Médias: La différence entre l’Union Soviétique et la France, c’est que les Soviétiques savaient qu’on leur mentait (You can’t offend the conscience of France)

Bamako's Al Dura's squareLa différence (…) entre l’Union Soviétique et la France, c’est que les Soviétiques savaient qu’on leur mentait. (…) Dans les médias privés, tout le monde dépend de l’État d’une façon ou d’une autre (…) Dès qu’il s’agit de politique étrangère, il n’y a plus aucune indépendance, ni dans les médias publics ni dans les médias privés. (…) L’ironie est que les médias français se plaignent de ce que les journalistes américains soient très liés à l’armée américaine en Irak, mais ils ne reconnaissent pas qu’ils sont eux-mêmes très liés au gouvernement français, à Paris. Philippe Karsenty
Voilà sept ans qu’une campagne obstinée et haineuse s’efforce de salir la dignité professionnelle de notre confrère Charles Enderlin, correspondant de France 2 à Jerusalem. Voilà sept ans que les mêmes individus tentent de présenter comme une « supercherie » et une « série de scènes jouées » , son reportage montrant la mort de Mohammed al-Doura, 12 ans, tué par des tirs venus de la position israélienne, le 30 septembre 2000, dans la bande de Gaza, lors d’un affrontement entre l’armée israélienne et des éléments armés palestiniens. Appel du Nouvel observateur (27 mai 2008)
Karsenty, c’est le croisement de Faurisson et de Meyssan. Me Francis Szpiner (avocat d’Enderlin)
Vengeance pour le sang de Mohammed Al-Dura! (Cris de la foule qui a lynché deux réservistes de l’armée israélienne en civil, le 12 octobre 2000)
Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. (…) J’ai coupé les images de l’agonie de l’enfant. C’était trop insupportable. L’histoire était racontée, l’information donnée, ça n’aurait rien ajouté. Quant au moment où le gamin reçoit des balles, il n’a même pas été filmé. Charles Enderlin
Charles Enderlin peut d’autant moins se soustraire à la critique qu’elle le vise en tant que professionnel de l’information, correspondant en Israël et dans les territoires palestiniens pour les journaux de France 2 diffusés aux heures de grande audience, et, qu’à ce titre, il s’expose inévitablement et consciemment à un contrôle des plus attentifs de ses faits et gestes de la part de ses concitoyens comme de ses confrères. (…) L’examen, en cause d’appel, des 18 minutes de rushes de Tala Abu Rahma communiquées par France 2 ne permet pas d’écarter les avis des professionnels entendus au cours de la procédure…” (…) “Les attestations produites par les soins du cameraman ne pouvant pas, en revanche, au vu de leur présentation comme de leur contenu, être tenues pour parfaitement crédibles. Arrêt de la Cour d’appel de Paris (mai 2008)
Charles Enderlin est la conscience de la France dès qu’il s’agit du Proche-Orient, et vous avez offensé leur conscience? Brooke Goldstein (The Middle East Quarterly)

Après les deux premières intifadas et Beyrouth 2006, voici… Gaza 2008 et la 3e intifada?

Alors que deux ans après le Hezbollah au nord, les autres supplétifs des mollahs dans la région vont enfin pouvoir tester en grandeur nature les nouvelles armes et les formations accumulées pendant la trêve …

Avec surtout la parade quotidienne de panaches de fumée, destructions et victimes exhibées des populations-otages dont ils se sont faits une spécialité …

Retour sur l’autre partie du dispositif de ce qui est devenu une véritable guerre de l’information pour dénoncer la fameuse et prétendue « riposte disproportionnée » d’Israël sans laquelle rien de tout cela ne serait possible, à savoir les s

Et notamment dans la France d’Aragon et de Sartre, l’auteur de l’image-choc qui avait il y a huit ans lancé la 2e intifada (celle du prétendu assassinat par l’Armée israélienne du petit Mohamed Al Doura), l’inamovible correspondant de la télévision d’Etat France 2, Charles Enderlin.

Qui, comme le montre son principal détracteur Philippe Karsenty dans un récent entretien du Middle East Quarterly traduit en français par Marcoroz, y jouit toujours, même après la démonstration lors du procès qu’il vient de perdre des incroyables incohérences du reportage en question, d’une fonction de quasi-conscience morale …

Morceaux choisis:

La différence (…) entre l’Union Soviétique et la France, c’est que les Soviétiques savaient qu’on leur mentait. (…) Dans les médias privés, tout le monde dépend de l’État d’une façon ou d’une autre, ce qui explique que les médias aient refusé de rendre compte de mon procès, même après que des médias étrangers aient commencé à en parler. Dès qu’il s’agit de politique étrangère, il n’y a plus aucune indépendance, ni dans les médias publics ni dans les médias privés. (…) Mais pour eux, admettre qu’ils travaillent avec des gens qui sont des magouilleurs et des menteurs, ce serait une vraie révolution. C’est la même chose en Irak et dans la plupart des pays du Moyen-Orient. (…) L’ironie est que les médias français se plaignent de ce que les journalistes américains soient très liés à l’armée américaine en Irak, mais ils ne reconnaissent pas qu’ils sont eux-mêmes très liés au gouvernement français, à Paris. Une chose est sûre, il existe à Paris, entre les médias et les personnalités politiques, une relation incestueuse. (…) Les Français s’en moquent. Ils croient qu’ils ont la liberté d’expression parce qu’ils vivent dans un pays où ils ont le droit de dire que Chirac est un crétin. Ils ne se rendent pas compte à quel point, sur les questions internationales, le discours acceptable est uniforme.

On n’a pas besoin d’acheter des gens qui sont déjà complètement manipulés. Charles Enderlin est comme un capo di tutti capi, une sorte de parrain : une autorité morale. J’ai dû affronter dans cette affaire la plus grosse huile de la corporation journalistique au Proche-Orient. Enderlin avait même l’habitude de donner des conseils aux diplomates. Laissez-moi vous donner un exemple. Un journaliste français m’a rapporté que le jour où Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires Étrangères, s’était rendu à Jérusalem, il avait rassemblé tous les correspondants français à l’ambassade, et avant de prononcer son discours, il avait demandé : « Qu’en pense Charles ? » C’est incroyable.

A la fin du film de France 2, le garçon n’est pas mort. Il relève le coude et il regarde le cameraman. Ces images sont accessibles sur le site Web de Richard Landes et sur Youtube. Si vous regardez ces images, vous verrez qu’il est évident que le garçon n’est pas mort. Il n’y a pas trace de blessures par balles ni de sang. Ces images n’ont jamais été diffusées en France, mais elles ont été montrées en Angleterre, sur la BBC, ainsi que dans des pays arabes. Ce que je trouve inouï, c’est qu’il n’y ait eu personne pour dire : « Attendez une minute, là, il y a un problème. » Cela n’a pas de sens. Dans un reportage réalisé un an après la prétendue mort de son fils, le père Al Dura dit que la première balle avait atteint son fils au genou droit13, or les images ne montrent pas la moindre trace de sang à cet endroit-là : c’est ridicule. Rien ne tient debout dans sa version, mais personne n’a voulu regarder les images.

CNN a refusé l’offre initiale du cameraman Talal Abou Rahma, qui leur proposait de leur revendre les images, parce qu’il ne pouvait pas en garantir la véracité. Les vingt-sept minutes de rushes donnaient l’impression d’être des scènes jouées et répétées. Un cameraman de Reuters a filmé Rahma en train de filmer d’autres scènes jouées.

Au moment où le gouvernement avait à affronter une campagne si difficile sur le terrain, il a tout simplement voulu enterrer l’affaire Al Dura. Mais les mensonges ont la vie dure. Si la réputation d’Israël est salie dans cette affaire, cela hantera le pays pendant des générations. Il faut noter que des millions de gens continuent à croire au faux antisémite des Protocoles des Sages de Sion. Il existe déjà des timbres-poste à l’effigie de Mohammed Al Dura en Tunisie, en Égypte, en Iran et en Jordanie. Le nom d’Al Dura a été donné à des places au Maroc et au Mali et à des rues dans un certain nombre de grandes villes dans le monde. Daniel Pearl a été décapité devant une photo de Mohammed Al Dura. Il faut révéler l’imposture Al Dura maintenant, pour éviter que nos enfants aient à souffrir des conséquences de ce mensonge.

Nous avons eu entièrement gain de cause : la décision de la Cour d’appel est claire. Toutefois, le tribunal ne pouvait pas décider que les images étaient des scènes jouées, mais plutôt, il a déclaré que je pouvais publier ce que je voulais parce que j’avais des preuves que c’était des scènes jouées. Les termes du texte de l’arrêt établissent que j’ai raison, mais tout ce qui a été dit par le tribunal allait intrinsèquement dans le sens de mon allégation, selon laquelle il s’agissait d’une mise en scène.

Les gens qui se soucient réellement des Arabes me voient en pro-arabe. Dans cette guerre avec Israël, qui souffre le plus ? Les Arabes. L’incitation engendre la haine. Chirac n’était pas un ami des peuples arabes : il était plutôt leur pire ennemi. Il était le meilleur ami des dictateurs arabes, pour des raisons économiques et politiques. Dire aux Arabes d’arrêter d’être prêts à mourir pour des mensonges, c’est les aider à vivre une vie meilleure, et c’est aussi ce que j’ai essayé de faire. Le reportage sur Mohammed Al Dura était une supercherie qui a engendré beaucoup de haine et de violence, ce qui était contraire aux intérêts des populations arabes.

L’ambassadeur et les autres diplomates israéliens ne veulent pas de cette victoire. Le porte-parole du ministère israélien des Affaires Étrangères a déclaré que je n’étais qu’un particulier, que le gouvernement israélien ne m’avait pas demandé de mener cette bataille, et que je n’avais donc pas le droit de demander qu’Israël me vienne en aide.

Philippe Karsenty : Il faut révéler l’imposture Mohammed Al Dura
Interview de Philippe Karsenty réalisée par Brooke Goldstein et publiée dans le numéro d’automne 2008 de la revue The Middle East Quarterly (version française Marcoroz)

Introduction

Philippe Karsenty est le fondateur et le président de Media-Ratings (www.M-R.fr), une agence française de notation des médias en ligne. En novembre 2004, M. Karsenty avait publié un article intitulé « Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement1 », dans lequel il affirmait que France 2, chaîne de télévision pour laquelle travaillaient Arlette Chabot et Charles Enderlin, avait enfreint les règles du journalisme en diffusant une séquence qui présentait comme un fait réel la prétendue mort de Mohammed Al Dura, un garçon palestinien âgé de douze ans, sous les balles des forces de défense israéliennes (Tsahal). Les images montraient un garçon de douze ans accroupi derrière son père, alors qu’une seule balle sifflait et éclatait à l’arrière-plan. Il est maintenant évident que tout au long des 55 secondes d’images diffusées, personne n’a tiré sur ce garçon et qu’à la fin de la séquence, il était toujours en vie. D’après M. Karsenty, ces images étaient une mise en scène réalisée par le cameraman palestinien Talal Abou Rahma, lequel avait filmé des scènes jouées similaires dans les dix-huit minutes de vidéo que M. Karsenty a visionnées.

Après que France 2 ait diffusé cette séquence en la présentant comme un fait réel et l’ait ensuite distribuée à titre gratuit, d’autres chaînes l’ont diffusée à leur tour. La mort d’Al Dura sous les balles de Tsahal est devenue dans l’ensemble du monde musulman une cause célèbre inspirant la violence et l’antisémitisme2.

Dans son article, Philippe Karsenty avait aussi annoncé qu’il était prêt à défendre sa cause devant un tribunal3. Par la suite, Arlette Chabot et Charles Enderlin lui ont intenté un procès en diffamation devant une juridiction française4.

En première instance, le tribunal, contre l’avis du ministère public qui s’était prononcé en faveur de M. Karsenty en invoquant sa liberté d’expression, a rendu un jugement en faveur d’Arlette Chabot et de Charles Enderlin et a condamné Philippe Karsenty à verser un euro symbolique de dommages et intérêts à chacun des plaignants, une amende de 1 000 euros et 3 000 euros de frais de procédure5.

