Désinformation: Le faussaire Enderlin récidive… sur la plage cette fois!

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Pour moi, l’image correspondait à la réalité de la situation non seulement à Gaza, mais aussi en Cisjordanie. L’armée israélienne ripostait au soulèvement palestinien par l’utilisation massive de tirs à balles réelles. (…) Du 29 septembre à la fin octobre 2000, 118 Palestiniens sont morts, parmi eux 33 avaient moins de 18 ans. Onze Israéliens ont été tués, tous adultes. Charles Enderlin
Le bord de mer, à Gaza, traditionnel lieu des pique-niques le vendredi, jour férié et de prière. Au large, un bateau de guerre de la marine israélienne. Sur cette plage, cet après-midi, un couple et trois de leurs enfants ont été tués par un obus. Un obus de marine israélien, affirme cet homme en colère. Là-bas, sur la plage, les habitants de Gaza ne quittent pas du regard le bateau de guerre. Le gouvernement israélien, lui, réfutant un tir de la marine, a néanmoins ordonné, ce soir, l’ouverture d’une enquête. Charles Enderlin ( France 2, le 9 juin 2006)
COMPLÉMENT (19 juin 2006): Maintenant, il ne faut pas oublier que, trois jours après ce drame, cette tragédie sur la plage, nous avons eu un autre bombardement israélien à Gaza, en pleine ville, et là nous avons eu neuf civils palestiniens qui ont été tués. Il n’y a pas eu la moindre contestation de la part des autorités israéliennes, qui ont apporté leurs explications. Tout cela se poursuit. Nous avons régulièrement, à partir du moment où nous avons des bombardements, il y a ce qu’on appelle des dommages collatéraux. En l’occurrence, nous assistons à une véritable offensive contre une image, une image qui gêne. Lorsqu’il n’y a pas d’image, tout cela passe sans aucun problème. Charles Enderlin (Hebdo du médiateur de France 2 du 17 juin 2006)

Retour sur la nouvelle affaire Al Doura qui secoue le microcosme médiatique depuis quelques jours, attribuant une nouvelle fois sans preuves le décès de civils palestiniens à un obus de l’armée israélienne.

Alors que, comme le confirme cette dépêche de Media Ratings, tout indique qu’il s’agit probablement (même si l’on sait que les artificiers du Hamas ou d’autres groupes terroristes palestiniens utilisent fréquemment des civils comme boucliers humains, n’hésitant pas à l’occasion à se déplacer en ambulance ou même avec femmes et enfants dans leurs vehicules)* d’un « accident » intra-palestinien, la famille ayant été victime d’une mine palestinienne destinée à l’origine aux commandos d’hommes-grenouilles israéliens.
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* Comme le rappelle un observateur (merci Michael), « C’était même devenu un “métier” rémunéré de servir de bouclier humain pour éviter des frappes héliportées – Les caméras du drone effectuant le “lock on” ont une résolution suffisante pour cela et le tir final ne s’effectue qu’après vérification, ce qui a permis à Yassine et Rantissi d’échapper plusieurs fois à la mort subite venue du ciel …

La famille de l’orpheline de la plage de Gaza a été victime d’une mine du Hamas et non d’un obus israélien

Medias-Ratings

16 juin 2006

Les télévisions du monde entier ont diffusé, le vendredi 9 juin 2006, les images d’une jeune fille se jetant au sol après la mort de sa famille sur une plage de Gaza.

Le lendemain, les principaux quotidiens français titraient sur ce drame en accusant la marine israélienne d’avoir tiré un obus sur cette famille.

Dimanche, on apprenait que le président palestinien, Mahmoud Abbas, adoptait la jeune orpheline.

Entre temps, l’armée israélienne a effectué une enquête dont elle a publié les résultats le mardi 13 juin 2006.

