Islam: Ce génocide chrétien qu’on veut oublier (Islam’s forgotten christian genocide)

Who speaks today of the annihilation of the Armenians? (Hitler, Aug. 1939)Après tout, qui parle encore aujourd’hui de l’annihilation des Arméniens? Hitler (aux Commandeurs suprêmes et Généraux commandants, Obersalzberg, le 22 août 1939, soit huit jours avant l’invasion de la Pologne)

En ce jour-souvenir du Génocide juif (Holocaust Day en Israël), ne faudrait-il pas aussi rappeler que certains (comme la Turquie) ne reconnaissent toujours pas celui des (chrétiens) Arméniens (comme assyriens ou grecs) massacrés par les (musulmans) Turcs il y a maintenant 91 ans?

Comme viennent de le démontrer ceux qui tout dernièrement à Lyon (les 18 mars et 18 avril derniers) ont, avant de profaner le mémorial arménien, proféré, lors d’une manifestation pro-turque, des slogans négationnistes (« Non au mémorial d’un prétendu génocide », « Il n’y a jamais eu de génocide arménien ») …

Pourtant, les historiens sont unanimes: profitant, on le sait, de la guerre sur le front russe (où ils viennent prêter main forte à leurs alliés allemands) entre 1915 et 1917 (les nazis retiendront la leçon 30 ans plus tard – comme aujourd’hui au Darfour, … les Soudanais ! ), les nationalistes turcs mirent à exécution leur « solution finale » de leur « question arménienne » (ie. chrétienne) sous prétexte de collaboration avec l’ennemi (notamment des désertions et des actes relativement isolés de résistance).

Présenté officiellement comme un transfert de population loin de la ligne de front (mais incluant les populations les plus éloignées des zones de combat !), leur plan secret ne vise en fait rien de moins que l’anéantissement systématique de la population arménienne par, dans un premier temps, les rafles et exécutions des élites et des militaires, puis l’élimination progressive (par épuisement, maladie ou famine, mais aussi harcèlement par les troupes qui les encadraient ou rançonnement et autres brimades par les populations locales) du reste en les jetant du jour au lendemain sur les routes dans de longues transhumances, entre-coupées d’arrêts dans des camps-mouroirs – à travers les déserts de l’Empire.

Bilan: au moins 1,2 millions de victimes sur les deux millions d’Arméniens que comptait le pays à la veille de la guerre (sans parler des enlèvements, viols, « conversions » ou rééducations forcées dans des écoles islamiques, notamment pour les jeunes filles!). Les autres ne devant leur survie qu’à la présence de trop nombreux témoins (étrangers notamment, dans les grandes métropoles de Constantinople et de Smyrne), à l’avancée des troupes russes ou à la fuite à l’étranger (en Europe ou dans la future Arménie soviétique).

Source: Wikipedia (s’ils l’ont pas encore mis – après protestations des autorités turques ? – dans leur « liste de suppression » ou « journal des effacements » !).

6 Responses to Islam: Ce génocide chrétien qu’on veut oublier (Islam’s forgotten christian genocide)

  1. […] qu’au Moyen-Orient et en Afrique ou même en Occident et après les ottomans en Turquie, les derniers djihadistes en date s’acharnent à appliquer, dans la plus grande […]

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  6. jcdurbant dit :

    Aujourd’hui comme autrefois, c’est l’islam, imbécile !

    Winston Churchill, who described the massacres as an “administrative holocaust,” correctly observed that “The opportunity [WWI] presented itself for clearing Turkish soil of a Christian race.” Even Adolf Hitler had pointed out that “Turkey is taking advantage of the war in order to thoroughly liquidate its internal foes, i.e., the indigenous Christians, without being thereby disturbed by foreign intervention.” It is the same today throughout the Muslim world, wherever there is war: after the U.S. toppled Iraqi dictator Saddam Hussein, the nation’s Christian minority were first to be targeted for systematic persecution resulting in more than half of Iraq’s indigenous Christian population fleeing their homeland. Now that war has come to Syria—with the U.S. supporting the jihadis and terrorists—the Christians there are on the run for their lives.

    There is no denying that religion—or in this context, the age-old specter of Muslim persecution of Christian minorities—was fundamental to the Armenian Genocide. Even the most cited factor, ethnic identity conflict, while legitimate, must be understood in light of the fact that, historically, religion—creed—accounted more for a person’s identity than language or heritage. This is daily demonstrated throughout the Islamic world today, where Muslim governments and Muslim mobs persecute Christian minorities—minorities who share the same ethnicity, language, and culture, who are indistinguishable from the majority, except, of course, for being non-Muslims.

    If Christians are thus being singled out today—in our modern, globalized, “humanitarian” age—are we to suppose that they weren’t singled out a century ago by Turks?

    Similarly, often forgotten is the fact that non-Armenians under Turkish hegemony, Assyrians and Greeks for example, were also targeted for cleansing. The only thing that distinguished Armenians, Assyrians, and Greeks from Turks was that they were all Christian. As one Armenian studies professor asks, “If it [the Armenian Genocide] was a feud between Turks and Armenians, what explains the genocide carried out by Turkey against the Christian Assyrians at the same time?”

    Raymond Ibrahim

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