En septembre 2007, la onzième chambre de la Cour d’appel de Paris a entendu l’affaire Karsenty en appel. Le juge a ordonné à France 2 de produire les vingt-sept minutes de rushes. M. Enderlin a alors affirmé qu’il n’était pas en possession du reste de l’enregistrement vidéo. Trois journalistes français qui avaient été invités par France 2 à visionner ces images ont attesté avoir visionné vingt-quatre minutes de film précédant la séquence Al Dura, pendant lesquelles de jeunes Palestiniens jouaient des scènes devant les caméras de télévision, tombant et se relevant quand ils croyaient que personne ne les observait6. Finalement, sur l’ensemble de la vidéo, dix-huit minutes d’images seulement ont été présentées au tribunal, et aucune de ces images ne montrait Al Dura tué. À la fin de la séquence montrée au tribunal, il est même clairement visible que le garçon est toujours en vie7.
Le 21 mai 2008, Philippe Karsenty a gagné en appel8.

1 « France 2: Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement », Media-Ratings, 22 novembre 2004.

2 The Jerusalem Post, 21 mai 2008.

3 « Arlette Chabot et Charles Enderlin », Media-Ratings, 22 novembre 2004.

4 « France 2 Counters Accusations with Lawsuits », Committee for Accuracy in Middle East Reporting in America (CAMERA), Boston, 18 janvier 2007.

5 Ibid.

6 Denis Jeambar et Daniel Leconte, interview sur RCJ, 1er février 2005, in « Backgrounder: Mohammed Al Dura, Anatomy of a French Media Scandal », CAMERA, 21 mai 2008.

7 JTA News Service, 15 novembre 2007; Israel News Agency, 21 novembre 2007; « Backgrounder: Mohammed Al Dura. »

8 Associated Press, 21 mai 2008; The Jerusalem Post, 21 mai 2008.

Philippe Karsenty : Il faut révéler l’imposture Mohammed Al Dura

Cette interview a été réalisée par Brooke Goldstein en deux temps : la première partie à New York le 4 octobre 2007, et la seconde par téléphone le 27 mai 2008, après la victoire de Philippe Karsenty.

Le procès

Middle East Quarterly : Pour quelles raisons précises la chaîne France 2 vous a-t-elle poursuivi en diffamation ?

Philippe Karsenty : Il était considéré comme diffamatoire de dire que la vidéo de Mohammed Al Dura était un faux, une imposture, que Charles Enderlin s’était trompé, qu’il trompait le public, et qu’il devait être démis de ses fonctions.

MEQ : En quoi consiste la diffamation dans le droit français ?

P.K. : Dans le droit français, il y a diffamation en cas d’incapacité de prouver la vérité d’une allégation au moment où cette allégation a été faite. Cela signifie que même si France 2 présentait maintenant des excuses et reconnaissait sa faute, je pourrais encore ne pas avoir gain de cause, car le tribunal pourrait décider qu’au moment où j’ai publié mes allégations, je n’avais pas assez de preuves pour pouvoir établir que ce que je disais était vrai. C’est un système légal absurde.

MEQ : La vérité n’est donc pas une défense en matière de diffamation ?

P.K. : Si, la vérité est une défense en matière de diffamation, mais il faut que ce soit une vérité connue et prouvée au moment où l’allégation a été faite. La charge de la preuve incombe au défendeur. Si le gouvernement israélien avait poursuivi France 2 en diffamation, par exemple, la situation aurait été inversée : France 2 aurait été obligée de défendre sa calomnie au lieu de m’accuser de diffamation.

MEQ : Pourquoi ne poursuivez-vous pas France 2 pour diffamation ou pour tromperie ? Pourquoi êtes-vous sur la défensive ?

P.K. : Ce procès aurait dû être engagé par l’État israélien, qui n’a pas saisi cette opportunité. Shurat Hadin, un cabinet juridique israélien d’intérêt public, a tenté de faire retirer les accréditations de presse de France 2, mais le gouvernement israélien a refusé, et la Cour Suprême israélienne n’a pas encore rendu son verdict dans cette affaire.

MEQ : Comment cela se fait-il?

P.K. : Apparemment, le gouvernement israélien préfère apaiser ses ennemis plutôt que de contre-attaquer.

MEQ : Ne pourriez-vous pas faire un procès à France 2 pour diffamation à votre encontre et à l’encontre de l’État d’Israël ?

P.K. : Selon le droit français, je n’aurais pas qualité à agir, puisque ce n’est pas moi qui ai été diffamé.

MEQ : En première instance, le juge avait estimé qu’il n’y avait pas lieu d’examiner les images du reportage sur Mohammed Al Dura. Que peut-on en conclure sur le droit de regard dans les tribunaux français et sur les règles de procédure ? Comment le juge est-il censé déterminer quoi que ce soit concernant des prises de vue, s’il ne se préoccupe pas de les voir ?

P.K. : Le juge a dit que dans la mesure où je n’avais pas vu les images à cette époque, le tribunal n’avait pas à en tenir compte. C’est vrai, je n’avais pas vu ces images, mais je connaissais des gens qui les avaient vues et qui m’avaient parlé de leur contenu, et c’est la raison pour laquelle je m’étais senti suffisamment sûr de moi pour en arriver à la conclusion à laquelle j’étais arrivé.

MEQ : Cependant, votre conclusion reposait sur un ouï-dire.

P.K. : Ma première conclusion reposait sur ce que j’avais pu voir du bulletin d’information de France 2 sur Mohammed Al Dura, sur les allégations de Nahum Shahaf9 [physicien israélien et réserviste au département d’intelligence optique de Tsahal – NDLR], et sur les recherches que j’avais menées par la suite. Ce qui avait été montré au public était ridicule. Pendant ces quelques minutes, Mohammed Al Dura ne montrait aucun signe d’agonie, et aucun des acteurs n’était touché par la moindre balle.

MEQ : Vous avez dit que les vingt-sept minutes de rushes qui, initialement, n’avaient pas été montrées au public, étaient pour la plus grande partie des scènes jouées. La juge de la Cour d’appel, Laurence Trébucq, a ordonné la diffusion de ces images, mais seulement dans l’enceinte du tribunal. Pourquoi ne fait-elle pas diffuser ces images au grand public ?

P.K. : Nous ne le savons pas encore.

MEQ : Dans le jugement en votre défaveur en première instance, le juge n’avait pas suivi l’avis du ministère public, selon lequel rien ne prouvait que vous auriez agi par animosité personnelle, mais le juge avait aussi semblé gêné quand il avait délivré ce jugement contre vous, et il avait finalement accordé très peu aux plaignants. Qu’est-ce que cela vous suggère ?

P.K. : Que le juge n’était peut-être pas à l’aise, qu’il avait peut-être reçu des instructions, et qu’il n’était pas fier de ce qu’il faisait.

MEQ : Reçu des instructions de qui?

P.K. : Peut-être des instructions ou un conseil du ministre de la Justice ou de son entourage. Au passage, les juges ne sont pas compétents en matière de médecine légale ni de balistique, et cependant ils ne se sont pas fondés sur la moindre expertise dans ce domaine.

MEQ : Vous voulez dire que le système judiciaire français n’est pas indépendant ?

P.K. : Je ne dis pas qu’aucun juge n’a cette indépendance. Tout ce que je dis, c’est que si on lit le verdict qui a été publié il y a deux ans, il semble que ce ne soit pas vraiment un jugement prononcé en toute indépendance.

MEQ : Y aurait-il eu corruption, dans votre affaire?

P.K. : Pas du tout. On n’a pas besoin d’acheter des gens qui sont déjà complètement manipulés. Charles Enderlin est comme un capo di tutti capi, une sorte de parrain : une autorité morale. J’ai dû affronter dans cette affaire la plus grosse huile de la corporation journalistique au Proche-Orient. Enderlin avait même l’habitude de donner des conseils aux diplomates. Laissez-moi vous donner un exemple. Un journaliste français m’a rapporté que le jour où Dominique de Villepin, alors ministre des Affaires Étrangères, s’était rendu à Jérusalem, il avait rassemblé tous les correspondants français à l’ambassade, et avant de prononcer son discours, il avait demandé : « Qu’en pense Charles ? » C’est incroyable.

MEQ : Donc, Charles Enderlin est la conscience de la France dès qu’il s’agit du Proche-Orient, et vous avez offensé leur conscience ?

P.K. : Je ne vous le fais pas dire.

MEQ : Qui finance votre procès?

P.K. : Je l’ai financé moi-même. J’ai été agent de change, et j’ai ensuite commencé à travailler comme consultant financier dans des entreprises. J’ai aussi perçu des honoraires pour des conférences données aux États-Unis.

MEQ : D’autres aussi ont dit que les images de Mohammed Al Dura étaient truquées. Pourquoi France 2 vous a-t-elle pris pour cible, vous et vous seul ?

P.K. : Oui, Gérard Huber l’a dit10, James Fallows a dit que le garçon n’avait pas été tué par Tsahal, mais il n’a pas dit que c’était une mise en scène11. S’ils m’ont pris pour cible, c’est parce qu’au moment où j’ai publié cela, j’avais une certaine crédibilité avec Media-Ratings [l’agence de surveillance des médias fondée par Philippe Karsenty en 2004 – NDLR], et j’avais déjà été invité à discuter de toutes sortes de sujets et d’inexactitudes relevées dans les médias.

MEQ : Il existe plusieurs théories différentes au sujet de ce que serait devenu Mohammed Al Dura. Selon certains, il aurait été tué par les Palestiniens, et selon d’autres, il est toujours en vie à la fin de la séquence vidéo mais sans qu’on puisse dire s’il vit encore aujourd’hui. Quelle est votre version des faits ?

P.K. : Nous ne devons pas parler de théories, mais de faits et de preuves. A la fin du film de France 2, le garçon n’est pas mort. Il relève le coude et il regarde le cameraman. Ces images sont accessibles sur le site Web de Richard Landes et sur Youtube12. Si vous regardez ces images, vous verrez qu’il est évident que le garçon n’est pas mort. Il n’y a pas trace de blessures par balles ni de sang. Ces images n’ont jamais été diffusées en France, mais elles ont été montrées en Angleterre, sur la BBC, ainsi que dans des pays arabes. Ce que je trouve inouï, c’est qu’il n’y ait eu personne pour dire : « Attendez une minute, là, il y a un problème. » Cela n’a pas de sens. Dans un reportage réalisé un an après la prétendue mort de son fils, le père Al Dura dit que la première balle avait atteint son fils au genou droit13, or les images ne montrent pas la moindre trace de sang à cet endroit-là : c’est ridicule. Rien ne tient debout dans sa version, mais personne n’a voulu regarder les images.

MEQ : Des preuves circonstancielles vont dans le sens de votre thèse, selon laquelle l’affaire Al Dura serait une accusation de meurtre rituel montée de toutes pièces. Ainsi, par exemple, CNN a refusé l’offre initiale du cameraman Talal Abou Rahma, qui leur proposait de leur revendre les images, parce qu’il ne pouvait pas en garantir la véracité. Les vingt-sept minutes de rushes donnaient l’impression d’être des scènes jouées et répétées. Un cameraman de Reuters a filmé Rahma en train de filmer d’autres scènes jouées. Sur quoi s’était fondé le Tribunal de Grande Instance pour rendre une décision en votre défaveur ?

P.K. : Le refus du gouvernement israélien de remettre en question ce reportage a été un élément important. Le tribunal avait reçu une lettre de M. Jacques Chirac [alors Président de la République – NDLR], dans laquelle celui-ci vantait l’intégrité journalistique de Charles Enderlin. Nous avions l’un et l’autre produit des témoignages, mais les plaignants avaient fait venir des Palestiniens qui avaient attesté que les Israéliens avaient tiré sur le père et le fils en utilisant des avions, des hélicoptères et des missiles anti-tank, alors même que rien de tout cela n’apparaissait sur les images. Bien que les témoignages des plaignants aient paru ridicules, le juge a déclaré : « Ils ont témoigné, et nous ne pouvons pas écarter cela au motif qu’ils sont palestiniens. Ils y étaient, pas vous. »

MEQ : Comment se fait-il que Chirac ait adressé une lettre au tribunal pour le compte de Charles Enderlin ?