Voici les éléments les plus probants de cette enquête qui disculpe l’armée israélienne :


la marine israélienne a bien tiré des obus dans cette région ce vendredi ;

– l’explosion sur la plage ne peut avoir été provoquée par la marine israélienne car il s’est écoulé 10 minutes entre le dernier tir d’obus et le drame ;

– les éclats de projectiles qui ont été retirés des corps des personnes blessées
ne correspondent à aucune des armes en circulation dans l’armée israélienne ;


ce qui a été observé sur la plage a permis aux experts militaires de conclure à une explosion souterraine (comme cela peut se produire avec une mine) ;

– les services de renseignement israéliens et égyptiens sont arrivés à la conclusion que la famille a été victime d’une mine installée par les artificiers du Hamas
la semaine précédente, afin d’empêcher les commandos marines israéliens
de débarquer sur la côte et d’intercepter ses lanceurs de roquettes ;

– la famille palestinienne a fait exploser accidentellement une de ces mines ;

– certaines de ces informations ont été confirmées par les services de renseignement palestiniens qui ont annoncé que, dès après l’explosion, le lieu du drame a été soigneusement nettoyé. Pour faire disparaître toute trace ?

Les médias français n’ont pas, dans leur grande majorité, corrigé les informations qui ont été données depuis vendredi dernier, laissant leur public dans l’ignorance de ce qui s’est réellement passé sur la plage de Gaza.

Le Figaro a mentionné la version israélienne dans son édition du mercredi 14 juin 2006, dans un encadré discret en page 3, alors que ce quotidien avait titré en première page du samedi 10 juin 2006 «Massacre sur la plage de Gaza – Des attaques israéliennes ont tué au moins dix Palestiniens » et que l’article consacré au sujet de son édition du lundi 12 juin 2006 s’ouvrait ainsi : «

Les images de la petite Houda, 10 ans, pleurant effondrée devant le cadavre de son père sur le sable de Gaza, ont produit leur effet. Elle a perdu toute sa famille, vendredi, à la suite d’un barrage d’artillerie israélien qui a tué huit civils sur une plage.
Immédiatement, la colère a envahi la rue palestinienne. Rompant, pour
la première fois, la trêve unilatérale qu’il respecte depuis février 2005, le Hamas a revendiqué, samedi, des tirs de roquettes contre Israël, présentés comme une riposte à la tuerie de vendredi.».

Libération du 14 juin 2006 a aussi donné la version israélienne mais en la noyant au sein de deux articles titrés «Un raid contre des activistes palestiniens a fait neuf morts parmi la foule » et «A Sdérot, les Israéliens lassés de vivre sous les roquettes». Toutefois, les explications fournies par Libération, extraites de la bouche d’un officier supérieur de l’armée israélienne, étaient relativement complètes : «Au début, nous avons eu un doute. Notre artillerie avait tiré six obus en direction de cette zone, entre 16 h 30 et 16 h 52. Nous ne savions pas exactement où le premier obus était
tombé. Mais après une enquête sérieuse sur les trajectoires, il
apparaît que cet obus a été tiré 8 minutes avant l’incident et qu’il
devrait être tombé à 250 mètres au nord du point d’impact. De plus,
l’analyse des photos du cratère et des éclats retirés aux blessés
soignés en Israël ne plaide pas en faveur d’un obus. Nous savons que
les terroristes du Hamas avaient miné la plage pour empêcher nos
commandos de l’utiliser. Les Palestiniens doivent maintenant répondre à
un certain nombre de questions. Aujourd’hui, nous disons qu’il est très
improbable que cet incident soit de notre faute. »

De leur côté, France 2, Charles Enderlin et Talal Abou Rahma ont présenté la version israélienne mais en tentant de la discréditer au travers d’un reportage biaisé, basé sur les propos de Mark Garlasko, qui travaille pour
Human Rights Watch. Précisons que France 2 a affirmé, par erreur, que Mark Garlasko travaillait pour «Right to Life ».

