I strongly support animal rights. (I hope that’s OK with Jesus.) I find it hard not to smile at religion’s conceit that we’re superior to animals on the basis that we have souls and they don’t, when five minutes in a slaughterhouse would convince anyone that, if anything, it’s animals who have the souls and human beings who don’t.

As for my opposition to religion, it’s not about theology – I couldn’t care less whether God exists or not – it’s a civil rights issue. I believe everyone should be free to determine their own experience in life and not have it imposed by someone else. We don’t need our reality filtered through religious dogma any more than we need spring water adulterated with chemicals.

FT: What is your favourite thing about religion?
PC: If nothing else it is genuinely inclusive. Nobody is rejected, as it doesn’t require intelligence, only faith. Not that some intelligent people aren’t religious. There are people with biochemistry degrees who devote their lives to proving Genesis true. Nobody could call those people unintelligent, but they are fools.

The best thing about religion is that it’s so transparently absurd it can’t possibly last forever. I’m convinced it will only take a small shift in human consciousness for it to be laughed off the planet, and I hope I’m still around when that happens.

FT: What about the future? Will we see a collection of your videos on the market?
PC: Yes. The Richard Dawkins Foundation is issuing a non-profit DVD of my first thirty-five videos which should be out soon.

FT: What can we do to resist the growing influence of religion?
PC: We can speak out. That’s what the internet is for, and it’s the only reason my voice is being heard. We need to make as much noise as religious people do, and with as much certainty about our right to do so.

Nobody should be bullied into showing respect they don’t think is deserved. If you hear somebody claiming special treatment because of their faith you’re entitled to say: ‘No, I object to this. It offends me, it insults my beliefs, and it’s a violation of my human rights.’

Use their tactics if you feel strongly enough. Make a nuisance of yourself. Make an official complaint. Take it to a tribunal. As an atheist you’re part of a minority whose beliefs are constantly ignored and marginalised while religious prejudice is pandered to and encouraged, and you have every right to be offended by that.

Also, I would urge everyone to join the National Secular Society and the British Humanist Association, both of whom do excellent work in the cause of sanity.

Remember, one person on their own can’t do much, but a million people each doing a little every day can change things very quickly.

16 Responses to Athéisme: Le christianisme comme ultime bouc émissaire (Laughing religion off the planet with Pat Condell: It’s christianity, stupid!)

  1. […] surtout, en ces temps de mise à pilori systématique et avec les mêmes procédés du christianisme et du Pape, par rapport à l’apparent silence des historiens ayant participé à ces entreprises […]

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  2. […] surtout, en ces temps de mise à pilori systématique et avec les mêmes procédés du christianisme et du Pape, par rapport à l’apparent silence des historiens ayant participé à ces entreprises […]

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  3. […] Comment ne pas voir, au-delà de l’évidente souffrance de croyants empêchés de vivre leur foi, l’ultime preuve de la remarquable puissance de scandale que semble avoir conservé le christianisme? […]

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  4. […] L’inauguration majestueuse de l’ère "post-chrétienne" est une plaisanterie. Nous sommes dans un ultra-christianisme caricatural qui essaie d’échapper à l’orbite judéo-chrétienne en "radicalisant" le souci des victimes dans un sens antichrétien. (…) Jusqu’au nazisme, le judaïsme était la victime préférentielle de ce système de bouc émissaire. Le christianisme ne venait qu’en second lieu. Depuis l’Holocauste , en revanche, on n’ose plus s’en prendre au judaïsme, et le christianisme est promu au rang de bouc émissaire numéro un. René Girard […]

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  5. […] où, après des millénaires de persécution juive, le christianisme en général et les chrétiens en particulier sont devenus quasi-quotidiennement les boucs […]

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  6. […] où, après des millénaires de persécution juive, le christianisme en général et les chrétiens en particulier sont devenus quasi-quotidiennement les nouveaux boucs […]

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  7. […] où, après des millénaires de persécution juive, le christianisme en général et les chrétiens en particulier sont devenus quasi-quotidiennement les nouveaux boucs […]

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  8. […] où, après des millénaires de persécution juive, le christianisme en général et les chrétiens en particulier sont devenus quasi-quotidiennement les nouveaux boucs […]

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  9. […] L’inauguration majestueuse de l’ère "post-chrétienne" est une plaisanterie. Nous sommes dans un ultra-christianisme caricatural qui essaie d’échapper à l’orbite judéo-chrétienne en "radicalisant" le souci des victimes dans un sens antichrétien. (…) Jusqu’au nazisme, le judaïsme était la victime préférentielle de ce système de bouc émissaire. Le christianisme ne venait qu’en second lieu. Depuis l’Holocauste , en revanche, on n’ose plus s’en prendre au judaïsme, et le christianisme est promu au rang de bouc émissaire numéro un. (…) Le mouvement antichrétien le plus puissant est celui qui réassume et "radicalise" le souci des victimes pour le paganiser. (…) Comme les Eglises chrétiennes ont pris conscience tardivement de leurs manquements à la charité, de leur connivence avec l’ordre établi, dans le monde d’hier et d’aujourd’hui, elles sont particulièrement vulnérables au chantage permanent auquel le néopaganisme contemporain les soumet. René Girard […]