P.K. : Chirac a écrit une lettre pour recommander Charles Enderlin et pour louer son attachement à l’exactitude des faits dans son dernier livre14. L’équipe de Chirac savait que cette lettre serait utilisée au cours du procès, mais cette lettre ne concernait pas directement le reportage sur Mohammed Al Dura. Chirac a fait cela pour promouvoir son idée de la politique arabe de la France.

MEQ : Après que le Tribunal de Grande Instance ait rendu un jugement contre vous – en partie parce que le gouvernement israélien n’était pas venu vous défendre – l’armée israélienne a écrit à Charles Enderlin pour lui demander de lui remettre les prises de vue et pour affirmer que la décision du tribunal ne reflétait pas de façon correcte la position de Tsahal, et qu’ils voulaient voir ces images15. Est-ce que c’était une réaction à la décision du tribunal, ou bien un virage à 180 degrés dans la position des officiels israéliens ?

P.K. : Nous avons désespérément tenté d’obtenir cette lettre de Tsahal.

MEQ : Qu’est-ce qui a contribué à ce changement dans l’attitude du gouvernement israélien à votre égard ?

P.K. : Au moment où le gouvernement avait à affronter une campagne si difficile sur le terrain, il a tout simplement voulu enterrer l’affaire Al Dura. Mais les mensonges ont la vie dure. Si la réputation d’Israël est salie dans cette affaire, cela hantera le pays pendant des générations. Il faut noter que des millions de gens continuent à croire au faux antisémite des Protocoles des Sages de Sion. Il existe déjà des timbres-poste à l’effigie de Mohammed Al Dura en Tunisie, en Égypte, en Iran et en Jordanie. Le nom d’Al Dura a été donné à des places au Maroc et au Mali et à des rues dans un certain nombre de grandes villes dans le monde. Daniel Pearl a été décapité devant une photo de Mohammed Al Dura. Il faut révéler l’imposture Al Dura maintenant, pour éviter que nos enfants aient à souffrir des conséquences de ce mensonge.

MEQ : Il est évident que Jérusalem devrait réagir. Pourquoi le gouvernement israélien ne fait-il rien maintenant ?

P.K. : Certaines personnes qui ne faisaient pas partie du gouvernement israélien à l’époque où l’erreur a été commise se sont servies de cette absence comme d’une excuse : « Puisque ce n’est pas nous qui l’avons faite, ce n’est pas à nous qu’il incombe de la réparer. » Pour d’autres, c’est une question d’ego. Ils ne veulent pas admettre qu’ils ont fait une erreur au début.

MEQ : Pourquoi Daniel Seaman, le directeur du bureau de presse du gouvernement israélien, n’écoute-t-il pas le cabinet juridique Shurat Hadin et ne retire-t-il pas à France 2 ses accréditations ?

P.K. : Seaman est un homme remarquable : posez-lui la question. Vous pouvez imaginer à quel point l’establishment israélien fait pression sur lui.

MEQ : Pensez-vous qu’Israël et les États-Unis soient en train de perdre la guerre de l’information ?

P.K. : Quelle guerre ? Ils ont déjà perdu, car ils ne se sont même pas souciés de se battre.

MEQ : En France, les médias n’ont-ils pas des comptes à rendre ? Existe-t-il une instance de contrôle indépendante ?

P.K. : Il y a un médiateur, chargé de l’interface entre France Télévisions et le public. Quand je m’étais adressé à lui, il avait couvert le mensonge, mais il a été remplacé quatre ans plus tard. J’ai appelé son successeur, qui s’est d’abord montré enthousiaste à l’idée de me rencontrer mais qui m’a rappelé plus tard pour me dire que son patron avait interdit cette entrevue. Mais j’ai dû rencontrer peut-être une vingtaine de personnes chez France 2, à tous les échelons de la hiérarchie, avant que l’affaire soit portée au tribunal.

MEQ : Qu’est-ce qui empêche que quelqu’un, chez France 2, détruise la vidéo ?

P.K. : J’ignore si quelqu’un possède une copie en dehors de France 2. Chez Fox News, quelqu’un a comparé cette affaire à celle des bandes magnétiques de Nixon. Pour la petite histoire, il y avait aussi un trou de dix-huit minutes dans les bandes magnétiques de Nixon. Quand nous apporterons la preuve qu’un média international a utilisé des images truquées et fausses, cela fera du bruit. Quand la vérité sortira, cela fera l’effet d’une bombe – je veux dire, si la vérité finit vraiment par se savoir. Plutôt que de reconnaître sa responsabilité, France 2 dira sans doute que j’ai émis mes déclarations de bonne foi mais que je n’ai pas prouvé que les images étaient truquées. C’est peut-être de cette manière qu’ils comptent balayer l’affaire sous le tapis.

MEQ : Pensez-vous que les médias français cherchent à apaiser la population musulmane du pays ?

P.K. : Ce que font les médias va bien au-delà de l’apaisement, c’est carrément de provocation qu’il s’agit.

MEQ : Vous voulez dire que France 2 a réellement cherché à inciter à la violence contre la population juive en diffusant les images de Mohammed Al Dura ?

P.K. : Oui, elle s’en est servie comme d’une forme de pression sur Israël. Chirac a pris les Juifs français en otages. C’est comme s’il avait dit à l’État d’Israël : « J’ai 600 000 Juifs en France, et si vous ne vous conduisez pas comme il faut avec les Palestiniens, nous montrerons ces images et les Juifs de France se feront attaquer. »

MEQ : Les Français pensent-ils que c’est simplement votre problème ou que le problème ne concerne que les Juifs ? Ou bien, voient-ils les implications à plus grande échelle ? Ne se sentent-ils pas insultés, de voir leurs médias leur mentir ?

P.K. : Pour les Français, si c’est dans les journaux ou à la télévision, alors c’est vrai. Mais grâce à cette histoire, les choses sont en train d’évoluer.

MEQ : Les médias français persistent à ignorer votre affaire. Pourquoi ?

P.K. : J’appelle la France une « petite U.R.S.S. » La différence, cependant, entre l’Union Soviétique et la France, c’est que les Soviétiques savaient qu’on leur mentait, alors que les Français croient qu’ils savent la vérité.

MEQ : La situation va-t-elle changer sous la présidence de Nicolas Sarkozy ?

P.K. : Maintenant, c’est lui le responsable. France 2 est une télévision d’État, Sarkozy en est donc le patron. Il devrait obliger France 2 à présenter des excuses au monde entier. En 2005, je lui avais apporté tous les documents. En avril 2008, j’ai rencontré deux de ses conseillers, qui ont reconnu que toutes ces images étaient des scènes jouées. Mais jusqu’à présent, Sarkozy n’a pas bougé.

MEQ : Qu’en est-il de l’indépendance des médias français ?

P.K. : Dans les médias privés, tout le monde dépend de l’État d’une façon ou d’une autre, ce qui explique que les médias aient refusé de rendre compte de mon procès, même après que des médias étrangers aient commencé à en parler. Dès qu’il s’agit de politique étrangère, il n’y a plus aucune indépendance, ni dans les médias publics ni dans les médias privés.

MEQ : Pensez-vous que les gens de la presse, dans son ensemble, sachent qu’ils sont coupables de confiance abusive envers les magouilleurs palestiniens ?

P.K. : Oui. Mais pour eux, admettre qu’ils travaillent avec des gens qui sont des magouilleurs et des menteurs, ce serait une vraie révolution. C’est la même chose en Irak et dans la plupart des pays du Moyen-Orient.

MEQ : Dans la façon dont la presse française a couvert cette affaire, du moins, dans le peu qu’elle a couvert, y a-t-il eu des différences ?

P.K. : La plupart des médias ont été contre moi. Le plus grand hebdomadaire de France, le Nouvel Observateur, a lancé une pétition de soutien aux mensonges d’Enderlin. Et vous savez quoi ? Des centaines de journalistes, de personnalités et de simples particuliers l’ont signée16.

MEQ : Comment se fait-il que les médias français aient une orientation non seulement anti-israélienne et anti-américaine, mais aussi pro-arabe ?

P.K. : Les Français n’aiment pas du tout les Arabes. La preuve ? Ils les maltraitent en France. Mais ils se sentent coupables de la façon dont ils les ont traités dans les colonies.

MEQ : Percevez-vous une hostilité envers les Juifs ?

P.K. : Oui, les Français ne pardonneront jamais aux Juifs d’avoir révélé la collaboration française dans la Shoah. C’est une des motivations à dépeindre Israël comme un État nazi. C’est pour les Français une façon de dire : « Nous ne nous sommes pas comportés plus mal que ce que les Juifs font maintenant. » Cela leur permet de se sentir moins responsables de leur collaboration avec les nazis.

MEQ : Que pensez-vous que sera l’avenir du journalisme d’actualité en France, maintenant que la France lance un service d’information vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans le genre de CNN ? Un tel réseau apportera-t-il un progrès dans le journalisme en France ?

P.K. : Non. Il faudrait pour cela un changement majeur au plan culturel. L’ironie est que les médias français se plaignent de ce que les journalistes américains soient très liés à l’armée américaine en Irak, mais ils ne reconnaissent pas qu’ils sont eux-mêmes très liés au gouvernement français, à Paris. Une chose est sûre, il existe à Paris, entre les médias et les personnalités politiques, une relation incestueuse.

MEQ : Récemment, vous avez gagné en appel ?

P.K. : Oui, nous avons eu entièrement gain de cause : la décision de la Cour d’appel est claire. Toutefois, le tribunal ne pouvait pas décider que les images étaient des scènes jouées, mais plutôt, il a déclaré que je pouvais publier ce que je voulais parce que j’avais des preuves que c’était des scènes jouées. Les termes du texte de l’arrêt établissent que j’ai raison, mais tout ce qui a été dit par le tribunal allait intrinsèquement dans le sens de mon allégation, selon laquelle il s’agissait d’une mise en scène.

MEQ : Avez-vous été indemnisé pour le préjudice, les coûts et les frais d’avocats ?

P.K. : Non. L’ensemble de la procédure m’a coûté de l’argent.

MEQ : Comment cela se fait-il ?

P.K. : En vertu du système français, j’ai dû verser aux avocats une commission de succès, et je trouve que c’est une bonne chose. Cependant, compte tenu de la réaction et de l’attitude épouvantable du gouvernement israélien, j’ai décidé que ce serait la dernière fois que je me bats pour Israël. France 2 a même déposé un pourvoi en cassation.

MEQ : Quelles ont été les réactions ?

P.K. : L’ambassadeur et les autres diplomates israéliens ne veulent pas de cette victoire. Le porte-parole du ministère israélien des Affaires Étrangères a déclaré que je n’étais qu’un particulier, que le gouvernement israélien ne m’avait pas demandé de mener cette bataille, et que je n’avais donc pas le droit de demander qu’Israël me vienne en aide17.

MEQ : Des médias français ont-ils fait état de votre victoire ?

P.K. : Au début, non, bien sûr que non, mais le Wall Street Journal en a rendu compte abondamment18. Il y a eu aussi un court article dans Le Monde19. Le Monde a dit que France 2 avait perdu, mais pas que j’avais gagné. Cela fait une différence. Et maintenant, Le Figaro a publié un éditorial et une note confidentielle20. Et nous nous attendons à ce qu’il y en ait davantage bientôt.

MEQ : Selon vous, quel sera l’impact de cette décision sur France 2 et sur le journalisme français au Proche-Orient ?

P.K. : Il sera très faible, parce que les médias français continuent à couvrir ce mensonge et parce que le gouvernement israélien ne veut pas se servir de cette victoire pour s’élever contre les mensonges des médias occidentaux. Les choses pourraient changer si les diplomates israéliens faisaient leur travail et si Sarkozy faisait le sien. Il devrait obliger France 2 à reconnaître l’escroquerie et à présenter des excuses au monde entier.