En guise de preuve, l’expert américain cité par Charles Enderlin a montré un éclat d’obus israélien qu’il aurait trouvé sur place. Or rappelons que selon toutes les sources, (palestiniennes, égyptiennes et israéliennes) la scène du drame a été nettoyée de tout éclat d’obus dès après l’accident. Il est donc fort probable que l’expert présenté par France 2 ait trouvé un éclat qui aura été apporté sur place bien après l’explosion.

Il apparaît donc que l’expert alibi du Hamas présenté par France 2 n’ait pas beaucoup d’élément à l’appui de sa démonstration.

Pour voir le 20 heures de France 2, cliquez ici, allez sur l’édition du mardi 13 juin. Le reportage commence vers la 20ème minute (il y a un accès direct aux images sur le côté droit de la page).

Au regard de cette nouvelle falsification médiatique relayée avec complaisance par l’ensemble des médias français, certaines questions restent en suspens.

Que les médias aient repris, en fin de semaine dernière, l’information émanant de sources peu fiables ne surprendra que ceux qui ne connaissent pas l’état déontologique déplorable de la plupart des médias français.

Que la plupart des médias n’aient pas corrigé l’information qu’ils ont diffusée n’étonnera que ceux qui ignorent que la plupart des journalistes français refusent de reconnaître leurs erreurs.

Toutefois, il est plus inquiétant de constater que France 2, c’est-à-dire la «France officielle », ait choisi de diffuser ces images et d’accabler l’armée israélienne tout en refusant l’évidence des conclusions de l’enquête la disculpant.

Cette diffusion de fausses informations alimente, par ricochet, la haine antisémite en France.

Des sanctions seront-elles enfin prises contre Charles Enderlin et son caméraman, Tala Abou Rahma ?

Si la réponse est non, on pourra donc en conclure que la politique médiatique visant à alimenter l’antisémitisme en Francereçoit le soutien de la direction de la chaîne, de son ministre detutelle, Renaud Donnedieu de Vabres, du premier ministre, Dominique de Villepin, et enfin du président de la République Jacques Chirac.

A ceux qui nous demandent depuis 18 mois pourquoi nous nous « accrochons » à l’affaire Enderlin – France 2, l’orpheline de la plage de Gaza apporte la preuve qu’il est urgent, pour la paix civile en France, de mettre Charles Enderlin et Talal Abou Rahma face à leurs mensonges répétés.

Pour conclure cette analyse médiatique, notons que le hasard fait décidément bien les choses à Gaza. En effet, comment expliquer qu’un
caméraman se soit trouvé au bon endroit, c’est-à-dire sur une plage où une famille pique-niquait, au moment même où un obus ou une mine la décimait de façon accidentelle ?

Pour quelle raison ne voit-on, dans cesimages en plan très serré, qu’un homme au sol alors qu’on nous dit que toute une famille a été tuée ?

N’aurait-il pas été plus probant de montrer toute la scène pour permettre d’observer les dégâts et l’immense cratère de l’éventuel obus ?

De là à imaginer que la scène de la jeune orpheline frappant le sol a été joué (ou rejouée) pour les besoins de la propagande…

Notons au passage que la télévision palestinienne a postérieurement inclus au reportage initial les images d’un bateau de guerre israélien tirant un obus. Après enquête, nous avons appris que ces images avaient été fournies
par l’armée israélienne aux télévisions le vendredi 9 juin 2006, vers
16 heures, soit près d’une heure avant le tragique accident de la plage.

Pour voir le reportage falsifié diffusé par la télévision palestinienne,
cliquez ici

Voir aussi :