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  10. […] L’inauguration majestueuse de l’ère "post-chrétienne" est une plaisanterie. Nous sommes dans un ultra-christianisme caricatural qui essaie d’échapper à l’orbite judéo-chrétienne en "radicalisant" le souci des victimes dans un sens antichrétien. (…) Jusqu’au nazisme, le judaïsme était la victime préférentielle de ce système de bouc émissaire. Le christianisme ne venait qu’en second lieu. Depuis l’Holocauste , en revanche, on n’ose plus s’en prendre au judaïsme, et le christianisme est promu au rang de bouc émissaire numéro un. (…) Le mouvement antichrétien le plus puissant est celui qui réassume et "radicalise" le souci des victimes pour le paganiser. (…) Comme les Eglises chrétiennes ont pris conscience tardivement de leurs manquements à la charité, de leur connivence avec l’ordre établi, dans le monde d’hier et d’aujourd’hui, elles sont particulièrement vulnérables au chantage permanent auquel le néopaganisme contemporain les soumet. René Girard […]

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  11. […] avec l’humoriste britannique Pat Condell, ne pas s’étonner de cette incroyable conspiration du plus pur cynisme du côté arabe et de […]

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  12. […] sociétés dites avancées n’ont pas de mots plus durs pour la source de leurs avancées […]

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  13. […] étranges où, à la Richard Dawkins, nos contemporains n’ont pas de mots assez durs pour dénoncer la Bible et le Dieu de la Bible […]

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  14. jcdurbant dit :

    WHAT DOUBLE STANDARDS ? (The last acceptable prejudice: How much mileage can be gained from Muslims murdering Christians, when Christians in America are often seen as an obstacle to the “progress” desired by liberals?)

    “No one much cares about offending Christians. In fact, mocking, belittling, and blaspheming Christianity is becoming a bit of a trend in our culture. Anti-Christian bigotry truly is the last acceptable prejudice. “The hypocrisy on display is astounding. Christianity is the dominant religion of our country. It is the foundation of our government and morality. And yet, Christians are treated as fair game for mockery and insult.”

    Coalition of African-American pastors

    The bizarre aspect of the coverage was not, in fact, the attention paid to a heinous crime committed in New Zealand, but the absolute silence surrounding the simultaneous massacre of scores of Christians by Muslim militants in Africa. As Breitbart News alone reported among major news outlets, Fulani jihadists racked up a death toll of over 120 Christians over the past three weeks in central Nigeria, employing machetes and gunfire to slaughter men, women, and children, burning down over 140 houses, destroying property, and spreading terror. The New York Times did not place this story on the front page; in fact, they did not cover it at all. Apparently, when assessing “all the news that’s fit to print,” the massacre of African Christians did not measure up. The same can be said for the Washington Post, the Chicago Tribune, the Detroit Free Press, the LA Times, and every other major paper in the United States. The news shows from the three major television channels did not mention the story, and nor did CNN or MSNBC.

    There are several possible explanations for this remarkable silence, and none of them is good. Since, in point of fact, Muslim radicals kill Christians around the world with alarming frequency, it is probable that one more slaughter did not seem particularly newsworthy to the decision-makers at major news outlets. Muslims being killed, on the other hand, may strike many as newsworthy precisely because it is so rare. A second motive for the media silence around the massacre of Christians in Nigeria may be geo-political and racial. New Zealand is a first-world country where such things are not supposed to happen, whereas many people still consider Africa to be a backwards place where brutal killings are par for the course. Moreover, the slaughter of black Christians in Africa may not enkindle rage among westerners the way that the murder of white and brown Muslims in New Zealand would. Finally, the story simply does not play to the political agenda that many mainstream media would like to advance. How much mileage can be gained from Muslims murdering Christians, when Christians in America are often seen as an obstacle to the “progress” desired by liberals? The left sees Christians in the United States as part of the problem and seeks to undermine their credibility and influence at every turn rather than emboldening them.

    Anti-Christian bias has been rightly called “the last acceptable prejudice,” one that few bother condemning.

    Christians are by far the most persecuted religious group in the world, but the mainstream media routinely ignore this fact as if it were unimportant or uninteresting. As a result, many people do not even realize how widespread the persecution is or that 75 percent of the victims of religious persecution around the world are Christians.

    Whatever the reason — or reasons — for the media silence surrounding the most recent massacres of Christians in Nigeria as well as numerous other such events, it should give right-thinking people pause.

    By all means, the lethal shootings of dozens of Muslims in New Zealand is a massive story and merits extensive coverage. But it only stands to reason that similar coverage should be devoted to the slaughter of Christians.

    For the moment, it serves as a poignant reminder that a double standard is at work when it comes to news coverage, and that it is Christians who inevitably draw the short straw.

    Thomas D. Williams

    https://www.breitbart.com/the-media/2019/03/17/media-silence-surrounds-muslim-massacre-of-christians/

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  15. m.010-5027-8200.1004114.co.Kr

    Athéisme: Le christianisme comme ultime bouc émissaire (Laughing religion off the planet with Pat Condell: It’s christianity, stupid!) | jcdurbant

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Répondre à Apocalypse: Et si le christianisme était bien la source de tous nos maux ? (Think not that I am come to send peace on earth) | jcdurbant Annuler la réponse.

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