MEQ : Quelles sont les implications de votre procès pour les juifs et les musulmans de France ?

P.K. : Les gens qui se soucient réellement des Arabes me voient en pro-arabe. Dans cette guerre avec Israël, qui souffre le plus ? Les Arabes. L’incitation engendre la haine. Chirac n’était pas un ami des peuples arabes : il était plutôt leur pire ennemi. Il était le meilleur ami des dictateurs arabes, pour des raisons économiques et politiques. Dire aux Arabes d’arrêter d’être prêts à mourir pour des mensonges, c’est les aider à vivre une vie meilleure, et c’est aussi ce que j’ai essayé de faire. Le reportage sur Mohammed Al Dura était une supercherie qui a engendré beaucoup de haine et de violence, ce qui était contraire aux intérêts des populations arabes.

MEQ : Considérez-vous que votre procès contribuera à garantir la liberté d’expression en France ?

P.K. : Non. Les Français s’en moquent. Ils croient qu’ils ont la liberté d’expression parce qu’ils vivent dans un pays où ils ont le droit de dire que Chirac est un crétin. Ils ne se rendent pas compte à quel point, sur les questions internationales, le discours acceptable est uniforme.

MEQ : Avez-vous envisagé de poursuivre Charles Enderlin en diffamation ?

P.K. : Un certain nombre de personnes et de médias m’ont diffamé pour tenter d’influencer le cours de la justice. J’ai bien pensé à les poursuivre, mais à quoi bon ? Au final, quand j’ai gagné ce procès, au lieu d’être indemnisé, mes avocats m’ont couvert de notes d’honoraires et autres frais de justice. Pendant ces six dernières années, j’ai pris des risques physiques, et cela a été épuisant. Si je les poursuis, cela ne me prendra que plus de temps encore. Je veux me consacrer à nouveau à mes activités professionnelles. Et je respecte aussi la liberté d’expression de mes adversaires, même lorsqu’elle consiste à me diffamer. On ne devrait pas lutter contre la diffamation avec des procès en justice mais avec la vérité.

MEQ : Et ensuite ?

P.K. : Au bout du compte, cette affaire ne se réglera pas dans un tribunal : elle se réglera politiquement.

MEQ : Au tribunal de l’opinion publique ?

P.K. : Non, avec Sarkozy. Il faut qu’il fasse quelque chose. Autrement, il faudra peut-être que je lance une campagne pour montrer que Sarkozy ne veut pas inverser le mouvement d’antisémitisme d’État lancé par Chirac.

(avec l’aimable autorisation de The Middle East Quarterly et de Philippe Karsenty)

9 « Backgrounder: Mohammed Al Dura ».

10 Gérard Huber, « Misère de journalistes, misère de républicains », 14 juin 2008, accédé le 24 juin, 2008.

11 James Fallows, « Who Shot Mohammed Al Dura? », Atlantic Monthly, juin 2003.

12 Richard Landes, Al Durah: The Birth of an Icon. What Happened? Accédé le 24 juin 2008; « Al Dura Affair: The 10 Seconds Never Shown by France 2 », Youtube, accédé le 24 juin 2008.

13 « Personal Testimonies, Jamal Al Durra », transcription d’une discussion en ligne sur Arabia.com, 30 octobre 2000, Addameer.org.

14 Chirac to Enderlin, Media-Ratings, 25 février 2004, accédé le 11 juin 2008.

15 The Jerusalem Post, 17 septembre 2007.

16 « Appel: Pour Charles Enderlin », Le Nouvel Observateur (Paris), 23 juin 2008.

17 The Media Line (New York), 29 mai 2008.

18 Nidra Poller, « A Hoax? » The Wall Street Journal, Europe, 27 mai 2008; « Al-Durra Case Revisited », The Wall Street Journal, Europe, 27 mai 2008.

19 Le Monde (Paris), 24 mai 2008.

20 Ivan Rioufol, « Les médias, pouvoir intouchable ? » Le Figaro (Paris), 13 juin 2008.

Voir aussi Daniel Leconte:

“The only ones who could hit the child were the Palestinians from their position. If they had been Israeli bullets, they would be very strange bullets because they would have needed to go around the corner. (…) It could happen once, but that there should be eight or nine of them, which go around a corner? They’re just saying anything,”

“four years later, no one can say for certain who killed him (al-Durra), Palestinians or Israelis.”

“I think that if there is a part of this event that was staged, they have to say it, that there was a part that was staged, that it can happen often in that region for a thousand reasons “At the moment of the shooting, it’s no longer acting, there’s really shooting, there’s no doubt about that,” Leconte told Cybercast News Service.

“the image corresponded to the reality of the situation, not only in Gaza but also in the West Bank.” “I find this, from a journalistic point of view, hallucinating,” “That a journalist like him (Enderlin) can be driven to say such things is very revealing of the state of the press in France today,”

“Who will say it, I don’t know, but it is important that Enderlin or France 2 should say, that on these pictures, they were wrong – they said things that were not reality

“Enderlin would be better off recognizing it. That would resolve at least one part of the debate”

A bad use of communications can cause an unspeakable evil, giving rise to misunderstandings, prejudices and even conflicts. Pope John Paul II

French TV Sticks By Story That Fueled Palestinian Intifada
Eva Cahen
Cybercast News Service
February 15, 2005

A French journalist and an independent film producer who saw raw, unedited video of the shooting of a Palestinian boy in 2000 said it’s not possible for the boy to have been shot by Israeli soldiers, as a French TVreport claimed. French state television is standing by its claim that the broadcast is authentic. The broadcast purportedly showed 12-year-old Mohammed al-Durra being shot by Israeli soldiers, an event that led to the current Palestinian intifada. But Denis Jeambar, editor-in-chief of the French news weekly l’Express, and filmmaker Daniel Leconte, a producer and owner of the film company Doc en Stock, say the videocassette is full of staged scenes of faked injuries. Jeambar and Leconte were allowed by the France 2 network to view an unedited master video cassette of the incident, which took place in September 2000 at Netzarim Junction in the Gaza Strip. Leconte said he is satisfied that the shooting really happened, but he does not believe the bullets that struck the child could have been fired by Israeli troops. “The only ones who could hit the child were the Palestinians from their position,” Leconte told Cybercast News Service. “If they had been Israeli bullets, they would be very strange bullets because they would have needed to go around the corner.” France 2 earlier tried to explain the situation by claiming that the gunshots that struck al-Durra were bullets that ricocheted off the ground, but Leconte dismissed the argument. “It could happen once, but that there should be eight or nine of them, which go around a corner? They’re just saying anything,” Leconte said. Anewspaper article in the International Herald Tr i b u n e recently quoted the station’s news director as saying that “four years later, no one can say for certain who killed him (al-Durra), Palestinians or Israelis.” Questions surrounding the death of al-Durra generated global publicity, which in turn helped trigger the Palestinian intifada (uprising). Thousands of people – Palestinians and Israelis have lost their lives in the four years since the violence began. France 2 made small, edited portions of its exclusive video clip freely available around the world, saying it did not want to make money out of the tragedy. The broadcast prompted Palestinians to use it as proof of Israeli brutality. When Islamist kidnappers in Pakistan murdered Wall Street Journalreporter Daniel Pearl in 2002, visible in a videoclip of the killing was a poster depicting al-Durra. Lingering questions of authenticity Controversy over the event has simmered for years. It re-emerged late last month when Jeambar and Leconte wrote that the cassette contained scenes of Palestinians playacting at being wounded before the shooting incident, that nothing in the footage proved that the child was really dead, or if killed, that he had been shot by Israeli soldiers. On the contrary, they said, the footage incriminated Palestinian shooters. Their testimony added a major element to the debate because Jeambar and Leconte were two of a handful of independent people who were allowed to view the unedited raw footage. Jeambar and Leconte had gained access to the video after asking France 2to provide proof that its report about al-Durra’s death was genuine. The Sept. 30, 2000 video clip showed a boy identified as al-Durra, cowering behind a man. France 2TVreporter Charles Enderlin said in a voiceover the boy was killed by Israeli gunfire after he and his father were caught in the midst of a gun battle between Israeli security forces and Palestinian gunmen. Enderlin was not present during the actual shooting but claimed in interviews that the cassette, recorded by his Palestinian cameraman Talal Abu Rahma, also contained the death “agony” of the child, images so unbearable he had cut them out to spare his viewers. In a January 2005 article in Le Figaro, Jeambar and Leconte said that when France 2 news director Arlette Chabot showed them the cassette, they were surprised that it did not contain any footage of the child’s “agony.” They also found that the first 20 minutes or so of the cassette showed scenes of young Palestinians “playing at war” in front of the camera, falling as if wounded and then getting up and walking away. Jeambar and Leconte told radio station RCJ that aFrance 2official also present at the meeting had said in reference to the playacting, “You know it’s always like that.” In an interview with Cybercast News Service, Leconte said he was not surprised that Palestinians were using television cameras for propaganda purposes, but added that he found France 2’s statement disturbing at a time when the incident was creating so much controversy and was under investigation. “I think that if there is a part of this event that was staged, they have to say it, that there was a part that was staged, that it can happen often in that region for a thousand reasons,” he said. France 2 communications director Christine Delavennat told Cybercast News Service in an interview that none of the scenes on the cassette was staged and the cameraman and the station stood by that claim. Delavennat has invited the “accusers to bring the proof,” calling the debate “indecent” and warning that the station has already filed eight lawsuits against its accusers, most of them for defamation. Who shot Mohammed? The theory that the footage was staged was advanced by the Israel-based Metula News A g e n c y, whose editor-in-chief Stephane Juff a , concluded following an investigation that the boy’s shooting was faked by actors and that the child subsequently identified as Mohammed al-Durra had been dead and in the morgue hours before the gun battle. Leconte said that after seeing further evidence presented by France 2, he believes the shooting scene itself was real. “At the moment of the shooting, it’s no longer acting, there’s really shooting, there’s no doubt about that,” Leconte told Cybercast News Service. Unless there was an “incredible manipulation” by France 2, Leconte said he believes that both father and son were shot. He cited recent footage in which the father, Jamal al-Durra, showed his scars from bullet wounds. Leconte said that if Juffa believes the whole incident was staged, he would have to provide concrete proof. Ever since the footage was first aired, the Israeli army has been unable to confirm or deny that it was responsible for the child’s death. But in 2002, a German television documentary concluded that Palestinian and not Israeli gunfire killed the boy. When they viewed the footage, Leconte and Jeambar came to the same conclusion. According to Leconte, the man and child were taking shelter behind a concrete barrel that separated them from the Israeli position to their side. Two Palestinian positions were directly in front of them, leading Leconte and Jeambar to conclude that the fatal wounds were fired not by Israelis, but by Palestinians. The credibility of Talal Abu Rahma, the Palestinian cameraman, may be the weakest of all individuals involved in the controversy. He issued a deposition immediately after the incident, swearing that the Israeli army had killed the boy. But according to Juffa as well as Leconte, he later retracted it. Delavennat said the cameraman never retracted his claim. Rahma merely denied making a statement – falsely attributed to him by a human rights group – to the effect that the Israeli army fired at the boy in cold blood, Delavennat explained. France 2reporter Enderlin, in a response in Le Figaro to the question posed by Leconte and Jeambar about why he accused the Israelis of the shooting, said “the image corresponded to the reality of the situation, not only in Gaza but also in the West Bank.” “I find this, from a journalistic point of view, hallucinating,” said Leconte, himself a former journalist. “That a journalist like him (Enderlin) can be driven to say such things is very revealing of the state of the press in France today,” he added. Leconte said the French media display a strong anti-Israel and anti-American bias. The public is also unlikely to question the report’s claim that the Israeli army shot the child, he said. France 2 reluctant to retract Independent investigators have said that the French press is reluctant to criticize the public television channel because, as the prime employer of journalists in the country, it can exert a great deal of pressure. Leconte said that because the pictures had such “devastating” consequences – including the public lynching of two Israeli soldiers and subsequent anti-Semitic statements by French Muslims France 2 or Enderlin need to admit that they gave out wrong information in the report. “Who will say it, I don’t know, but it is important that Enderlin or France 2 should say, that on these pictures, they were wrong – they said things that were not reality,” Leconte said. In his reply, Enderlin did not provide an explanation to Leconte and Jeambar’s revelations in Le Figaro, which in itself was a message, according to Leconte, indicative that his and J e a m b a r’s points were indisputable. “Enderlin would be better off recognizing it. That would resolve at least one part of the debate,” Leconte said. As for the “agony” that Enderlin said he edited out of the report, Leconte and Jeambar said it did not exist on the master cassette. Enderlin told Teleramamagazine late last year that there had been a “misunderstanding,” that he had meant to use the word “agony” to describe the scene of the shooting of Mohammed al-Durra. Nouvel Observateur news magazine on Feb. 10, Enderlin was asked how he would describe the same video images today. He replied that he would say the same things, but that in the editing process he would include footage of the “child’s agony,” raising a question once again about his previous claims. During the first edit, Enderlin said, the video in question was “cut considerably at the time because it made the report too hard.” Despite the fact that Enderlin and France 2have not admitted any errors, the Conseil superieur de l’audiovisuel (CSA) – the French government’s media regulatory council – issued a statement in December asking French television to identify sources and exercise more caution when reporting on international conflicts. Pope John Paul II issued a similar call in J a n u a r y, warning that “a bad use of communications can cause an unspeakable evil, giving rise to misunderstandings, prejudices and even conflicts.” The accusations against the state television station have also gained attention because the French government is developing plans to create an international French-language news channel.