Massacre sur une plage de Gaza
LA BAVURE de Tsahal ne pouvait pas tomber plus mal pour le président palestinien, Mahmoud Abbas. Un navire israélien a tiré, hier en fin d’après-midi, plusieurs obus sur une plage du nord de la bande de Gaza, tuant au moins sept personnes, dont deux enfants. (Le Figaro , 06/09/2006)
Selon l’enquête, Tsahal ne peut pas être responsable de l’explosion : les cinq obus tirés par l’artillerie sont tombés à plus de 250 mètres du lieu de la tragédie. Tsahal a aussi relevé un intervalle de 8 minutes entre la dernière salve et le moment de l’explosion sur la plage, ce qui exclurait la possibilité qu’un sixième obus, dont Tsahal avoue ne pas avoir retrouvé le point d’impact, puisse être à l’origine du drame. Selon cette enquête, il est possible qu’une mine enfouie sous le sable par le Hamas, pour empêcher des infiltrations nocturnes de commandos israéliens via la plage, aurait provoqué l’explosion.
Mais l’avis d’un expert américain, ancien agent du Pentagone – qui guidait les frappes aériennes américaines au Kosovo en 1999 et constatait les dégâts après l’impact – vient troubler ces certitudes. Marc Garlasco a été envoyé enquêter sur place par l’ONG américaine Human Rights Watch. Il estime qu’une mine aurait provoqué d’importantes lésions aux jambes des victimes. «Or, 90% des blessures se situent au-dessus du bassin, ce qui accrédite plutôt la thèse d’un obus», note-t-il. Marc Garlasco expose des éclats d’obus retrouvés dans le cratère sur la plage et retirés des chairs des victimes. Cet expert juge aussi que le chronométrage des événements établi par Tsahal est inexact, l’une des victimes ayant effectué une prise de sang à l’hôpital Chifa de Gaza dix minutes avant le moment de l’explosion, si l’on s’en tient au calcul israélien. Il réclame une enquête indépendante, pour faire la lumière sur les événements du 9 juin

Houda, nouvelle icône des Palestiniens
Le Figaro
16/06/2006

Malgré elle, la petite Houda Ghalia, 12 ans, est devenue la nouvelle icône de la souffrance des Palestiniens. Les images tragiques de la fillette éplorée, allongée sur le corps de son père tué, vendredi 9 juin, par une explosion sur une plage de Gaza avec ses quatre soeurs et sa belle-mère, ont fait le tour du monde. À la télévision palestinienne, elles sont diffusées en boucle. Mais, comme pour le petit Mohammed al-Doura, tué par balles le 29 septembre 2000 devant des caméras de télévision dans les bras de son père au début de la seconde Intifada, l’armée israélienne nie toute responsabilité, après avoir reconnu dans un premier temps être à l’origine du drame.

Assise sur le lit de sa mère, Houda est dépassée par la polémique et par la guerre d’images dont elle est devenue l’objet. Elle ne se souvient pas non plus de Mohammed al-Doura. «C’est le petit qui a été massacré, comme notre famille», lui rappelle sa tante. D’abord, Tsahal avait reconnu que le garçonnet avait été touché par des tirs israéliens. Il était devenu une icône du soulèvement palestinien. Puis, plusieurs semaines plus tard, une enquête israélienne avait conclu qu’il avait probablement été tué par des tirs palestiniens. La polémique reste vivace, près de six ans après ce drame.

Contrairement à Mohammed al-Doura, Houda est un symbole vivant. Le président, Mahmoud Abbas, a adopté la fillette orpheline de père. «Ça ne change rien pour moi, dit-elle. Rien ne me rendra mon vrai père.» Houda voudrait oublier les images qui ont fait d’elle un symbole. Elle ose péniblement se remémorer son dernier moment de bonheur. «Papa m’avait promis de nous emmener tous à la plage de Beit Lahiya si j’avais un bon bulletin, raconte Houda, sans que sa voix ne trahisse d’émotion. Lorsque je lui ai montré mon carnet à la fin de l’année scolaire, il m’a dit que nous irions à la mer vendredi. J’ai sauté de joie. Il a tenu sa promesse, mais les bombes sont venues le prendre, avec mes soeurs.»