Voir enfin:

Pour Charles Enderlin
le Nouvel Observateur

17-08-2009

Sept ans. Voilà sept ans qu’une campagne obstinée et haineuse s’efforce de salir la dignité professionnelle de notre confrère Charles Enderlin, correspondant de France 2 à Jerusalem. Voilà sept ans que les mêmes individus tentent de présenter comme une « supercherie » et une « série de scènes jouées » , son reportage montrant la mort de Mohammed al-Doura, 12 ans, tué par des tirs venus de la position israélienne, le 30 septembre 2000, dans la bande de Gaza, lors d’un affrontement entre l’armée israélienne et des éléments armés palestiniens.

Le 19 octobre 2006, le tribunal correctionnel de Paris avait jugé le principal animateur de cette campagne, Philippe Karsenty, coupable de diffamation.
L’arrêt rendu le 21 mai par la cour d’appel de Paris, saisie par Philippe Karsenty reconnaît que les propos tenus par ce dernier portaient « incontestablement atteinte à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information » mais admet, curieusement, la « bonne foi » de Philippe Karsenty qui « a exercé son droit de libre critique » et « n’a pas dépassé les limites de la liberté d’expression ». Cet arrêt qui relaxe Philippe Karsenty nous surprend et nous inquiète.

Il nous surprend, car il accorde la même crédibilité à un journaliste connu pour le sérieux et la rigueur de son travail, qui fait son métier dans des conditions parfois difficiles et à ses détracteurs, engagés dans une campagne de négation et de discrédit, qui ignorent tout des réalités du terrain et n’ont aucune expérience du journalisme dans une zone de conflit.

Il nous inquiète, car il laisse entendre qu’il existerait désormais à l’encontre des journalistes une « permission de diffamer » qui permettrait à chacun, au nom de la « bonne foi », du « droit de libre critique » et de la « liberté d’expression » de porter atteinte impunément « à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information ».

Au moment où la liberté d’action des journalistes est l’objet d’attaques répétées, nous rappelons notre attachement à ce principe fondamental, pilier de la démocratie et nous renouvelons à Charles Enderlin notre soutien et notre solidarité.

Paris, 27 mai 2008

Pour soutenir cet appel, envoyez vos coordonnées par mail en cliquant ici
La liste des signataires est mise à jour une fois par semaine le vendredi.

Les premiers signataires
Journalistes
Christophe Airaud (France2), Rachid Alik (Liberté), Claude Angeli (Le Canard Enchaîné), Carine Azzopardi (France 3), Farid Aïchoune (Le Nouvel Observateur), Gilles Anquetil (Le Nouvel Observateur), Hervé Algalarrondo (Le Nouvel Observateur), Guillaume Arvault (journaliste), Josette Alia (Le Nouvel Observateur), Jacqueline Ansart (Journaliste), Marie Andrieu (Le Courrier de l’Atlas), Max Armanet (Libération), Association du Prix Albert Londres, Claude Askolovitch (Le Nouvel Observateur), Florence Aubenas (Le Nouvel Observateur), Laurent Abadjian (Téléram), Nicolas Ancelin (GEO Magazine), Paul Aubriat (journaliste), Pierre Abramovici (journaliste), Jean-Claude Allanic (ex-médiateur France 2), Kristian Autain (Grand Reporter France 2), Mehdi Alami (juriste et journaliste reporter), Kamel Azzouz (RTBF), Malika Abdelaziz (journaliste-coopération), Annie Anas (La vie du rail) Eric Biesse (JRI pigiste), Xavier Baron (AFP), Alexandre Boussageon (Le Nouvel Observateur), Christine Bertrand-Nielsen (AFP), Djamal Benmerad (Journaliste-écrivain), Carole Barjon (Le Nouvel Observateur), Daniel Bouy (France 3), François Bazin (Le Nouvel Observateur), Fathi B’Chir (MedAfrique), Michel Berthelot (Journaliste), Pierre Barbancey (l’Humanité), René Backmann (Le Nouvel Observateur), Bruno Birolli (Le Nouvel Observateur), Cécile Berecz (France 2), Sophie Benoits (CBNews), Christian Billmann (RFI), Corinne Bouchouchi (Le Nouvel Observateur), Joy Banerjee (France 3), Jean-Baptiste Bussière (Canal Plus), Luc de Barochez (Le Figaro), Frédéric Barreyre (France Inter), Loïc Barrière (Radio Orient), Michel Bessaguet (GEO-Magazine), Renaud Bernard (France 2), Stéphan Breitner (journaliste), Philippe Brassard (La Dépêche du Midi), Olivier Bonnard (Le Nouvel Observateur), Tristan Berteloot (Le Nouvel Observateur), Michel Boulen (retraité SFP), Nébia Bendjebbour (Le Nouvel Observateur), Michel Bôle-Richard (Le Monde), Christophe Boltanski (Le Nouvel Observateur), Jacques Bourget (Bakchich.Info), Nicolas Brimo (Le Canard Enchaîné), Philippe Bidalon (l’Express), Vincent Berthe (Rap Mag), Denis Brunetti (TF1), Loïck Berrou (France 24), Ariane Bouissou (France Info), Michel Bailly, Jacqueline Beaulieu, Michel Bertrand, Alain Bradfer, Andrei Brauns (TV Journalist / Producer KDB Media), Henry Beauduin (journaliste retraité), Barbara Boulet (RTBF), Anne Blanpain (RTBF), Yves Barraud (journaliste), Eric Boever (RTBF), Pascal Bustamante (RTBF), Christine Borowiak (RTBF), Marc Bouvier (RTBF), Edmond Blattchen (RTBF), Pierre Bardina (Rédacteur), Jean Belot (journaliste retraité Télérama), Gérard Beaufils (Directeur des rédactions Radio Caraïbes International – Correspondant TF1 Martinique / Guadeloupe), Djamal Benmerad (Journaliste, écrivain), Sam Bernett (journaliste-auteur-animateur), Mathieu Bouton (TF1), Philippe Bregowy (journaliste pigiste Actufax, Sud Ouest), Etienne Bastide (Radio Galère), Jean Beauchesne (journaliste retraité), Alain Bedu (ancien journaliste), 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Observateur), Philippe Jarry (France 3), Christian Jade (RTBF), Hélène Jourdan-Gassin (journaliste/art pour le magazine Côte), Maryse Jacob (RTBF) Amnon Kapeliouk, Amine Kochlef (journaliste), Sammy Ketz (AFP), Serge Kovacs (France 3), Benjamin König (étudiant en journalisme), Francis Kochert (journaliste), Bernard Langlois (Journaliste), Dominique Lagarde (L’Express), Jean-Noël Lauqué (France 3), Marie-Pierre Levasseur Brêtas (France2), Jean-Paul Luciani (France Bleu/Corse), Nathalie Lhayani (EurActiv.fr), Marie Lemonnier (Le Nouvel Observateur), Karim Lebhour (RFI-La Croix), Nadia Lamarkbi (Courrier de l’Atlas), Michel Labro (Le Nouvel Observateur), Jo Laengy (Dernières Nouvelles d’Alsace), John Paul Lepers (La TéléLibre.fr), Jean Lacouture (Ecrivain), Olivia Le Sidaner (Géo Magazine), Serge Lafaurie (Le Nouvel Observateur), Loïc Lemoigne (France3), Daniel Laumbert (Auteur/réalisateur) , Barbara Landrevie (Journaliste), Caroline Laurent-Simon (ELLE), Gwenaëlle Lenoir ( France3 ), Manon Loizeau, Alain Louyot (L’Expansion), José-Manuel Lamarque (France Inter), Serge Leblal (Digital World), Yves Loiseau (Ancien administrateur de France Télévisions), Guénaël Lemouée (La Provence), Robert Louis (journaliste honoraire RTBF), Colette Louis (pré retraitée RTBF), Anne Lippler (Inter Générations TV), Pierre Le Flao (auteur-réalisateur de documentaires), François Louis (RTBF), Charlotte Legrand (RTBF), Philippe Lefebvre (France Inter), Laurent Lacroix (RTBF Radio), Anne Lombard (monteuse RTBF), Martine Lagardette (journaliste), Ymre Le Brasier (journaliste), Patrick Le Hyaric (L’Humanité), Alexandre Lenoir (journaliste indépendant), Emilie Lançon (France 2), Quentin Lepoutre (journaliste), Frédérique Moser (Paperjam Luxembourg), Aline Maume (GEO Magazine), Agnès Molinier (Présidente de la Société des journalistes de France 2), Colette Mainguy (Le Nouvel Observateur), Claude Michel (journaliste), Daniel Mermet (France-Inter), Emmanuel Moreira (journaliste), Florence Malleron (Le Nouvel Observateur), Guillaume Malaurie (Le Nouvel Observateur), Marc Meimon (France 3), Gérard Moulinet (RFO), Jean-Paul Mari (Le Nouvel Observateur), Jean-Louis Morgan (Encyclopédie du Canada), Louis Morice (Le Nouvel Observateur), Marco Mosca (Le Nouvel Observateur), Marie-Laure Mas (Le Nouvel Observateur), Pierre Magnan (France 2), Yves Michel (RTL), Jamila Mimouni (France 2), Martin Meisonnier (Réalisateur), Conny Mus (RTL 4 News Holland), Bruno Masure, Robert Ménard (Reporters sans frontières), Pascal Mourot (SOS-Reporters), Robert Malet (journaliste honoraire), Paul Moreira (Premières lignes TV), Stéphane Méril (Journaliste reporteur d’images), Stéphane Malterre (Tac-presse), Sophie Michard (journaliste), Thierry Michel (Groupe Réussir), Sébastien Morelli (Le Parisien), Louis Moulin, Abdessamad Mouhieddine (« La Gazette du Maroc », « VH – Version Homme », « Challenge »), Michel Moutot (Agence France Presse, membre du jury du prix Albert Londres), Rédaction du « journal Media Production », Rachel Mulot (Sciences et Avenir), Valérie Montmartin (Ligne de Mire), Alain Mihaly (Points critiques), Yves-Etienne Massart (RTBF), Carine Maillard (journaliste free-lance), Joëlle Meert (RTBF), Anina Meeus (RTBF), Flora-Lyse Mbella (RTBF, pigiste), Philippe Marinval (chargé de recherche au CNRS),
Nahida Nakad (TF1), Marie-Hélène Nougaret (Maison Nature), Fouad Naim (Radio Orient), Gaëlle Noujaim (Le Nouvel Observateur), Jean-Baptiste Naudet (Le Nouvel Observateur), Frédéric Noy (photo journaliste Agence Cosmos), Régis Nusbaum (France 3), Jacques Nobécourt (journaliste retraité du Monde), Lynda Nacer (journaliste Algérie), Jean-Marc Nouk-Nouk (France 2), Robert Neys (RTBF), Vincent Nguyen (France 2) Denis Olivennes (Le Nouvel Observateur), Gaël Olivier-Lamcap (Stratégie), Azzedine Oumouhand (journaliste) Didier Pillet (Président directeur général du groupe La Provence), Claude Perdriel (Le Nouvel Observateur), Daniel Pasche (retraité TSR), Dominique Pradalié (France 2), David Peressetchensky, Frabrice Puchault (France 2), Jordan Pouille (Médiapart), Julien Paolacci (Canal Plus), Jean-Marc Pillas (TF1), Pierre Prier (Le Figaro), Rafaele Pelleau (Le Nouvel Observateur), Maurice Padioux (ancien grand reporter, ancien rédacteur en chef du Républicain Lorrain), Philippe Perrot (RFO), Yann Perrier (France 3), Virginie Plaut (BFM TV), Jackie Poggioli (Journaliste FR3 Corse), Patrick Perotto (Grand Reporter à L’Est Républicain), Lama Peyroles (ex-grand reporter et journaliste AFP, INA, RMC), Sylvie Puech (journaliste), Claire Pecheux (RTBF), Michel Pauss (RTBF), Audrey Pulvar (France 3), François Pommies (ex-journaliste), Odile Quirot (Le Nouvel Observateur), Yves Quemener (France3), Jean-Marie Quemener Meron Rapoport (Haaretz), Jean-Paul Rustan (Le Figaro), Emilie Raffoul (Canal Plus), Jonathan Randal (Washington Post), Lois Rousse (Photographe), Philippe Rochot (France 2), Marie-Elisabeth Rouchy (Le Nouvel Observateur), Pascal Roger-Praud (Journaliste), Stéphane Renard (Journaliste indépendant), Gilles Rabine (France 2), Sibylle Rizk (Le Commerce du Levant / Liban), Bruno Roger-Petit (Europe1/sport), Jean Rabinovici (Journaliste honoraire), Marie-France Rémond (Le Nouvel Observateur), Audrey Racine (journaliste-présentatrice Medi 1 Sat Maroc), Jean-Paul Rustan (Le Figaro), Francine Raymond (France 3), Vincent Rea (journaliste indépendant), Yoann Robic (Agence de presse IDE), Christine Ruol (RTBF), Jean Roquecave, Paul Reb dit PAUL (dessinateur-journaliste), Philomé Robert (France 24), Simone Reumont (RTBF), René-Paul Savignan (Photographe), Amira Souilem (Etudiante à l’Ecole de journalisme de Science Po), Alexendra Sasower (journaliste), Ben Salama (France3), Claude Soula (Le Nouvel Observateur), Gérard Saint-Paul (France 24), Marie-Christine Simonet (Journaliste), Isabelle Staes (France 2), Georges Servat (Le Courrier de l’Unesco), Patrick Saint Paul (Le Figaro), Samah Soula (France 2), Anne Sogno (Le Nouvel Observateur), Eric Scherer (AFP), Claire Servajean (France Inter), Christophe Sabatier (France 24), Carole Sandrel (journaliste-écrivain), Daniel Salvatore Schiffer (écrivain et journaliste), François Schlosser (Le Nouvel Observateur), Georges Sassine (Al-Balad), SCAM (Société civile des auteurs multimédia), Société des Journalistes de France 2, Syndicat SNJ-CGT de France Télévisions, Jean-Luc Slama (journaliste), Squalli Salma (Tv 2M Maroc), Arnaud Saint-Maxent (France Guyane), Maurice Szafran (Marianne), Matthias Second (France 2), Pierre Sorgue (GEO Magazine), Patrick Seale (Journaliste), Séverine Stéfanesco (France 5), Olivier Siou (France 2), Gilles Schneider (Radio France), Wala’a Said Kadim, Jean-Pierre Séguéla (France 3), Julie Safar (Chef-Monteuse, ex France 2), Clément Saccomani (photographe indépendant), Anne Suply (journaliste), Radia Sadani (RTBF), Hadjira SAKER (journaliste Al Hayat Newspaper), Ghila Sroka (journaliste, éditrice Tribune Juive Canada), Malak Mustapha Sahioni (journaliste), Hugues Serraf (rédacteur en chef Internet de L’argus de l’automobile), Pierre Siankowski (Les inrockuptibles), Ludovic Tomas l’Humanité), Julien Trillat, Marcel Trillat (Journaliste), Michel Turin (Journaliste), Natacha Tatu (Le Nouvel Observateur), Olivier Touron (journaliste), Patrice Trapier (Le Journal du dimanche), Michel Vuez (Journaliste honoraire AFP), Nathalie Talboom-Cabréra (Journaliste Mai Juin Productions), Jean-Marie Tricaud (M6), Chantal Tolley (animatrice radio), Jean-Marc Turine (producteur radio), Jean-Marie Trimbour (journaliste retraité), Catherine Tardrew (Parisien-Aujourd’hui), Killian Tribouillard (Le Mensuel du Golfe du Morbihan), André Urbain (RTBF) Dominique Vittupier (Le Nouvel Observateur), Jean-Louis Validire (Le Figaro), Michel Valio-Cavaglione (France2), Nicolas Valode (TAC Presse), Michel Vagner (L’Est Républicain), René Vigié (journaliste honoraire), Olivier Vanlangendonck (journaliste), Agnès Voiret (France 3), Sylvie Véran (Le Nouvel Observateur), Martine Vanbreuseghem, Michel Visart (RTBF), Fabien Van Eeckhaut (RTBF), Gérald Vandenberghe (RTBF), Alain Vaessen ( président Société des Journalistes RTBF), Philippe Vannini (Aligre FM 93.1), Pierre Weill (France Inter), Frédéric Wittner (France Info), Franck Weill Rabaud (RFI), Wiaz (Le Nouvel Observateur), Youcef Tahar (Journaliste), Monique Younès (RTL), Alexandre Wajnberg (journaliste scientifique), Willy Vandervorst (RTBF) Catherine Zimmermann (réalisatrice radio), Laurent Zecchini (Le Monde), Zinou Zebar (Photojournaliste), Nicolas Zomersztajn (Regards)

Personnalités
Benjamin Abtan (Ancien président de l’Union des Etudiants Juifs de France), Jacques Attali (écrivain), Jean-Christophe Attias (Directeur d’études à l’EPHE Sorbonne), Marie-Louise Abramovici (présidente du Collectif Européen Contre l’Extrême Droite et le Fascisme « C.E.C.E.D.E.F. »), Yves Aubin de la Messuzière (ancien Ambassadeur, chercheur associé à Science.Po), Michel Adam, ancien Ambassadeur de Belgique et son épouse, Janine Adam, André Burgière (Historien), Hervé Bourges (Ancien président de TF1, de France Télévisions et du CSA), Avraham Burg (ancien président de la Knesset), Evelyne Burgière-Pujeau (sociologue), Annette Becker (historienne), Olivier Bétourné (éditeur), Pascal Boniface (directeur de l’IRIS), Martine Billard (Député de Paris), Mathilde Boudou (Avocate au Barreau de Paris), , Esther Benbassa (Directrice d’Etudes à l’EPHE Sorbonne), Robert Bret (Sénateur des Bouches-du-Rhône), Jean-Pierre Becker (comédien), Catherine Becker (DG d’une société de communication internationale), Jean-Yves Camus (chercheur à l’IRIS), Philippe Cohen-Grillet (France-Soir), Monique Cerisier ben Guiga (Sénatrice des Français établis hors de France), Monique Combescure (Directeur de recherche au CNRS en physique théorique, lauréate du prix Irène Joliot Curie 2007, femme scientifique de l’année), Alain Combescure (Professeur des universités INSA Lyon), Régis Debray (Ecrivain, directeur de la revue Medium), Guy Dutron (Ecrivain) Marilyne FERRE (Secrétaire du C.E.C.E.D.E.F.), Salomé Franck (réalisateur du film « Un mur à Jérusalem »), Alexandre Faro (Avocat au Barreau de Paris) Anne Grauwels (co-présidente de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique), Alfred Grosser (Professeur), Marcel Gotlib (dessinateur BD), Nadia Ghalem (journaliste et écrivaine) Véronique de Keyser (Députée européenne PSE/Belgique), Théo Klein (Avocat, ancien président du CRIF), Michel Kichka (caricaturiste TV1 Israël) Jack Lang (Député), Lucien Lazare (historien), Jacques Le Goff (Historien), Roger Halimi (médecin), Jean-Claude Lefort (Député honoraire), Jean-François Leroy (Directeur de Visa pour l’Image) Serge Moati (réalisateur), Noël Mamère (Député) Erik Orséna (Académicien), André-Louis Perinetti (Président d’Honneur de l’Institut International du Théâtre/UNESCO) Olivier Roy (directeur d’études à l’EHESS), Elisabeth Roudinesco (psychanalyste, historienne), Paul Rozenberg (producteur) Hélène Sielka (écrivain), David Susskind (président d’honneur du Centre Communautaire Laïc Juif de Bruxelles), Simone Susskind (Présidente de Actions in the Mediterranean), Michèle Szwarcburt (Présidente du Centre Communautaire Laïc Juif à Bruxelles), Shlomo Sand (professeur Université Tel Aviv), Hubert Vedrine, (ancien ministre des affaires étrangères), André Vignau (écrivain), Guillaume Weill-Raynal (avocat), Henri Wajnblum (co-président de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique), Mirjam Zomrsztajn (directrice du Centre Communautaire Laïc Juif de Bruxelles)