Sa mère, Hamdiya, tient à refaire le récit des événements, comme s’il s’agissait d’un témoignage à charge contre Israël. «Nous étions sur la plage en train de pique-niquer, se souvient-elle, en caressant nerveusement son bras hérissé de broches. Les enfants se baignaient. Deux obus israéliens ont explosé non loin de là. Nous avons rassemblé nos affaires et nous nous sommes abrités derrière une dune, en attendant qu’un taxi vienne nous chercher. Puis un obus nous a frappés de plein fouet. J’ai vu Houda, si courageuse, qui découvrait, les uns après les autres, les corps de ses soeurs transformées en monceaux de chair. Elle ne réalisait pas ce qui venait de se passer. Elle appelait son père au secours. Puis elle a vu son corps. Elle s’est effondrée, en larmes.»

Hamdiya n’a pas encore retrouvé ses esprits. Déboussolée par cinq ans d’Intifada, frappée par la tragédie, elle ne comprend pas pourquoi le monde a retenu les images de Houda. Pourquoi sa petite fille a-t-elle bouleversé d’innombrables téléspectateurs, y compris dans les foyers israéliens ? «Les caméras me filmaient, s’insurge-t-elle. J’avais le bras droit en lambeaux, mais il fallait que je résiste à la douleur, pour montrer ma petite Hanadi, 14 mois, décapitée par l’explosion. Je la tenais dans mes bras, je hurlais pour qu’on retrouve sa tête. Aucune télévision internationale n’a diffusé cette image. C’est injuste. Lorsque les Israéliens sont tués dans un attentat, les télévisions montrent le moindre bout de chair. Mais mon bébé décapité, cela ne choque personne. C’est ça qu’il fallait montrer et non ma fille Houda, qui est toujours vivante.»

Touchée par un éclat au bras, la mère de Houda est toujours hospitalisée. Elle a été choquée par les propos du premier ministre Ehoud Olmert qui, avant même la conclusion de l’enquête militaire israélienne, présentait Tsahal comme l’armée «la plus morale du monde». «Cette armée est privée de toute humanité», dit Hamdiya Ghalia. Aux yeux des Palestiniens, l’enquête israélienne ne serait qu’un écran de fumée, destiné à alléger la pression sur le premier ministre israélien. La presse israélienne exprime ses doutes. «La majorité des Israéliens n’attend qu’une raison de croire que cette explosion n’a pas été provoquée par un obus de Tsahal, écrit le quotidien israélien Yedioth Ahronoth dans un éditorial. L’enquête a soulevé suffisamment de doutes pour que nous atteignions la conclusion que nous recherchions dès le départ.»

Selon l’enquête, Tsahal ne peut pas être responsable de l’explosion : les cinq obus tirés par l’artillerie sont tombés à plus de 250 mètres du lieu de la tragédie. Tsahal a aussi relevé un intervalle de 8 minutes entre la dernière salve et le moment de l’explosion sur la plage, ce qui exclurait la possibilité qu’un sixième obus, dont Tsahal avoue ne pas avoir retrouvé le point d’impact, puisse être à l’origine du drame. Selon cette enquête, il est possible qu’une mine enfouie sous le sable par le Hamas, pour empêcher des infiltrations nocturnes de commandos israéliens via la plage, aurait provoqué l’explosion.

Mais l’avis d’un expert américain, ancien agent du Pentagone – qui guidait les frappes aériennes américaines au Kosovo en 1999 et constatait les dégâts après l’impact – vient troubler ces certitudes. Marc Garlasco a été envoyé enquêter sur place par l’ONG américaine Human Rights Watch. Il estime qu’une mine aurait provoqué d’importantes lésions aux jambes des victimes. «Or, 90% des blessures se situent au-dessus du bassin, ce qui accrédite plutôt la thèse d’un obus», note-t-il. Marc Garlasco expose des éclats d’obus retrouvés dans le cratère sur la plage et retirés des chairs des victimes. Cet expert juge aussi que le chronométrage des événements établi par Tsahal est inexact, l’une des victimes ayant effectué une prise de sang à l’hôpital Chifa de Gaza dix minutes avant le moment de l’explosion, si l’on s’en tient au calcul israélien. Il réclame une enquête indépendante, pour faire la lumière sur les événements du 9 juin.

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