Internautes

Alain Auburtin (ingénieur), Jean-Philippe Aynie (bibliothécaire), Eric Agugliaro, Waeeh Abu Abdou (médecin), Dominique Abadie (éducatrice spécialisée), Nicole Achard, Said Adda (cadre technique), Samil Aouli, Zohra Aouli, Slimane Aouli, Simone Arnaud (médecin), Claude Allard, Nadine Alari (comédienne), Ginette Aguiard-Nicollet, Jean-Pierre Ambroise-Favier (formateur en informatique), Nathalie Aubard (assistante d’équipe), Janie Arneguy (professeur), Sakina Arnaud (Ligue des droits de l’homme), Claude et Youssef Abou-Samra (retraités), Smail Aouli (enseignant), Slimane Aouli (étudiant), Zohra Aouli (éducatrice), Claude Adage (retraité), Matéo Alaluf (Professeur à l’Université Libre de Bruxelles) , Chantal Albert (professeur des écoles retraité), Jean-Pierre Abry (retraité), Gérard Alezard (vice président honoraire du Conseil économique et social), Jocelyne Acs (retraitée), Josette Almendros (sans profession), Barbara Alico (cadre d’entreprise), Lucie Alico (étudiante), Christine Amador (directrice de ludothèque) , Saad Abu Amara (chirurgien orthopédiste), Mehdi Amara (enseignant-chercheur), Aïssa Amel (cadre marketing), Yves Alvergnat (retraité), Philippe Andres (enseignant), Jean-Emile Andreux (historien), Aouli Amayes (étudiant), Thierry Ambrosini (apiculteur), Rosette Alezard, Patrick Anquetin (ingénieur), François Arbellot, François d’Artemare (producteurs cinéma), Michèle Artzner (proviseur retraitée), Martine Auber (retraitée), Jean-Pierre Aubin (médecin), Saïd Adda (président de l’Institut Culture et Civilisation)), Gilles Ade (éducateur sportif), Siska Audeoud (graphiste), Frédéric Audibert (fonctionnaire), Auvray (enseignant),Georges Avossa (retraité), Laila Awad (responsable marketing), Michèle Azzaro (acheteur), Jean-François Azaïs (architecte), Colette et Daniel Auger (retraités), Pierre Abecassis (médecin), Bernard Assouline (directeur commercial), Silvia Alterio, Isabelle Audic (enseignante), Marie Androuin (chargée de dossiers dans association), Sabah Al Fakir (professeur des universités retraité), Jean-Baptiste Allegrini (étudiant), Arnaud Abitbol (courtier), Christophe Authiat (enseignant), Alain Aubourg (infographiste), Yacine Amara (enseignant chercheur Université du Havre), Jean-Marie Albaut (professeur documentaliste en retraite), Francine Albac (femme au foyer), Jacques Angot (technico-commercial), Chantal Allain (assistante familiale), Juan Abad (directeur service social), Marc Abramowicz (fondateur d’Aimer à L’ULB), Nicolas Anthomé (producteur), Khaled Abou (informaticien), Docteur Karim Aït Aïssa (endocrinologue Algérie), Daniel Auvillain (artisan de l’image), Thierry Ambrosini (apiculteur),Guillaume Ajavon (Ingénieur en Développement Durable / Photographe), Mek Abder (photographe), Jacques Auzeau (retraité), Jacques Aubé (historien), Fethi Askri (agronome), Brahim AIT HAJ ALI (Chef de Projet Education pour la ville de Calais), Leila Ahmed-Seid (juriste), Hakim Arabdiou (militant associatif), Tahar Akreb (Technicien en bâtiment), Nora Atba (responsable communication), Patrick Alary (psychiatre), Patrick Apiou (enseignant), Aventini Claude (retraité), Aventini Nicole (retraitée), Aventini Myriam (agent comptable), Aventini Olivier (agent administratif), Antoine Abi Aad (médecin), Sofiya Aghouchy (professeur), Benoît Ameil (réalisateur),
Bernard Bellot, Alena Bekova (professeur), Mohammed Ben Yakhlef (cariste), Laurence Becker (DRH), Alain Barreau (retraité), Maxime Blacher (étudiant), Michel et Claudine Besanceney, Daniel Brobecker, François Bihan (retraité), Djilali Boudoumi (médecin), Jacques-Marie Bourget, Thierry Berard (Kinésithérapeute), Jocelyn Bouriant (informaticien), Aicha Bourgoin (retraitée agricole), Myriam Bouagal (responsable communication), Fabrice Bourgeois (fonctionnaire), Sylvie Baisse, Aziz Benyounes (étudiant), André Bellion (cadre supérieur), Albert Boissier (médecin), Alain Burckhardsmeyer (retraité), Alain Barasz (directeur CCE SNCF), André Burger (retraité), Anmella Bruno (Chef de produit), BA Ndèye (universitaire), Armand Bacca (Association des Communistes Unitaires), Bernard Bessières (inspecteur d’académie honoraire), Daniel Breton (Conseiller municipal), Claude Boursin (Ostéopathe), Jacques Bachelier (retraité), Hughes Backmann (étudiant), Jacky Bastin (retraité), Jean-Pierre Barbier (directeur d’associations), Patrice Bardet (informaticien), Geneviève Barth (retraitée), Dominique Barthel (professeur), Dominique de Beaupré (maître de cérémonie PFG), Isabelle Becherel (professeur) et Vincent Becherel, Alain Becker (enseignant), Sylvie Bégué (professeur-documentaliste), Anita Beldiman Moore (documentaliste), Madeleine Brun (présidente de la D.D.E.N de Vaucluse), Monique Belluci (retraitée), Marie-Annick Benatre (chargée de mission groupe d’élus communiste Nantes), Gilbert Berger (agent commercial), Nathalie Bénillan (médecin), Philippe Berlie (fonctionnaire), Annie Bernard (enseignante retraitée), Frédéric Bergeret, Danièle Bergues (retraitée),Thierry Berlioz (directeur d’opérations), Jean-Pierre Berthet (retraité), Evelyne Barba (retraitée), Germaine Bernard (retraitée), Gérald et Nadine Bertin (retraités), Patrice Bertrand (comédien), Louis Besson (retraité), Serge et Eliane Betton (professeurs retraités), Antoine Bettini (chargé de mission), Yves Bideau (étudiant ), Claude Binet (retraitée), Jean-François Birckel (retraité), Jan Blanc (Professeur à l’Université), Jean-Pascal Bouet (professeur des écoles stagiaire), Jean-Pierre Bloc (chef monteur), Mathieu Bodin (pilote), Robert Bodson (artiste-peintre), Elisabeth et Patrick Bogaert (retraités), Pierre Bonin (informaticien), Henri Bonnafoux (retraité), Claude Bonnefille (enseignant), Claudine Borgeaud (retraité), Nathalie Bosson (médiatrice familiale), Norbert Boyon (retraité), Marie Anne Bonneterre (illustratrice), Bertrand Bloch (Professeur Université Bordeaux 2), René Bouchez (retraité), Aouli Boudjema (médecin ORL), Odile Bouilleret , Dominique Bourdel (pré-retraité), Jean-Louis Boutefeu (traducteur), Michel Bourse (Maître de conférence), Marie Briand (infirmière), Marthe Bribet (retraitée), Robert Bouviais (entrepreneur), Régis Bonnet (retraité), Roger Briot ( retraité), Claudine Brossard (bibliothécaire retraitée), Valérie Brûlant (contrôleur aérien), Serge Buschbaum (retraité), Joël Busson (Nantes), Patrice Bonazzi (ingénieur urbaniste), Tarek Ben Hiba (conseiller régional IDF), Yattou Bouhdadi (comptable), Yann Benhayoun (services à la personne), Zaïneb Ben Lagha (universitaire), Sylvie Baisse (planificateur industriel), Michel.Bouvret (enseignant retraité), Joëlle Beldengruen (professeur de français), Lucie Braud (chargée de mission éducation artistique), Driss Benjelloun (médecin), Karim-Olivier Badry (Assistant Musée Quai Branly, écrivain), Barbara La Barbera (conseillère municipale), Farid Brukci (retraité), Véronique Brin (infirmière), Barbara Ben Sadoun (traductrice), Arbia Bouabssa (chargée d’études), Marie-Claire Bezineau (Croix Rouge), Kader Brahimi (informaticien), Houria Belahcene-Ancelin (informaticienne), Michel Braquet (informaticien), Rachida Boussem-Flici (cadre finance), Stéphanie Briand (conseillère en formation), Jean-Marie Beaumont (photographe-cadreur), Marie Bellet (professeur agrégée d’histoire), Mahmoud Ben Romdhane (professeur Sciences Economiques et Gestion – ancien président d’Amnesty International Tunisie), Claude Blampain (retraité), Joseph Brunson (enseignant retraité), Michel Bertrand (Président d’association de personnes handicapées), Loïc Beziau (enseignant), Monique Bourdiol (retraitée de l’enseignement), Simone Ba (gestionnaire de portefeuille clients), Bernard et Anne-Marie Barral (retraités), Anne-Sophie Bénard (ingénieur), Rodolphe Bourlett, Patrick Blaziot (fonctionnaire hospitalier retraité), Thierry Bernard (ingénieur), Arlette Ballester (chirurgien dentiste), Bernard Berruyer (retraité), Pierre Bombaron (médecin), Renaud Bourget (urbaniste), Odile Bertagnolio (retraitée), Jérôme Brunet (cadre commercial export), Jean Brun (cadre retraité), Karine Bonneton (architecte d’intérieur), François Boyer (formateur consultant), Dominique Barbier (violoniste), Yamina Brikci (formatrice), Juliette Bruyndonckx (graphiste), Jean Bessou (retraité), Mathieu Bernardeau (photographe), Aïcha Benabdeljalil (consultante), Ahmed Bensaid (fonctionnaire), Christian Bitard, Florent Bessot (professeur des écoles), Michel Boutin (ingénieur retraité), Marc Belhomme (fonctionnaire), Cyprienne et Paul Bridonneau (ludothécaire et professeur retraité, volontaires au Festival du Scoop et du Journalisme d’Angers), Christine Blanc (professeur de surf des neiges), Hélène Brultey-Dahan (retraitée), Mohamed Balli (chercheur), Gérard Bossière (Professeur honoraire des Universités), Claude Bellier (enseignante retraitée), Pierre Baudoux (conseiller auprès d’agriculteurs possédant un élevage laitier), Thomas Becker (enseignant), Mustapha Belkahia (ancien DG retraité), Raïlane Benhacène (ingénieur), Renaud Bourget (juriste), Lucie Blais (agente de recherche), Serge Beauchemein (retraité), Jean-Claude Breton (expert comptable retraité), Daniel Brest (retraité), Pierre Bourderionnet (retraité), Daniel Boismain (dessinateur en béton armé retraité), Mammoud Benzid (ingénieur), Marc Borel (consultant), Janine Borel (présidente du Comité de lutte contre la barbare et l’arbitraire), Fabien Belmonte (ingénieur), Arnaud Bengochea (Manageur), Charles Bielen (photographe), Jean-Marie Benech (médecin retraité), Nadir Boumaza (professeur des universités, chercheur au CNRS), Dominique Benoist de Beaupre (maitre de cérémonie), Yves Bris (retraité), Hélène Buvat (cadre supérieur), Anne-Marie Barthélémy, Nicolas Berthézène ( ingénieur), François Bessou (ingénieur EDF), Jean Berthelot (retraité), Sébastien Bourguignon (Chargé de communication), Claire Bichot, Lionel Borg (chef des ventes), Jean Brafman (conseiller régional d’Ile de France), Corinne Blanc-Merabet (chargée de projets), Pierre Boucher (cadre supérieur de banque retraité), Farid Brikci (chef d’entreprise à la retraite), Jean-Jacques Branchu (ancien administrateur INSEE), Bruno de Beaufort (directeur de production d’une compagnie de théâtre), Geneviève Bhutto (Manager), Naâmen Bouhamed (PDG), Daniel-Léonard Boismain (retraité), Antoinette Bertos (assistante de direction retraitée), Jacqueline et Jean Bramant (fonctionnaires de l’éducation nationale), Donia Belhadj (chargée de production), Karim Belhadj (médecin), Alain Barnier (informaticien), Jean-Laye Berti (informaticien), Arnaud Borrel (photographe), Jean-Bernard Bourdet (enseignant retraité), Jean-Pierre Badeau (retraité), Gilbert Berangier (retraité), Jimmy Brognara (chef d’entreprise), Hocine Boubeche (directeur de service), Pierre-Emile Bertona (assureur, musicien, photographe))
Manuela Crespel (adjoint administratif mairie), Régis Bastion (conducteur routier), Laurent Carpentier, Michel Champigny, Philippe Colas (enseignant), Guy Luis Chesney (agent de maintenance), Gérard Chabert (enseignant), Céline Cottenceau (professeur), Pierre Carpent, Didier Choquet, Martine Courtois, Daniel Coutant (médecin), Christian Carthagena (ouvrier), Abel Cramard (retraité), Anne-Marie Connan (retraitée), Alain Cruzel (professeur), Américo de Carvalho (traducteur), Jean-Michel Caillaud (médecin), Pierre Camus (bibliothécaire/ documentaliste), Britt Canipel (retraitée), Anne-Marie Carriot-Oriboni (photographe), Bernard Chambon (ingénieur), Jean-Paul Cassan Claude Chevenard (retraité), Alain Crolet (retraité), Daniel Chevrier (informaticien), Jacques Carsenty (retraité), Michel Casteights (professeur université), Nicolas Chaigneau (secrétaire banque), Nicolas Catrice (antiquaire), Christine Cauhapé (prof histoire-géo), Thomas Colléony (interne en médecine), Paul Cauquil (retraité), Marie-Thérèse Cavignac (retraitée), Christiane Cayre (comédienne), Nadia Chabane (enseignante et militante associative), Jean-Paul Cazauran (Education nationale), Françoise Chagrin (retraitée de l’éducation nationale), Nathalie Chusseau (Maître de conférences en Sciences Economiques), Chantal Chalier (enseignante), Georgette Charles (retraitée), Jean Charlety (agriculteur retraité), Nina Charlier (professeur EPS), Eveline Charmeux (professeur IUFM), Claudine Charpentier (enseignante retraitée), Jean-Claude Castier (retraité), Jean-Claude Chemier (cadre territorial), Sabine Chirol (professeur des écoles), Arnaud Clappier (animateur de cinéma), Stephen Clod-Hansen (retraité) et Valentine Clod-Hansen (retraité), Raymonde Cloutier (historienne),Yvon Cointet (retraité), Jean Colombier (écrivain), Catherine Combeau (assistante), André et Cécile Couëtte (retraités), Thomas Cordelier (graphiste), Bruno Coulet (consultant) , Claudine Couperier (restauratrice), Fabienne Courvoisier (Liberté de conscience), Nicolas Cardot (graphiste), Noémie Cravatte (professeur), Bernard Cahagne (retraité), Marie-Christine Chazeaud (retraitée), Marie Crevecoeur, Pierre Crochelet (architecte), Jean Coirier (conseiller municipal), Michel Cullin (Dr. Centre franco-autrichein Académie diplomatique Vienne), Philippe Coulon (retraité), Yves Cresson (producteur), Francis Coste (enseignant retraité), Suzette Chabrat (enseignante retraitée), Anne-Marie Chericoni (enseignante), François Cayatte (photographe), Virginie Cloarec (consultante), Elisabeth Cordani (enseignante), Josée Crépin-Derollez (retraitée), Henri Claeyman (retraité), Franck Cabandé (chargé de projet multimédia), Marie-Alix Capieu (restauratrice d’objets d’art), Geneviève Coudrais (avocate retraitée), Boris Cattan (professeur), Laurent Challange (médecin généraliste), Line Canale (retraitée de la fonction territoriale), Pierre Canale (retraité de l’industrie), Nicolas Colomines (fonctionnaire), Bruno Chaix (conseiller municipal), Alain Caron (médecin), Pierre Charpin (médecin), Claudine Charpin (infirmière D.E), Corinne Chauvin (mère de famille), Danièle Cazaux (retraitée), Philippe Claverie (producteur), Bárbara-Esther Chacón-Busuttil (institutrice spécialisée), Eric Chassereau (employé SNCF), Mary Coullet (femme au foyer), Daniel Chauvin (retraité), Laetitia Combs (chargée de communication), Haissam Chereih (médecin), Robert Chareyre (ingénieur retraité), Yann Chamali (ingénieur Telecom), Marie Courtois (femme au foyer), Leila Charles (retraitée), Pierre De Coster (enseignant retraité), Jeanne-Marie Clerc (Professeure Émérite Université Paul-Valéry/ Montpellier 3), Maryvonne Cadiou (Bibliothécaire), Jacques Chetaud (géomètre-expert), Cathy CUNZI (administrative), Michelle Cantat-Merlin (enseignante), Michel Chancel (retraité), Jacqueline Chemineau (conseillère d’orientation psychologue retraitée), Gérard Chabetay (administrateur de biens en retraite), Jean-Michel Coulon (photographe retraité), Paul Cuturello (Sociologue au CNRS), David Cadiot (enseignant), Cécile Czekaj (retraitée), Elvire Debutte (conseillère conjugale et familiale), Maurice Colletin (ingénieur retraité), Olivier Charpin (chef opérateur), Claude Coursin, Jean-Paul Chevrel (aide-soignant), Denis Cugnod (réalisateur), Corinne Chauvin (mère de famille), Noëlle et Jean-Francis Clair (professeur), Valérie Courteaut (médecin), Marianne Cabaret Rossi (professeur d’histoire géographie), Odile Contat (documentaliste CNRS), Jean-François Da Conceicao (cadre), Jean-Pierre Dazin (enseignant), Emilie Darnoux (étudiante en médecine), Philem Despiney (graphiste), Catherine Doriat, Marylin Dolléans (artiste), Daniel Dubois (retraité), Sybille de Jonghe d’Ardoye, Piera et Maurice Delaire, Jacques Deflessel, Jean-Claude Durand (dentiste), Anne-Marie Desrochers (enseignant à Québec), Daniel Delhaye (retraité), Anne Deville (retraitée), Serge Donnadieu (cadre commercial), Charles De Terlikowski (chef de projet), Christian Dupuy (agent commercial), Jean-Claude Daguet et Lida Daguet (retraités), Alain Daniloff (retraité), Pedro da Nobrega (auteur – militant associatif), Claude Dapei (Président d’association à but culturel), Philippe Daloz (technicien), Jean-Noël Darde (Maître de conférences Paris 8), Pierre-Alain Darrambide (retraité), Françoise Darwich (médecin), Jihad Darwich (conteur), Michel De Almeida (gérant de société), Christiane Dard (auteur-écrivain), Roberto Das Chagas (ingénieur), Dominique Debray (éducatrice), Dedryver (retraitée), Guy Del Ponte (retraité), Jean-Claude Dedryver (ingénieur), Bernard Defaix (retraité), Daniel Delhaye (retraité), Michel Delaunay ,Odile Delélée (retraitée), Aldo del Buono (ingénieur retraité), Claude Delorme (enseignant en LP) , Catherine Delpicot (mère de famille), Marie-France Desbruyères (économiste retraitée), Deschenes (professeur) , Benjamin Despoix (fonctionnaire d’Etat), Philippe Devillar (psychologue), Françoise Diehlmann (attachée territoriale), Arlette Dieudonné (professeur agrégé), Michel Dilvit (artiste peintre), Richard Domenge (cadre technique), Frédéric Douet (professeur), Jean-Marie Drogoz (retraité aviation civile), Sylvie Dubois (professeur), Jean-Jacques Dubertrand (retraité), Jean Dubosclard (retraité), Frédérique Maurice Dubroeuq (pensionné), Maurice Ducrot (retraité), Hugo Dufour (étudiant), Philippe Dupuy (délégué), Daniel Duquesne (retraité),Gaston Durant (retraité), Jacqueline Durant (retraitée), Sophie Dutheil (secrétaire), Jean-Jacques Duval (retraité), Fabrice Dylong (responsable commercial), Vincent Duclos (chargé d’études), Joël Dangio (fonctionnaire retraité), Michèle Duport (enseignante retraitée), Marcel Derollez (retraité), Eric Deschoenmaeker (fonctionnaire européen), Michel Divol (retraité), Faridah Djellal (professeur Université de Tours), Patrice Delabre (chef monteur), Robert Donnat (retraité), Dominique De Ryck (professeur), Hakim Dahmoun (directeur de magasin informatique), Yvor Dalu (informaticien), Georges Duguet (retraité), Patricia Deffense (retraitée), Claude Dubus (retraité), Matthieu Daudier (enseignant), Daniel Despicq (retraité La Poste), Catherine Delaunay (Sector Sales Manager ibm.com), Nicolas Demoulin (banquier), Gilles Dumont (consultant), Alexandre Dietrich (vendeur), Noureddine Dridi (Directeur Administratif, Financier & Comptable), Alexis Dufrenoy (informaticien), Hélène Dutang (professeur), Alain Duvernoy (producteur TV), Marcel Descamps (Conseiller Municipal-Délégué à la Communication La Tremblade), Angela Delmont (retraitée édition), Anne Marie Durand-Roger (Conseillère en Assurance Maladie), Anne-Fabienne Dubroeuq (enseignante), Roger Denise (retraité), Didier DENAT (Enseignant), Daniel Dupuis (retraité informaticien), Jean-Jacques Degail (DG retraité), Claude Da Cunha (cadre France Telecom), Gaston Dupont (ingénieur retraité), Josyane Daude (directeur financier), Jean-Pierre Denis (retraité de l’enseignement), Bertille Debiais-Thibaud (Iconographe), Philippe 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Jean-Manuel Peris (informaticien), Alain Paul (gérant de société), Michel Pichon (ajusteur mouliste en retraite), Gérard Papp (artisan), Sylvette Pierre (retraitée de l’enseignement), Jean-Marc Poiron (professeur retraité), Jean-Claude Rollet (retraité), Giovanna Predali (retraitée), Gildas Potin (ingénieur), Michel Vincent Pautrat (commercial), Jean Padilla (maire honoraire), Jean-Pierre Peyrin (professeur à L’Université de Grenoble 1), Denis Pansu (Technologie de la mise en relation, développement de réseaux ouverts), Sébastien Peltey (entrepreneur), Pierre-Michel Palomba (négociateur en bourse), Luc Quinton (plasticien), Alain Quiot (syndicaliste), Jean-Michel Quentin (agriculteur), Jean-Marc Quiles (responsable Marketing), Pourzad Rakhshan, Michèle Ruiz (assistante sociale), Ian Rogers (retraité), Jean Robert (retraité), Fouzia Remal (chirurgien dentiste), Vincent Renard, Jean-Pierre Robert (Webmaster), Manse Romuald (cuisinier), Véronique et Gérard Roudil (retraités), Ghislaine 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Yves Rogeaux (médecin), Chatry Romaric (infirmier), Jean Rougé (retraité de l’éducation), Annie Ronzel (assistante maternelle), Laurie Roy (agent littéraire), Michel Ruault (retraité), Nadine Roranes (retraitée), Jean-François Rotteleur (retraité), Sandra Roulet (éducateur sportif), Jacques Roulet de Vougy (Retraité, Conseiller prud’hommes, et Président d’association), Robert Rowies (Travailleur humanitaire MSF), Philippe Roy (photographe), Christian Rossignol (professeur), Philippe Ruggieri (Directeur des services généraux), Michèle et Bruno Revault (artistes), Beatrix Rhein (médecin hospitalier), Fabrice Rallo (attaché parlementaire du sénateur Jean-Paul Alduy), Christian Rouzet (professeur retraité), Robert Rouard (retraité), Marie-Thérèse Richard (bénévole association), Marine Roux (attaché territorial), Michel Ragot (enseignant), Sylvie Robin (fonctionnaire territoriale), Daniel Roux (retraité), Jean-Pierre Rumen (psychiatre des hôpitaux honoraire), Jacques Robin (retraité de 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retraité), Bruno Varennes (enseignant-chercheur), Dominique Vidal (infirmière bloc op), Yves Vidili (conseiller municipal), Antoinette Weil (professeur agrégée), Françoise Weill (conservateur de bibliothèque retraitée), Manfred Weippert (professeur Université de Heidelberg), Odette Weill Rémy (photographe), Pierre Webert (capitaine au long cours), Julien Wey (cinéaste), Dominique Willaume (médecin anesthésite), Emmanuel Willem (Fonctionnaire), Julien Willème (avocat), Isabelle Wolff (artiste peintre), Denise et Daniel Wickers (enseignants), Mady Wajnblum (membre de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique), Olivia Willaumez (graphiste), Benjamin Wiacek (étudiant en droit),
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8 Responses to Médias: La différence entre l’Union Soviétique et la France, c’est que les Soviétiques savaient qu’on leur mentait (You can’t offend the conscience of France)

  1. maximus dit :

    J’habite en France et je peux vous garantir que les medias francais sont antisemites et ne ratent pas une occasion pour salir l’image d’Israel. Je ne suis pas juif, mais catholique, donc je n’ai pas d’interet a mentir. Je sens beaucoup aussi a travers les conversations que j’ai avec le Francais de la rue comment il est manipulé vis a vis du probleme israelo-palestinien.

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  2. […] coopération sans faille d’un véritable petite armée de faussaires de l’information à la Charles Enderlin ou de journalistes-combattants à la Sara Daniel ou Florence Aubenas disposés à diffuser […]

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  3. […] Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. (…) J’ai coupé les images de l’agonie de l’enfant. C’était trop insupportable. L’histoire était racontée, l’information donnée, ça n’aurait rien ajouté. Quant au moment où le gamin reçoit des balles, il n’a même pas été filmé. Charles Enderlin […]

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  4. […] et courageux travail du journaliste indépendant Philippe Karsenty face à   probablement l’un des plus tenaces et plus pernicieux acharnements contre la […]

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  5. […] savoir celui de l’inamovible maitre-faussaire et correspondant en Israël de notre pravda nationale, Charles Enderlin  […]

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  6. […] Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. Charles Enderlin […]

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  7. […] Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. Charles Enderlin […]

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